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Full text of "La liberté (1919-09-30)"

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d'en tue 


quela 


Li î la 


son "aide et.i 
‘pu donner 
s. h : 


re Nous profitons dè fa circonstance pour 
Chanoine Bélanger et à issieri 


LR] r3 » 


° #2 Le Vatrioté dé l'Ouest. sous le titre 
” servi à se lecteurs un article d'une 
_ Les faits qu 


fl (a 


, 


: “Autour de l'école”, à | 
ses paroissieris reconnai 


toute notre 


FOR 0: ! 
ce que, nous voyèns au Manitoba, pour qu'ils ne soient un “Ma UE LA 
jet de-lümière sur les visées paiennes de ceux qui, à Regina M: er + Pad tu “Droit” = # Nr 

“comme à Winnipeg, se sont instéllés ans les’ ministères d'ins- FRERE F5 ets LE ; ÿ" 

4 À * .. q F ot à É V 3 4 2 à LPS AS A1 pe : » MS s : 
Sie dures dans PObUE UE vue journal le “Dir depuis Jon et de 
> ni Æ LA dre. k + + FE ÿ ZE. 1 2 IL. da n partou 

Que nos lecteurs lisent attentivement les lignes qui suivent, Joar Li eff Cppr sd mn age Sn oir GP à 
tiipruntées au Patriote dé l'Ouest, etqu'ils les mettent sous lez où il pénètré.. Aussi je suis heuretx male Lan 


dans presque tuutes"tés fanulles de mu parois Comme le 
“Droil” a besoin d'aide. pécuniaire, je vous inclus, outre mor 
abonnement, yné contribution légère, il est vrai, Wrüis qui me 
fait du bien. Votre devise est “L'avenir est à veux qui luttent”. 
Continue, O Droit! ta noble mission qui est de délendre notre 
foi, notre langue éf nos traditions. Canadiens, témprenons la 
nécessité d'un tel journal et faisons des sacrifites pour qu'il 
puissè continuer sa grande et sublime mission. 
ere Avec estime, ; * 
Votre bien dévoué, Li | 
5 .!: JP. Bélanger, Chan. et Guré. 

Saint-André-Avellin; 18 août 1919. - ns pi) 


yeux de ceux qui ne sont pas de nos abonñés >" 
“D'ailleurs. il né sert à rien Ge se bercer d'espérance. Nous 
. @ssislons à yne puissante campagne, d'autant plus: redoutable 
qu'elle PR cachée. El le Département did Education, s'il 
n'est pas à la tête de cette campagne, semble en être l'instru- 
ment, sinon le centre. 
Beaucoup de nos commissaires d'école, beaucoup de vs 
+. instituteurs. ou Mslitutrices | pourraient en témoigner. ge 
Ces jours ‘passés encore, l'un des inspecteurs dont le gou- 
verhement nous affligé, le trop célèbre M. Keith, enlevait le 
crucifix des écoles de Bellevue et de Domrémy, pour bien mon- 
grer probablement que cette lutte, cette. persécution plutôt, 
sfadressait antañt à l'idée religieuse qu'à notre langue. 
Peut-être objectera-t-on que cel inspecteur peut avoir les 
idées légèrement-dérangées par son séjour prolongé. dans les 
Flandres; mais le Département de l'Education semble le cou- 
veir de toute son autorité, el en tout cas ne le blâme pas. 
Cel:inspecleur ‘n'est point une exception: et il semble bien 
que lui el beaucoup de ses collègues ne font que s'imprégne,' 
le l'almosphère qui règne dans les bureuux du Dépärtement 
. de l'Education: ut un 
7 0 Et partout où nos commissäires, respectueux dé la loi, mais 
forts deleur dfoit, résistent à la tyrannie des bureaucrates, of 
les menace de la nomination d'un commissaire officiel. 
I fallait: que nous arrivions à ces temps. de démrocratie à 
outrance, pourvoir ün gouvernernent populaire baillonnant la 
TT voir des-électeurs-et suitituant ses créatures aux élus du 
peuple” Eos ; 
Ce que le Patriote dil des commissaires d'écoles ‘et des ins- 


74 


vf 


AU COEUR DE LA QUESTION | faut faire notre possible pour amélio- 
—_— rer les conditions de la.vié et élever 
Le Cardinai Bourne pose le doigt er le moral de fx nation par tous Îles 
la grande plaie qui ronge l'Angleterre |'moyens en notre pouvoir. Mais ous 

PR ou savons une chcsé: pouvez avoir 
la moralité la plus élevée dans les mi- 
lieux matériellement ‘les plus horri- 
bles, pouvez ayoir aussi la plus 
grandé immoralité dans des milieux 


+ 


- Comme la France, daus une woindre 
muvsure peut-être, l'Angleterre se sent 
roagée par lé chanere de la décadence 
de la race sous le double rapport du 
liré, Pour remédier au ral, lé Conseil 
National de Ja Morale Publique tenait |. 
récemment sa réunion  anpuelle à 
Lansdowne House, Londres... H avait 
Luls à l'étude la question suivante: 
‘Comment maintenir et perfectionner 
& race?" ‘Un Hombre d'ora: 
<ars 6 leurs:vucs, firent des 
Mais aucuutre sut don- 
d'au 


vents Sanitaires et-hygié- 
& ‘Noës ne relèseréz ‘pas la race si 
vous n'inculquez ces principes dans 
les intelligences, les consciences de la 
nation. Je vous prie, avec toute l'ar- 
deur dont je suis capable, d'examiner 
ces principes à la lumière de la tradi- 
Uon chrétienne.” 


iitutrices de lu Saskatchewan ext également vrai au Manitoba, vsa poser le duigt sur le mal. AT j 
«1 pourtant nous né sümmes pas sous la même loi scolaire. 4 hstatall là décadence, majs on | PROMIS SURCHARQES *, 
Nous avons plus d'un de ces faits: nous pourrions les jeter vOuit poini trouver là cause nn 


eme, le Cardifhl Bourne fut 
rrésenté à la foule par l'évèque angli- 


ane le-public: noûs uvons préféré les passer sous sifénee. 1 On ne plaint dise mahéiuFrance.—Ae- 


Le à * Es marques dont «ppurrions tirer 
faut savuir encaisser, quand on sait qu'une lutte doit étre, loft. lé‘ AMOR Pa NP tions. Me 
nue, mais, 10ih de né Ju med 14 ai véux qu? crôtént que Ta Te un. de nos e v a 


r'änds citôgens”. : 
Entrant de plein pied dans son su- 
let, taillant dans le vif de la question, 
le cardinal signale dès Je début le di 
ce qui existe entre a -légisiation 
sociale et les lois divines.' Cette lacu 
ne signalée, le mal fondamental mis » 
a, il Indique le remède unique auquel 
racourir : : is 


mésure va bientôt déborder. ; 
* “Patlenéé: et longueur de temps:font plus que furce.et vou- 
rage": "c'est vrai, mais la patience a parfois une limite. 

Ce que le Patriote raconte de M. Keith par rapport aux 
crucifix pourrait être rapproché d'une campagne menée par un 
de nos inspecteurs manitobains contre deux croix qui le fati- 
guent dans, son. district. Celui de la Saskatchewan a été plus 
cffronté, inais il faut dire que le nôtre à trouvé à qui parler 
Cela udoucit parfois bien des caractères Enfin lu pratique de 
substitution du fameux commissaire officiel aux commissaires 
régulièrement élus par le peuple est l'eXüete cupie de ce qui se 
fuit au Manitoba. Ra SR 


Rien ne peut être plus arbitraire, rien de moins démocra. 
tique. 


|. Sous le titre ‘Le péril des études"; 

M. H, Reynaud fait vigoureusement, 
dans la Croix, de Paris, le procès de 
la surcharge des programmes. 

Ce mal de la surcharge des prograrm- 
mes est presque général. Des éduca- 
teurs de mérite le tiennent responsa- 
ble dé la décadence des études, ‘ : : 

M. Hector Reynaud parle des pro- 
gramines de l'enseignament secondai- 
re, mais ses remarques n'en ont que 
plus de poids et de forcé, car l'enfant 

|de l'école primaire requiert plus qué ce. 
lui de l'école secondaire un programme 
logique, adapié à ses besoins’ essen- 
tiels, et sans aucune surcharge. Le 
cycle d'études de l'enfant de ‘l'école 
primaire ne doit pas être étendu; il 
doit se bortier aux matières indispen- 
sables et qui füi seront d'un acquis du- 
rable et permanent. 1] ne lui sert de 
rien de tâter de multiples sujets’ qu'il 
ne fera qu'effleurer et qui dans là vie 
ne lui seront d'aucune utilité. 

Revenons aux critiques de M. Rey- 
naud. Tout d'abord il note la surchar- 
ge du programme littéraire et ce qui 
en. résulte ) je Û - 

“Hs nous paraissent, écrit:il des pro- 
grammes, depuis quelque trente ans, 
singulièrement alourdis, je dis en ce 
qui touche aux connaissances Httérai 
res. Si j'omets à dessein la partie 
scientifique, déjà fort étendue, imposée 
à un-candidat au baccalauréat ès-let- 
tres, je le trouve en présence d'un 
nombre considérable d'auteurs grécs. 
latins où francais, dont il pourra tout 
‘à péine parcourir le texte d'un regard 
rapide et superficiel, Arrivé devant 
ses juges, il sera censé avoir lu et 
| étudié en entier Homère, Sophocle, Dé. 
mosthène, Cicéron, Bossuet, La Fon- 
taine...j'en passe, et des plus célèbres 
Comment voulez:yous ‘qu'un pauvre 
potache suffse ‘à ce labeur? Que fe. 
ra-til alors? Ou bien, en élève avisé 
et sur le eonseil de maîtres æxpérimen- 
tés, jL prépärera avec le plus grand 
soin ‘cinquante ou cent pages de chà- 
que auteur: ou bien il se contentera 


. Vous me permettrez ce toucher 
: un côté de la question que l'on peut 
trop facilement oublier et. qui est 
iprès tout fondamental. On base ici 
* arguments pour défendre Ja légis- 
ation, presque toujours «ur. les incon- 
.'#nients; la ‘gène et les’ souffrances 
endurées dans les conditions actuelles 


ié 
Vositions qui, examinées de prèa, se 
révèlent comme poussant au danger 
&xtrême du bien public Je crois que 


L 


oser ces questions: 

“1o Admettoné-nous qué, la voix de 
la conscience nous lie formellement? 

“20 Les dix commandements .nous 
ientls encore? 

‘So L'antique tradition chrétienne 
*st-elle l'interprétation fidèle de la va- 
leur et de 4a portée de la loi naturelle 
lans la conscience et de la’ lui posi- 
tive donnée par Dieu? 

“Ces principes adinis, comme je, les 
idmets, :on- est obligé d'aborder cette 
question d'une façon tout à fait diffé- 
ente de ceux qui nient l'obligation de 
a conscience, l'autorité des dix eom- 
sandements, Ja tradition chrétienne. 

“Je m'oecuperai surtout des efnquiè- 
ve et sixième commandements... D'a: 
rès ‘enseignement chrétien, la seule 
néthode permise est la continence| vo- 
‘ontâire par consentement mutuel De 
Plus, la vie est un don de Dieu si sa- 
.cré, que dut obstacle à cette vle, mé- 
me dans sa condition pré-natale, est 
un péché grave, Enfin un mariage va- 
lde'et consommé ne eut être dissous 
par aucun pouvoir sur terre, : Voilà 
les trois principes qui sont maintenant 
ouvertement et positivement attaqués, 
‘Qu'allez:vous mettre à la place” Une 
xpinion publique éphémère et  chan- 
zeante ?—, 

“Quelques-uns d'entre niÿus ont été 
et qui produit | péniblement fmpressionnés, au cours 
; j la guerre, par Je ‘scanttale des rues. 

ENS ai 2 », +. 1 était clair que des, jeunes filles — 
Quand la mentalité est iorilée à. ce, diypason, elle fait ver- | certaines n'étsiént guère que des en- 
ser quelques piastres, mais. elle fait aussi faire bien autre chôse:! fants — tentaient ouxertement , nos 

Ceux-là ne sont plus du mombre de ceux qui-disent: “Cela he rte ge: ag Rave ren ven 

° nds te La $ / ” . ! dalent ce moignare: Neus avons 
.\ne regarde pas, mot je me me le de mes affaires. Loerté à co etes Alcei-elles àe-svnt 
La traduction de ces paroles en lingage ‘courant est labos immorsles; mais simplement non 

suivante; “Je suis un parfait égoïste qui n'a de souci que pour | morales. Elles disént: Si je veux vi. 

ses aises ét sün estomac." n Eh Yre de cetle façon, si jé ne fais de 

ti RARE i A à! * - ° mal à personne, pourquoi ne le feraiz- 
Le voiti”notre exemple d'action. Nous l'empruntons au je nas” : : « 

xuillunt Droit,en faveur duquel se-fuit une souseription-popu- |: “8; vous mettez de côté les prieit | là préparation- immédiate n'a pas êté 

luire, ‘ Puissg-t-il stimuler es nôtres'et susciter des imitateurs. | pes clairs et définis et que les chau-! comme la résultante ou le couronne: 

"EN'FAVEUR DU DROIT! — LETTRES D'APPROBATION :|#uments exigés par vobs wolent basés | ment d'une, lente forination dÿ savoir 

"Nos lecteurs pourront lire, dans une pageiintérieure de ce SU ES + Or 0er de, Mas. In née 
Journal, une courte notice.æur la paroisse Saint-André Avellin. | vous reste plus de #rincipé pour ar- 
portance —.et voilà un point de vue 


sur les inconvénients, lés inquiétudes, | 
des peines qui affiigenf l'individu, 11 ne | thode suivie dans les, classes de gram- 
L maire, paraissent d'une extrême 1m- 
Noyy sommes heureux de reproduire, ici, la lettre sympathique | rèter Yabaissement rapide de la na- 
d' ri ; : . : | Gon une fois sur cette penta Oui, 4] que négligent les trois quarts des 6co- 
*: : « x $ ; f. ; et 


Serutil vrai que des chrétiens éndureront encore Jong- 
lemps le paganisme pratique que semblible campagne scolairé 


implantée partout? 


Combien de temps des citoyens conscients de leurs droits 
se laisseront-ils confisquer les plus cuirs de leurs prérogalives 
à élire et à tenir en exercice Ceux qui doivent représenter: les 
parents qui seuls, à peu près, ont de véritables droits duns k 
… règne des écoles? : 


L'état maître d'école est une horreur; il ést chez lui dant 
‘ les écoles comme nous dans l'empire du Grand Turé. Quand 
uurons-nous un électorat au coeur assez fier et au'pied assez 
solide pour le Jui signifier sans embyiges ? SA 


+ 


Exemple d'action | 


s ë EL 4 + 

Nous parlons parfois l'action: voici uy exemple de ce que t 
—Hous. considerons-comime-de l'action qui compte 
un résultat. 


érudition' de manuel, et: tentera l'é- 
preuve comme A haïard dé la ren- 
contre,” ta 
N'est-<é pas cela au Manitoba? N'est- 

ce même pas pis? N'avonsnous pas 
‘| un programme de Mttérature qui obii- 
ge nos enfants, les classes avancées à 
s'Attaquer, à la” fois, à plusieurs des 


française? à parcorrir ce vaste cycle 
d'études littéraires en un très bref 
temps et saus préparatioi- wrélimi- 
naire? 

Comme nos autorités scolaires s'en 
fichent de la préparation pédagogique! 
Et comme elles sont appropriées au 
Manitoba, les remarques de M. Rey- 
| naud sur le défaut de préparation des 
élèves. . 1 
“Que regtet-il dela préparation à 
l'examen, demande-t-1l? Rien ou peu 
| dé those, mème en cas de succés, af 


#, 


ren , k ‘ r 


é 


F : 


exprime LS 


À LL 
l'on a surchärgé, parce que l'on n'a 
| pas su préparer: 


de notions plus ou moins vagues d'une; 


auteurs les plus difficiles de la languë 


l'examen et vous ‘serez. stupéñlés We com rendre, C’est ainsi que M. Soun, | : Ver ° 4 
constater que bISù peu a syrvécu, à délégué de lu république chinôtse, en | de donner et lu vieille ef la nou- 
ces dix années: L'élève, durant ses | décorant Mgr Reynaud; reconnafssait velle adresse, IL est nécessaire ; 2 
études, à fait un ‘’partours-8n aéropla: | hautement s n erreur, confessant sans | QUE NOUS ay : , 
We-sur l'immense champ” dés études. mn pré ou rendait à la |udresse afin de pouvoir trouver. : 
Rien dé plus, . : [loyauté des citoyens catholiques un | votre nom sur Ju liste, Avertis- Û 
PA» 0 ge dr ps magnifique cr igacus 1 * rage est|sez-nous immédiatement de vo: 
’ e ver e les édu- en: on ne saura onc le soup- . jé 
cäteurs ne l'oublient pas. pe her de partialité, Ajoutons qu'il ze changement q adresse. 3 
ÉD parlait en présence de nombreux au b- ere Le 
M 53e arins, presque tous idulâtres, - 2 | 
LE PAPERANEE DES FERMIERS- me Lam le dos à un passé d'erreurs | : è VA F : 
UNIS D'ONTARIO ‘Je désire délivrer ma couscience, | ! ASTON DER QU AE | 
du DEA CARO ‘| ‘messieurs, d'un lourd fardeau en vous T10! IS CeE, AE 
TR et Mau on actes Logiont que je me auiy trompé. Qui MANITOBA. “eo 
téé a Poe moeurs Ph lait s'il d'y en À pes, parmi vous, qui SEE le 
14 LA : “n'êtes pes chrétiens, qui ve mn rc DES INSTITUTRICES ! | À 
us Posters tn d'Ontario _ de-|.…Xon. ne bare Perret l'el est le cri d'un grand | ? 
. viennent. ‘ne force qui. Je ons eatholiqué thon. 4 PT # 
De aux parti PoITEIQUeS € AN Doi à mer en Cine; coinme dans le reste | | #COldires. re ner | 
qu'on n'osé mêmé pas, dans ‘du monde, le catholicisme est le tou-| | eriseignant est restreint, 
circonscrivtions électorales, ‘leur “| “demeut du patriotisme le plus pur et | linais pas insuffisant. | É: 
poser E adversaires, Déjà 67 candi |“la source intarissable de. l'abiéga” Nous invitons toutes les | 
dats ermlers-Unié ont été mis en “tion nécessaire aux sacrifices Qu'il institutrices quali ces qui |: 
nomination, C'est plus -que‘n’importe “4 de, La guerre est vente cot-| | \ S N7 J d F 
quel des autres partis. Dans tous les |, 2° "080 + » à So :| | # ont pus en Orerouve @e | 
milieux ‘politiques ontariens, on con- not me LA tot a ni pré | classes de s'adresser d nous | 
cède l'élection d'une trentaine de fer-[, "le. Ces. grands “homnes, 2e l‘au plus tôt. Nous pour- | 
ss APT : . |‘grands généraux qui. vunt sauvé. le lpi duc r x 
mlers Unis, soit plus d'un quart de la l'monde et plus spécialement leur pro.| |://0/18 en placer une tren- | 
a se pourralt que ce “re pays, étulent-tous des catholiques | | laine en: peu de temps. Fax 
Vo eee des Fermiera. |:P'étiquants, surtout -1é maréchal| | Les permis sont presque | 
tin Où ones siens au “Foch, le plus grand de tous. La s0-| | impossibles à obtenir; en 
pe fuit None cree pratique LOS: ‘lutiot de ce qui peut vous sembler | conséquence, nous conseil- (| 
tario ne pourrait que s'en trouver bien. Eaux énigme, © pe que Suns foi| | lons aux inslitutrices dont | i 
à ‘religieuse, et je n'hésite pas à placer | des certificats sont exniré 
Considérant que la population fu: “la fol & i # cer . $ / 
ste d'Ontario va ‘toujours en -dint 14 ol Catholique au premier rang. | |! Je faire tous les efforts 
Rio q : 8 CM | «vous ne pouvez pas avoir, Où ce n'est Aou : l à "r 
nuant depuis plusieurs “années, étant | sOu'avéc difficulté que. vous aurez. l'a. | pour suivre les ta Na » 
moindre de 139,000-en 1914 qu'en 1881, | “mour véritablement désintéréssé qui | | dagôgiques de l'Ecole Nar- s 
ot Cela malgré l'everolsiement ‘ant | “juequ'au mücrifice, st la vatienes | | fdle. Elles'èn profiteront: |. 
rel de la population, malgré. l''mmi- “dans l'épretVe.” ‘ Es 5 —— CT 
7 et les progrès de la cotonisa. | FE { Hors | | hé des ne | #4 
… Mnsidérant que la-vie dans la cam: | l L SO es Œ eCOIes a eu eu; Le |, 
6 est devenue difficile et même! Â ( J (à à | | sccrélaire  de-Chique a ep TA 
pénible et que la production du sol a | ” 6 sas 7: Arai un cents Lead | | 
été enrayée. Û C4 1 “ 
+Sensidérant que les conditions ac. | 7 Et , .| : ciable en nous en faisant 
tuellez dans les districts ruraux sent! Ditnunche.-te 2X septembre parvenir le rés:!lat. | 
évidemment dues à ce que les profits| réunion du Cercle La Véren:| ! LE SECRETAIRE. :| 
réalisés par l'industrie rurale et par drve, La motion qui engageait | EST ) | 4 
Vindustrie urbaine sont absolument! chaque membre ‘à: "emmener eus #4 
ou, ét cela à cause de la prépon- uhe houvelle recrue x été efti- ù dat ist à + 
rance exercée aux Communés eu que 2 lu ‘salle’ét itr lie. | Eros 
me dans les Légisütures par les ‘in- CHOC Car: 14 salle Eu DER, Li, | ROPAGANDE / ; 
téréts privilégiés des villes. 1 Le Révérend Père Directeur | S à 
Considérant que la dette publique dç | à donné une magnifique confé = ; ‘ 
la provincé a augmenté d'une manière rence sur l’ouvrier-et le Capi- | gr LS L { 
Aatmante—(étant de plus de cent |taliste. Travail sérieux mais! Nous avons loujours ën main 
rallions de piastres)—et que les dé | intéressant, : La vérité est tous Hivrés. et brochures d: propu- 
feina-tols plus élevées que ve quent| jours captivante, . ‘ |gande française, que l'on peut 
ane | Re QE Le Révérend Père u le mérite |se procurer toujours à des con- 
Céanidsennt bus los ‘éons dati avoir été. instructif et prati- ditions faciles, à notre Comité. 
partis politiques sont responsables! QUE. Il &. dévoilé d immenses. Voici les titres et prix franro 
de cet état de choses. . ‘horizons. En effet, quelle étu-|de-quelques-uns: ’ 
Nous les “Fermiers Unis d'Ontario” | de aujourd’hui ô6ffre plus de “Pour la défense de nus 
croÿons' remblir ün devois envers la complexité que celle des misé- Lois Françaises”, Anto- 
province et envers nous-mêmes en de. | res sociales ? : : - . L 
mandant une représentation indépen- | En L REP mo Perreault AA dis 1$ 25. v 
dante dans la législature avec- le pro- |. lant que lu religion chre “La Naissance d'une  Ra- 
Mme suivart: tienne détermina les rapports ce”. Abbé L.: Groulx...8 :76 
\1. Retrancher toutes les dépenses | des livnmes et des sociétés, il : ! FRERE ” RE. 
Qui ne sont pas abéolument essentiel-| NC surgissait de cette question|“Les Hapallages', Avdé 
les. [que de rares difficultés. Au-| Lionel Groulzr- édition en 
2. Abolir le système de patrosage | jourd'hui, tout n'est qu'égoïs-| de luxe "...::.%%,;,. 8 (6 
de parti. $ ine et huine. = . Edition populaire vice n 25 
8. Limiter l'intérvertion du gouver tas DRASS Élus ñ Û : . 
nement dans la coopéretive commèr- en Por ne css ni = A A postoli ré du 
clsle à la législation en encourageant |‘ Congrès dans le but de ré- enri Bourassa: édition 
: à l'éts #Hublir l'harmonie entre d'éu-t de luxe. # 60 
le'travail coopératif, à l'établissement. *°2 : . it arr , 184 4 
statistiques absolument sûres. et à | Vrier entre l'ouvrir ét-k/capi-! Edition populaire ..... $ 2 
la dissémination des principes Coopé- tuliste, c'est >arfait, mais ils “Choses ‘qui s'en :vorit'' 
ratifs. fn'arriverenñt à aucun résultat | Prive Gilles, O.FM.- eo” 2% 
. 4. Fournir dés facilités égales d'ins- | S'ils s'obstinent à traiter le pro- ARE : SN Tes 
truction à tous les enfants de toutes} bl£iné au point de vue: maté-!"N otre Jeunesse”, Guy Va- ÿ 
les Classes. en augmentant considéra- riel, en négligeant son coté mo-| "Her ..:..:0 0%, , ur 4 214 
d'instruction” dans dos dire agen [TA CET: à So LE RE NER eM | 
74." Subetitebr à" 18 avététions rs Lu Question syciule est régie PATNAHENGURE « Hen- jo 
grandes" routes provinciales : dispen- | 47 des principes MOoraux, non? A4 tar A EEE A $'A0 
dieusés, une politique raisonnée de ré.| Par l'urgerit. , L 4 Déportation des Aca- 
eaux de themius-blan tenus, en fai! L'Eglise « sur: ce point unel : diens”, Henri d'Arles. .% A0 
sant de bons chemibs pour tout . ‘le doctrine ‘sublime devant. la- Orctrouvera à ta 1 é 9, Îri 
monde plutôt que de #randes roùtes | quelle s'éclipsent avec honte les Colonñé, une liste ie de sh | 
d'un haut prix pour quelques-uns, le |; urs du cavitali : , Mur, pe co préle Ues : ; 
coût de. constrüction «t d'éeatrètien de- she d 8 SE ita *spe rationa- brochures, tracts LA livres LUE Ci 
vant être éjuitablement pa-tagé'entre l ss + oh 2 pue Lei vente par notre Corrité.. | 
les villes et'campagnes, J -Le Révéren ere Directeur , PP: ET 
& Etablir, dès inéchodes d'exploita- | 4 droit aux plus sincères félici- Comité de Propagande . n:. 
tion forestières qui maintiendront et|tations etrà la plus entière re- À Se mec LaVépendrye, D T— 
sugmenterant les re7enus de cette cpanalssahce des membres du| . : 39 Avenue Proventher. 
source; protéger.st pèrpétuer nos res. cende. . SU CNE k Saint-l an. . 
Re cu | |. Fee 


le soumettant à un Con- h Ft 
F3 ‘ 


ës. 


des trôle efficace ; | 4 for + | a # ä à 
juiliet der-| : #. ét mettre. on vigueur | Nous félicitons lès cercles rt- 1 

qui ‘edé| télés 1éis dé prohibition contre lu ves-|raux dé lu besogne qu'ils ont. 
nte ans. un|te des liqueurs que le peuple. sanc | uccomplis pendant les uñnées - : 


passées .ct nous les invitons à 
publier ‘le compte-rendü de 
leurs réunions. Il est impor 
tant, daus'une organisation de 
lutte, que l'un. sache £e que : 
l'autre fuit. (4, 


L 


du progrütume des  Fermiers-Unis 

Comment remébier à cela? D'abord d'Ontario et ls mettront twite leur in- 
que l'on épargne à de Jeunes cerveaux Muence de ce côté + 
un surmenage sans profit: que de mé-| ?. :Recourir plus fi iqueinment à 
me que l'on dose, la nourriture à des | Pratique de la légisirtion directe y 
organismes en formation et croissance; | le referendum et rs populaire. 
que l'on approprie à l'intelligence, à 1a! 10. ‘Appliquer je -pribcipe 
mémoire et à l'eapr't.des écoliers un présentation proportionnelle 
aliment intellectuel d'assimilation fa. | tions. FA rule des membres du Cercle, -+ 
cie. . | ‘pie Ceux qui désireront se confes- 

H nb "suffirait pas de aonner des|ON PEUT ETRE Car HOLIQUE erlser pourront se rendre vers les 
"matières assimilables, maîs 4} faudrait SON CITOYEN : F8 heures et demie: il y aura des .: 
encore en limiter la duantité, Même : cvonfesseurs. : cr 
l'aliment assimilable, donné en trop Le témoignaÿe d'un: Chinois : Les anciens membres coté * 
|grande quantité, est mauvais, 1! ne Toute une école d'un sèectarisme in- les nouveuux, nous le croyons, 

faut pus Que la quantité dépasse Ja | curable et d'une ignorance crasse ne se feront nn devoir dé s'y ren- 
UE sujei. 11 faut toujours se ger-| cesse au Canada de prétendre qu'un d u 
der de l'encombrement. €ar Ce qu'on |bun catholique ne saurait être un bon | Ure. 
gagne en étendue on le perd en pro-|citoyen. Celui qi s'est engagé à obéir É: 
fondeur. ; [au Pape-re saurait, selon eux, fidèle- 
. Æombieñ-vrai ay .Manitoba’ Qu | ment obéir aux lois de son. pays. Pour 
sont éteñdus nôs programmes, mais! qui sait ce qu'est l'Eglise catholique, 
qu'ils pêchent par la profondeur. Qu'au-| c'est tout simplenient ridtwule, muis 11 
ra retenu dañs dix ans dù programme | est chez nous des gens Qui ne savent 
l'élève le plus brillant à l'examen? Po: | ni voir, hi comprendre, et qui ne veu- 
sez à dix ans d'intervalle les questions | jent ni l'un ni l'autre. Tout sutre en 
auxquelles il répondit avec ‘succès à Chine: là des payens savent voir et 


4 


"+ ; 
“ Dimanche prochain, le 5 oe- : 
de la re ltobre, aura lièu au Collège, à ÿ 
sux élec-lhéures, une commünion gèéné- 


* 


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Comité de Presse. 
‘de LaVérendrye. 


CHANGEMENT D'ADRESSE 


On doit nous ! communiquer ; 
immédiatement tout chänge- 
ment d'adresse. N'oubliez pas 


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( 


Es 
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int de vue gs JS il est 


tes et de nouveaux joueurs ont 
_ surgi à Ja Fables 4 heure dont 
00 né savait qüe-peu de chosé, 

mais qui se sont affirmés de!aûx 


ps ct des plus habiles:raquettes. |tout 
outure s'est aussi classé avec 
a“vantage par sa onde" En, 


tendue sur Raymond. Enfin, ““Le‘résultat général des con- 
Taillefer a complétement m lé}coursya été comme suit : : 
les'cartes dés prophètes, élimi-|  Simples pour hommes (Cou- 
nant en succession et Bougard |pe Cusson) : L.-P. Roy. 
et Lacerte, et_ né _suecombant |: Doubles pour homes : (Cou- 
cufin que devant Roy, après un |pe Dubue) : L.-P. Roy et H. La- 
. Match où la fortune hésita bien lcerte. s Ft 
souvent en sa faveur. Des vé-|. Simples pour hommes : 
trans, Roy'et Etienne Prender- {dicap) : A. Taillefer. 
gast sont les seuls. qui aient}  Simples, pour dames: (Cou- 
ajouté à leur réputation.  … |pe Bénard) : Mlle B. Olivier 


(han- \ 


istence de 


sûjet qui’ a été discyté. 


peut qu'il e 


il se’ peut aussi ait 

as. Je mme plais à espérer que 
‘honorable député ne doute pas 
de ma parolé 
un fait absolu. ‘ Je lui dis que 
les membrés du cabinet “Anÿtais 
ont admis que la ratification de 
ce traité doit être 


parlement 


nous désirons, que nous 


geons que 


prononce sur ce fra 
conseiller à Sa Mañesté de le 


rälifier au 


-Le très hon. sir Robert Bor- 
den: Je n'äi pas parlé de l'ex- 


L'hon. M. 
crois sans réserve à lôut ce que 
dit mon. très. honorable 

ien que nous ayons peut-étreé 


Parlement. canadien emende |; 
l'approuver ou le rejeter, je.! 
docurnents. C'est ün!40ïs lui dire qu'il en est encore 
Il se: 
xiste des documents. ! 
qu'il n'y en ait 


ces dernières années. il y a cent ans. 


quand je lui cite 


proposée au 
canadien, et que: 
exi- é ; 
notre : Parlement se : 

Ve avant de e 
nom du Canada. 
Fielding: Certes,je |} 0! e 
3,900 millés et ne pas crever. Nous somn 


ami. 
de graïde résistance et qui jouit des mê 


, Chez les damés le jeu est de- 
ténu moins timide ét partant 
plus scientifique. Mlle “Olivier 
s'est assurée la coupe Bénard, 
el sa victoire a été très popu- 
lajre. : Déterminer celle qui 
pourrait être classée en tête de 


la liste des dames esi 
nent « R 


Sommes-n 


e 
Pratiques 


5 une nation 


Doubles pour dames: (Cou- 
pes Roy et Lacerte): Milles Y: 
Prendergast et McLéan. : 

Simple pour dames: (handi- 
cap):, Mlle Y. Prendergast ou 
Mile ‘Ant. Prendergast (à jour). 

Doubles mixtes: Mlle Coupez 
CCM RDV TT 


D = == 


\ , 

M. Fielding pose 
, 
—LEhon- M: Fietdiig (Shelbur- 
ne-et-Queen) : Oserai-je prier le 
premier ministre de compléter 
ses intéressantes, instructives et 
utiles-explications en répon- 
dant à une question que je lui 
net” et 
je l'espère: je serais bien aise 
de savoir ce qu'il pense des 
conséquences que pourrait en: 
trainer le refus ou la négligen- 
ce ‘du Parlement canadien de 
ratifier le traité. De quelle nra- 
nière et à quel point en souffri- 
raient les. intérêts du. Canada, 
de l'émpire et qu mondeentier ? 
Le très hon. sir Robert. Bor- 
‘den: Le défaut de ratification 
par le Parlement entrainerait, 
11 va saps dire, la chute du mi- 
nistère qui soumet le traité à 

l'approbation des Chambres. 
L'hon. M. Fielding: Ce n’est 


la question. Interessant debat 


‘qu'il estimera légitime, | 


| faut de ratification du traité: 
| Quelles en serdient.les consé- 
| quences pour l’une des nations 
intéressées? Que noùs importe 
| ou qu'importe à l'empire où au 
| monde que nous ne ratifions ja- 
| mais le traité ?- 

Le très hon. sir Robert Bor- 
den: Voici: le Canada se tien- 
drait à l'écart du veste de l’em- 
|pire. Cela l'obligerait à agir 
| d'une manière indépendante, à. 
Ltel point, qu'à l’avenir ‘on ne 
‘pourrait pas.considérer qu'il 
voopère avec les autres nations 
de l'empire. k 

L'hon. M. Fielding: En tant 
que partie de l'empire, le Ca- 
nada, dans tous ses rapports in- 
ternationaux, ne’ serait-il pas 
(lié par la ratification de Sa Ma- 
jesté le roi et du parlement an- 
| glais? 


incontestablement le droit et 
qu'il.soit-avantageux de ratifier 
le traité, j'ai demandé ce qui 
se produirait au Canäda, dans 
l'empire, dans le monde entier, 


si nous venions-à le rejeter, et | || 


la plus grave. conséquence que 
mon très honorables ami nous 
a signalée, c'est là possibilité 
d'un changement de goyverne-! 
ment: = ue em Fe cs —— T 

Le très hôon. sir Robert Bor-! 


den: Pardon: mon “honorable :_ 
ami oublie ce que je disais tan-| 


tôt: Le fait de. ne pas ratifier 
de ‘traité aurait, je l'assure, les! 
plus graves Conséquences. 
: L'hon. M. Fielding: Lesquel- 
es? F 


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k - D: Capiil autOrIsd re renssucs L $25,000, is 

Le trés hôn. sir Robert Bor- Gapital payé... et cute 16,100, E 
den: C'est que le Canada:-ne se- Leur PL N à ubid RES ER RENE AE Ent et ans es Pere 
rait-pas partie à un traité de ; Présidént, Sié Hérbert Holt à 


paix accepté par l'empire. 
L'hon. M. Fielding: Sérions- 
nous en guerre ? s | 
Le très ho. sir Robert 'Bor-| 
den: J'ai déjà dit quelle serait. : 
à notre avis, la situation du! 
pays en pareil cas. Si l’hono- 
rable député est encore de.ceux 
ui pensent qu'en dépit des 
“dispositions qui ont élé arré:, 


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pas ce que j'avais en l'idée. | Le très hon. sir Robert Bor- 


Le très ‘hon. sir Robert Bor- den: Sa Majesté le roi et ses 
den: Telle serait la conséquen- | conseillers ont reconpu à ce 


ce du défaut. de ratifitation | Parlement le droit d'exprimer 
Dans ce cas, ce serait à mon sop avis au sujet de ce traité. 
honorable ami et à ses collé: ! J'ai pris cet engagement envers 
gues qui seraient ministres de !le Parlement et je l'ai fait con- 
répondre à la question qu'il! naître au. gouvernement: an- 
vient de poser. glais. : Celui-ci s’est rendu 
L'hon. M. Fielding: Je ne!compte de la Situation et ne 
_songedis pas à cela. Le sort |veut pas s'occuper du traité, en 
‘d'un ministère où d’un parti a ant qu’il concerne Île Canada, 
bien peu d’impôrtance en com- | sans l'approbation du Parle- 
paraison des destinées de la So-|ment canadien. ; : 
ciété ‘des nations. Je n'ai pas! L'hon. M. Fieldtng: Le pre- 
demandé quel'serait le résultat mier "ministre déposera-t-il les 
pour les députés d'un parti ou | documents qui font voir que le 
de l’autge.-mais en quoi lés in- gouvernement anglais s'est en’ 
térêts dif Canada et ceux de | gagé à ne pas ratifier le traité | 
l'empire souffriraient” du dé-!$ans le consentement dû parle- 


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AUR le champ de bataille, elle fut d’une endur- 
S ance nonpareil, ellé fut, et’estencore la dernière 
et seule machine en état de service lorsque 
lés hostilités cessèrent."'—-Extrait{ d'une lettre qu'- 
un soldat Anglais stationné en Afrique, écrivit à: 
la Compagnie Ford. +, | PE ee mn 
Par les chemins défoncés par les obus, à travers les champs submergés, 
et comme force‘motrice, n'ayant de supérieur que les chars d'assaut 
pour pouvoir passer pardessus les débris, et les trous d’obus, la machi- 
ne Ford établit un record mondial extraordinaire: sur les champs de 
bataille -de-cette grande Guerrg Les louanges de la voiture Ford 
furent chantées en vers et mis en muéique: les-lettres en parlèrent, 
les dépêches ainsi que les rapports militaires en firent mention. 


En France. -: des 1000 voitures en usage, 700 étaient des Fords 
En Italie - des 1000 voitures en usage, 850 étaient des Fords 
. En Egypte - des 1000 voitures ‘en ‘Usage; 996 étaient des Fords 


En Mésopotamie des 1000 voitures en usage, 999 étaient ‘des Fords : 
L'installation de ferce-motrice Ford qui permit d'établir ce record 
-niversel sur tous les champs de bataille de la guerre, demeure toujours 
Ja même. Vous la trouverez dans la machine Ford que vous acheterez. 


“Routière Ford $660. . Auto de Tourisme $690.. Pour les modéles ouverts, l'équipe- 
ment de démarrage et d'allu e électrique est-de-$109- de plus: Coupé : « 
Sédan $1175 (l'équipement de d marrage et d'allumage électrique est compris 
dansle prix des modèles fermés). Jantes png so nv à gt de pneu,-et pneus 
entidérapants.en arrière comme ‘équipment facultatif dux voitures fermées, au - 
«Prix de 'seülement $25 dé plus. Ces prix sont f{. 0. b. Ford, Ont., la taxe de guerre: 

ron comprise, k DEL £:,4 f 4 , 

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sa volonté sans avoir égard 
à l'histoire ancienne. et qu'il de: | notre Parlement. Je lé répète, 
vrait faite accorder ses idées.| s'il est de_cet_avis, c'est_qu'ill 
avec la marche ‘du progrès ‘€ | pense encpre comme on pensait 


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NC ES = Et TT] compte. Ce qu'il insinue, c'est nrerseet— :. [© ons avee vain à sion lee der è 
2 CL RIT TT que la ratification du traité par! —Deis pauvres gueux « quil? Donne lies cr ts > 
eo —— — - —- —— Je parlement canadien n'est n'ont pas diné ‘rentrent ‘ darfs|+ reotion 4'experts ÿ ‘. 
ment canadien? Comme il a|tut qui a été conféré aux. Domi- | {U'une simple comédie, c'est leur:taudis, mourant de faim et ? : Demander des 2 
[fait une déclaration dans. ce gs en ne msg à années, dues mat ce a È - de froid..." "=; x : +. ee - Supérieure : 
sens, j'aime à croire qu'il dé-|il sé peut en e que Sa Mlajes- | ARa4da, le”gouvérnement . dul. _. Sapristi, "dit l'un, j'ai [+ : ÉÉ 
aps les papiers établissant {té ratifié ce traité au nom du Royaume-Uni : est. revêtu. dè | hair de poule. ésssssssumssssssuse® 
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Li < 


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lvance-done:-maledroit/-- Nà ; } tifiges paraissent honteusement 
blé d'employer l'étoffe Je rsey js + Free ne A Tiens. salle était bien humble, l'ampublement n'était ‘applique-t-elle à l'étude des choses surnatu. | | puérils: à qui. flotte dans. lin: ë 
po 2 rge, Le Jersey de es ou- ti droit. Vois où tu te mets|rien moins que luxueux, car sÜhté mémoire est relles, mais ne s'appliquerait-elle, pas aussi à! fini Amiel. | € 
Tr i Le , » ; » , + + Li 
w re - mp . , ph a toi les pieds! Suis-moi donc! etc. . Midèle, il consistait en dé Zongues tables de bois l'élude en général, puisque toutes sciences ne 1 CEE AE | Chaque Paquet 
rs ma a rm nr at É fait ele, elc. ibrut et en de sommaires banes à dossier: un. S0nt que des rameaux diy-rñé me arbre porteur: | ne pensée aimable et douce de 10Cd 
Jette. cool out tre fi , , ; 
e:- Le-coes, peut El pied SEX Comme lout est à éviter et à! spl L bios abs toute. la science du monde. à l'égard des autres finit par | e e _ 
de différente fagon. L'une se  fedouter:-caritise-tes avertis tableau noir, une tribune, haussanñt. ainsi li S'empreindre dans la physiono- L 
Re ! $ 
termine à hr ceinture, Fantre lhenté ifceatle tiéttant Ps pupitre de nôtre institutrice, une chaudière à ‘Quèlle habileté on a dû déployer pour ré- lie et par lui donner nn ca- PA EF} E R x 
se 4 AE D rc «AN ep maladresses au. même :niveau|tau,-0ù ceux qui dvaient le coeur bon pouvaient ussir à éliminer de chaque livre à portée de |chet-qui aftire tous les couts. À MOUCH FS 
” é sa “y sé ï État 7 Ù | 
ES . sm _ gere 8 Ft que lc s' périls véritables, l'en- puiser! à volonté La «: haleur y entrait. plus l'enfant, lé gom de Dieu ‘et toute idée du sur, Lac or daire. RE E : : : Le 
»Yenne, ndra_25% Fe 
vérges dé matériel de 41 douces | { fant-n'aura plus ja inesure dés. que généreusemeñ en été: en hive r, il arrivait naturel! Et que l'étude dit être ‘aride à: qui Tout ocur- terrdre, dès lors’ ; W l LS 0 N : 
Ë + res + , Cocur- tre : ÿ 7 «1 cn 
dé fargeur. On peutéobteiirles chOESRe et se lassera de toutg at- IsoiWenE-que les gàarc ons. chargés d'allumer We. ne sait 1 ‘élevit au-dessus de là nature! Com- qu'il se garde pur, reçoit quel- EEE fs QUE 
« ‘ ntion sérieuse, k es f ù JE À IRPUR 
grandeurs 31 à 44 .de buste. pi On-lui demande tout de prés|PoË le avant notre arrivée, manqguaient à eur bien F "à doit faire plus clair dans:'une intelli -qué chose de la force, de lasü- ps QUEL ATTRAPE-MOUCHE 
Sur” À. € nya de 40 sQus'on re: ji tautions: qu'il ehoncera à, enlengagément.,Brrr! quand lt pense! Mais gente qui se sera assuré le secours d'en_haut..sié du Coe ut Divin. ri ——— COLLANT 
au. Déparl menl ds. We ER prendre mien \ L a Hiur,, perdait Le crue ifir: nous avions une € combien moins ardirè sera la narration à Rép à : ï i Propre à employer ob par ES 
JArIeMe ? k , LÉ Un apôtre est un rétempteur . 
. Wést Candy, G49 Ave Me Der: Fernand Nicola" | maitrésse bien catholique religieuse mainte.. faire, ou le problème ‘à.:re ‘soudre, quand ‘on! qu spot SOUVENCZ- en Et PhhtarestepA épiciers et marenätids, 
°- mot, w inhidéd. | . "Les enfants mal élevés ‘aura dit: “Mon Dieu; aidez-moi. "C'est-à- dire, bé COS = 
mi uupeg: . : / nant, »t entre les mains on nous mettait des | SOuvenez-VOUS que, pour raché:}, sn 
mm ——— "mr + —— (ti start 15 Die -} aidez-moi. à : faire. oeuvré qui ‘paille, enlevées! iet une âme: il ne !fant pas = < 
res-parlant de Dieu} Jamais nous n'aurions 
L'AUTORITE. ET "| Coïnment il faut user des di- 1 es n'auri NS out: voile qui puisse obscurcir mon coeur et}craindre de, souffrir: pour: ele. 


« 


t D re ou 


AVE 


-quéi il. MA ai on inflige. inopi- 
nément à l'enfant une côrrec- 


nés au jeu de balle. Il faut que le sôn répété 
tion quele ORTUE AN, soufflet j j 5 


dela cloche se fasse entendre pendant quetques 


+: 

LR jotit s’é Le. + minutes poirr que la: jeurre. insfitutrice par-. 

a On app -que lé: ‘pauvret vienne, länt bien que-mal, à les grouper autour 
s'est avec. une uiguille,| d'elle dans un ordre relatif. Bientôt. je ne Les’ 


‘qu'on avait eu l'imprudencé de! 
laisser sur un meuble. 
“Mais grand'rigaud. il,fai- 


vois plus ‘ 
l'imagination dans les salles très modernés, 
lait — dire”: schüpüleusement aérées _ je ne nie pas ça - 
Le bambin penser a ans dou-täbsülument hygiéniques. * On a si. grand: soin 
4. ‘tt en lur-même, qu'il eût été[de l'étre physique dans ten bcolEs 
"préférable de ‘savoir. d'abord de l'âme, on n'a nul souci. -L'äme? 


‘+ 


E Savent-ils: 
No A6 


ser: ‘ Fais attention, lu vas te co-\mes pare 


peuvent en étre l'étoffe désirée, aher Régarde devant toi!. 


nts m'avaient- fait goûter, plusieurs 
mais il serait peut-être préféra- 


mois durant, de lu “petite école” du village La 


Le ommeéncé la classe sans_.dire, 
'sées, un Veni Sanete Spiritus 


Les danses et bals sontchose 6 | 
lindifférentes de leur ‘ nature: | 


vertissements du monde legs 


LA CORRECTION 


Inégalité dans la corréction 


Les petits’ garçons. n'avaient pas le droit 


L'inégalité dans la Torreition "Mais, seloi ‘ordinaire Seurr RMI SRE ‘ à ; 7 liam Dovenant qui vivait au D’ ; 
Maintes fois, lé châtiment est! Avec Hiquelle cet exercice qu'ils soient bé n appre tes si prestez qu M: soient la quantité -0 Philiothée, dés impertinen- XV lle siécle. avait perdu son! estomac 
proportionné, non. * point. aux 4e (Fee fort pe nché 5% Le in-. [par 7 Iqué üecasion: de la-)leur SCI de ve D sir Peülies récréations sont ordinaire, n€2 à li suite d'un ace ident. Las n| “Des aie we Cu 
pe) ! € >»: Qi na )ar|jquelle vous ne Juissiez as > ’ » » £noren | un médec 
torts de notre fils, mais à nositlhiné du costé du: mi ER | I bi Il fi et peu ‘souvent, Philothée; car nan dange reuses: elles dissi- -Jjour qu il traversait la ville de Souvent on ant n 
disposition personnelles. vonséquent plein de -hanger_etEvousibien-exeuser, 1 faut aller faisadt autrement, vous: -votts tr te dévai il ondrés-à. pied, -une vieille’? : Indigestio0. utand-auéc 1e 
Prépécupé d'esprit: ou ner-| P€ ri. On les faïlide nuict, : et pau bal, prenez garde que vostre ‘metiez en dangér dé vous y af-| Pen esprit de dévotion, allan- mendianñte le suivit en lui de- Fi rénale et le traiter, 
veux par tempérame nt, on de-! purmi les ténébreux et vicieux! danse soit bien apprestée. Mais fectionner. lguissent les forces, reffoidis-; mandant l'aumiône et ; 


vient intolérant jusqu'a d'impar | en un sujet qui de soy-mesme |comiment faut-il qu'elle soit ac- 


ja s miBRÈTe nr) 


Le dernier entré; je Les suis par 


De la santé. 


mains er oi- 


Les champignons, selon‘P Hi-lsent la char it et réveillent en tant: 


LE RS en L @4 


rene meurent 


Laà-bas tord la forét comme une chépelire : 


” Pareil au. bruit: des mers, roulegses de  saletss: 
L' ‘aütorñne, qui de desc les collines vailées 
Fait, sous ‘ses pas profon 5. 


saës à là sortie de quatre heures. "Ai ussi n ‘4 
âvait-il pas. de. ‘plus grande punition pour: ‘une | 
fillette qui avait failli au devoir, que de l'en- { 
voyer Le le: “piquet” dans La roisinage des! 
_ garçons. À ‘ 4 


Oui, jé pense a na petite ét rôle: en suivant 
de loin ces enfants qui vont s'asseoir et Com- 
mencer celte heure de classe sans soriger même 
qu' on puisse demander quelque lumière pour | 
bien s'assimiler les diverses sciences: ‘qui -leur | 
seront données en pâluré. Je les plains. = 

: “C'est moi, dit Notre-Seigneur, qui donne + Ne nous inquiélons pus : de 
l'avenir; portons seulement no- 
la science aux hommes, el éclaire l'intelligence | tre fardeau: de ch que jour. Ve 
dés enfants, plus que l'homme ne tre ponrgt Lacordhire. | 
par aucun enseignement.” 


Monte, Mélanie oliques: à la vitre termée. 4 


: Suse itant. des pensers, d ipmortélte: et FA buis, 
La cloche sonne, grave, ai ceeur de la paroisse 
Et la lumière, aveé. un long frisson d'angoisse, 
Ee oité au fünd, di ciel denir les longues nuits. 

: ARBRE" SA MAIS. 


6 


ee 


! PENSEES | CHOISIES ‘[fñez, vous ne pourrez donc ja 
mais porter de lunettes;-car el- 
les ne $suraient-tenir en équi- 
libre: sur Votre: visage! 

Le poète ‘rit ‘beaucoup de ce 
. Les grandes'ämes me veulent souhait inattendu qui.se réalisa" 


rien que le gr: and 


Sans doute; cette. sentence de l'Imitalion: 


mon esprit, 


Li 


car sans vous, je. ne puis. rién, 


JACQUELINE des ERABI, ES. 
Robiaee 1 1919. 


HAE RUN DIS ÿ 
Un voeu peu ordinaire 


Me 
Du Catarrhe 


: 6 SA EE à ‘célèbre poète añgfais W i-|$ à 


en ajou- 
ent kde) 


» EE 


à 


Tous Les ar-| d'ailleurs par la suite. . 


…, Le vent toürbillonnañt qui rabat lex tits à se aa 4 


Des troncs entrechoqués monte un puissant mpimurt 


- 


Féssaillir notre coënr, 


Et voici qi , s'afflige avec phés de ferveur. 14, 
: Le Jendre ‘ ésespoir des roses. D 

re e bal. des qué pes d'or qui vibrhit sans repos :: . 
à !S'est tuile péne gtinee. à la grille rouillée., Ces 

res + à * | "La tonnelle grelotlte et: 2/11 terre est mouillée, 

_. "a ré écipitation | dre dus Sad dupe ENFANTS. ART 2) de regarder | les petites filles: encore moins. Æt La linge blanc “Pique, perdu. dans: l'énclos. 
! n'entend crier..: Ôn en re, : ré l était-il permis de pren. 
: ©": Sur le térrain.de l'écolene l ts ‘-üdus. pensez bien, leur Es chant À s : 
et wvant même de savoir ,de garcons de Ales — rt ês enfants dre “part | aux. mémies jeux, e} de porter leurs ER HE sourk, comine une face: aimée: 


. Qui vous dit longuement adkew quand-ta mort: vient. 
Seul le son d'une enclume ou l'aboiemient Œun chien, 


de tréq 


appel L: 


c'est presque toy, 


liénce, où sévére jee l'in est qe susce publ sl mal;"on a Va : 2e modestie, de ne, estans Sspongieux et poreux |l'äme mille sortes. de malvai- 1 aites-moi la chhrité,-sir, | - Des -uvlliersde néssannés. souffrent ‘plie 
} 4 . » I À Je) n 1 1 » vu ons e lourdeur de angue, 
iuâtice: y fait de grandes veilles, apré s ou e et de bonne intention. comme ils sont, atire nt 4yse-l<es affections, c'est pourquoy 4e prierai Dieu -qu il VOUS | fsièine, de brälements déeajomac, 
Or tie nt plus comptede l'en. Hésque les on-perd les niatinées! lunge z-en peu et peu souvent, ment toute l'infection qui jeur EE rve là vue. | vomissements, de violentes éructations, de 
I F I lisent | :d | N RC DS Se ’ en faut user avec une grande; ‘ ji flenients, d'acidité d'estomac. Is 
nui IN on éprouve, que des in- des jours suivantsy €t par con- |< isent les médecins. parlans des est æ'utour, si que estans/ pres LAAEES PIX RE Le poète lui donifia dix sous. lea de lindigention auand 
(entions du coupable, iséquent le moyen de  servir|champignons, car pour bien ap- des serpents, ils en reçoivent |prudenc&= re { Grand merci, mon noble |" !: Haute de catarrhe: gastrite d'ertomae, 
C ependant, un enfant qui, de Dieu ensicelles. En un mot, en —_—— mia .le venin. Les:balz, les danses, S.'TFFäñcois de: Sales. : 'se igneur, dit alors la inendian-! 


c'est lousjours folie dé changer | 


Le -caiurshe d'estoinat 


t d 
lélibé ; | et telles Ha mblées tenebreuses te:. Le ciel vous conserve! etlaue les membranes muqueuses < He + 
‘propos délibéré, prononce, né 1 we il” lunrièré aux C'est sage que de prévenir lt atti l li nt les ms | | ss ARR EE pat { s'epaissistent. Une couche de phlecmaenge 
parole insolente, ‘est mille foisL'e jour : a nu kilnmiére au | à - est sage q 1 Œalturentorc inaireme nt les vices * Ress At | protege votre vue: | les le_sorte que les suce digestils 
plus répréhensiblé que - celui! ftenchres, des bonñe. oeuvres al maladie. Beaucoup de cho- el pechés qui regnent ‘en un! Pour qüe les :vers puissent |: Etanné de la répétitionde ce | 45,4t""éabes 1e, Meet eux simon es 
qui par mi: il: adresse, brisé “ur! de :s folastreries, Chascun por- ses causent des maux d estomac lieu: les querelles, les envies, les M=VINPE,: il faut qu'il " existe voe u, le -poële: deinanda à cet-hs de dangereuses mipladion: He sang se Qt 
+ È « r . "ue 0 et sharrie ve ä ' or 
vase préci iCUX. .. jte bal de la vanité à l'envi, et la) et il est.peu«h personnes qui. moqueries.'les folles :amours:|certaines Conditions morbi-ite vie ‘ile. pourquoi elle prenaitfon peut réculiér des dicres masi OR 
4 vunitéfest.une si grande dispo’ n'en souffrent pas. Au premier Etcomme ces exercices ouvrent des dans l'estomac elles °in- lun si grand intérêt à ses ve Ux. souvent. lé. preuier-signe d'un-mbriel "papes 
Aest neuf lieures du matin ::Sition aux "mauvaises :disposi-| symplôme que l'estomac et le les pores du éors de ceux quiltestinsi tant que ces coridi- Dieu merci! ajouta-t-il, j'y lame, he tcaide contre le est À 
‘un aimable baby pi isse gracieu- | [tions et aux amours dangereux foie né remplissent-pus bien les font.aussi ouvrent-ils les po- tions dureront, les vers existe- sois très clair, j'espère n'être pe-ralene Re nee sante 
Le ‘ * un Le vitre eau, auSsAI LI 
Let blasmyblés, qu'aiséme nt nt leurs fonclisns, avez: -retours Fes du coëêur, au moyen dequoÿ,|ront: Pour chasser les vers et! jamais aveugle, na. brave fe bis "peut boire L'eau -chahde nettoie _les @u- 
COLE. $ s'enge ndre és danses. aux Pilules Végétakes de Par- si quelque serpent; sur : cela! délivrer, l'enfant de $es souf-! me. ds aue PA a ne os 2 à 
Je.vous:dis des di nses,, ,Philo:| melce, :‘On-Verra que le fonc- vient es uux oreilles quel- ‘frances, H° faut recourir . aux me {jen j'e nds grâce at Sei- Leosités rend pius-eflicace l'action 2 Le. 
S,  MECULL OUR f | es li-!lionnément des organes ‘d la ïe I P. dre te À vhabde’ 1) plus, le bisurate de ma 
thée, comme les médecins .di- jen eo ganes de lt que parole lascive, quelque mu- oudres de liller contre _ les | gheur, car si jamais vous veniez | vira de s antiacide et senhes 


sént des potirons et_:ehampi-| digestion"hura tôt Fait de rede- 
gnons: les meilleurs n'en valent/ venir normal. Eës pilulés con- 
rich, ét je vous dis que les me il-| tiennent des laxatifs et des:-sé- 


guettéerie, quelc 
que: quelque ‘b: 
ter des regards 


\° CHARBON 


FOSBORNE | 


mn! dévoué pour nous at Fort-Pitt, 
Cela m'avait. d'abord échappé. 

{Mais jé vois clairement mainte- 

inant, ét nous serions bien sots, 
en vérité, de:ñe pas essayer, à 
li premiére occasion, de tirer 
fps ti-dé ses bonnes disposi- 
tions. : 
Miss Clamorgan, qui surveil-! 
l 

| 


lai des yeux, la silhouette. 
est inutile qu'il vous apérçoive. 


chevaf. Den 
fournÿir les 
évader, p ht-êt 


rue de la Frs No 7. 
@ à LES ARPENTS DE NEIGE 


femme de 


se 


d'elle... 


Allait-elle te 


l'homme av: mça vivement 
Main : . 


la! son, père avait 


Reculez-vous, mon père, il! tière confiance 
Rs | 


Il né s'étaient ei trompés.|äns se sent pa 
E re nry de \'allonges’ éut, à! je vois un homme” qui pas- C'était bien en € Jean Lalmée par un ho 
s LI Ne 
cet. jontanis avec une acuité pés se, dit-elle, Ronde qui sc sait ainsi aulindifférent, elle 
mible, ‘la sénsaliôn de tous les. Et, presque aussitôt, avec M 'crépuscule $oys le couvert desfmunément por 
drames. obscurs que iramañent:sourire indéfinissable : £ bouleaux en lançant des coups la situation, soit 
les passions et la vié au- -des* Ft je,le reconnais. : à tifs vers la maison où 


jd” oeil fur rie, soit par in 


Demain, il he nous|métis de se 
moyens 


à peu près de vous, Elsie. - Une!a issant ainsi il eût obéi à une 
sang-froid peut tant idée bien précise, mais &r “pas- | partager 
de choses sur un hamme épris sion grandissante 
La jgune fille réfléchissait. 
de|ce? Sans aucun doute, D'abord, 


montrait toujours lai plus en: Anglaise, un 4rouble inconnu et 


puis, quand uni 


jué cäfôlerie, ou 


isilic Vienne je: 


Vers. Elles rendront la diges- 
tion tormale en détrüisant les 
vers, les conditions qui permet- 


exc 


ja perdre la Vie, comment fe- | 
|riez-vous pour vous diriger. 
Mais comme 


dans On 


impudiques, des lous ceux qui |plasent à 


mn 


jpas celà. Vous n'avez pas dé | our reia 


/, é + 


soin 
le ‘urs 
qu'en 


charger du 
de nous|d'apporter. aux :Caplifs 
re... Cela dépend|aliments. Ce’n'est pas 


tait un éclairage bizarre sur lés!l'añmée 
ens el les choses: el, landis que 
Hughes Clamorgan, au fond.dé 
la piéée, se mblait fôrt occupé à 
u vec ses gompagnons 
tion les provisions 4p- 
D rtéeR les rbgards ‘du Boïs- 
3rûlé, rivés sur la jeune fille, 
étaient si, pleins dloquente 
hardiesse, que, malgré é son, 
sang-froid, l Any aise s'en trou- 
vait presque géñnée. Aussi s'enr- 
préssä-t:elle de préndre la paro 
le pour retrouver Sa complète 
assurance . | 
ï Je crois vous reconnaitre, 
dit-elle de sa Voix douce; n'é- 
tes-vous pas Lhomin 


- auquel 
nous devons la vie, moMpére et 


moi? - 


crés. par les Indiens. 
lui donnait: de déte 
de: Vaudace, et il était rempli 
de vagues espérances. Le ma- 
ntér. l'expérien-|tin où, pouf la première fois, à 
Saint-Paul, il s'était trouvé en 


elle! face de’ cette blonde et fraiche 


dre un service: 


4, 


el Roi ut: 


parlé, en 
Et|subit l'avait envahi. Jean Ta 
e de vingt Ronde était d'une nature assez 
sonnément ui-|affinée pour. ressentir l'amour 
mine qui-lui-est tel-que nous, le comprenoôns. 
» -eKt assez com- E orsque, quatre jours avant, sur 
les bords de la Saskatchewan, 
il avait tenu en son pouvoir la 
|ieune fille évanouie près de san 


ns AVI é i 
an ses avis. ter le terrain. 


de s'en 
tre les 
«Pourtant, 


comme 
iée\à abuser, de 


ar coque tte- 


qué, 
térét. | 


#” devra. tentôt av. 
ile ettout à fait na 
bisnrate le mugnésie n'eft pas laxatf 


, LA À 
canadienne, un frère 
qui ignoré-ce que son père et 
sa. soeur sont dévenus, qui les 
croit morts, sans doute massa-. 


chlorique qui povrra FA." 


_: 


CHA 


Quand. 


vous saurez cela, peut-être ne 
refuseréz-vous pas. de nous rep. 


# 


Ici, miss Cramorgan s'arrée 


racontant cette 
histoire; lavait'été surtout de tà- 
Comme un pru- 
dent gé néral, eJle voulait, avant 

or à fond, reconnal- 

orces de Yennemi. 

Jean La 
Roude semblait un peu interlo- 
elle er ignit de s'être en- 


RAA © LH ee » ji AS : core trop avancée pour un dé-. 
sous du grand dramé héroïque N'est-ce duré tetermier jt savait la, jeune Anglaise én-|° Or, pour l'Angldise pratique père inanimé, il n'avait certes! Un mouvement de tête nffir- but. * À sai erut-elle devoir le 
où allait se jouer bientôt l'ex- aveu vivacité. C'est biën ce lui! Ee : ns u'à la sauver dés In- f I | ] 

< Lib : à | les d fermée. é qu'était miss Else, de.tels in- mati fut: la seule réponse ve. rassurer.en souriant: 
istenee d'un péup e.. + ce nous à. pe 4 mr es € "| £ette grande bâtisse conila “| férêts étaient en jeu qu'elle se diens, fût. -cé au prix de sa vie, | métis. ‘Elsie lé, sentit troublé rte crai d'éd sta: ‘à rit 
: VIE ndiers aû Fort-Pitt Mo {nant une douzaine de. prison:|fût considérée comme. coupable Müis: à éette heure, soùs l'in- malgré tout devant elle,.et, dé- Île -je:n'ai +" l'ini ATP ; 
Anglaise el: Boisbräts — LR _—. pes ee es trom-lnjers, Ant trois femmes, “leside he pas agir; aucun serupule FanRese un‘sang-ardentet-jeu-fsornrais-stire d'elle-même, eh art je. spy mg uoi que ce soit 
Etsje?T ” Ya, rriqa _ esse pus TES! membres du ‘Gouvernement! ne la retenait, du reste: ce jeu, parfdite' possession de ses moy- $ TU Qu 
[8 air. u reste 


ce n'est pas 
première fois que je erois l'ü-| 
perce voir de puis que nous som- 


: Mon père ? à 2 
Approchez déne et regar- 


[res indiennes, était située à l'u-}ses veux, qu'un 
dez dans là direction: de cel ar- 


bre. Ne voyez-vous persoune ? mes prisonniers de EN ‘dans la partie ouest du village, | l'occasion. s'en 
Le: jour buissait, el, dans Je $° Et, Ml Pi ; b l'orée! du bois qui descend à | allait ouvrir. la 
local où étaient enfermés les convme mis anorgan \a- rivière. 


souriait plus. ne tie me nt, il ques- | 

tiontrà : 
Ni vo vous non plus? 

La jeune fille inclina ia tête 

e père continua: 


‘ prisonniers des métis,lès ton- 

tours des objets dévenaient : 

cha ue minute plus indis Houts - 
Sa NÉ une foninhe qui sÉmiblait: 


el, grace 
aux! volontaire, elle 
captifs teur nourriture, eompo- triompher. 

ste: généralement de conserves, 


Chaque matin et chaque soir, 
! |un_pnétis venait apporter 


il 


u 


provincial et l'agent des afai-| ne homme n “était, en somme, à 


Ine des extrémités ‘de Batoche, | gissait de combattre, 


avec des. armes très féminines, 
ice à son 


Elle venait de: communiquer 


ens <tHe-centine tr 
Jéswis vraiment bie n heu- 
reuse de vous revoir: au mi- 
lieu de cette dure 6 pré uvé, 
Il l'interrompit : 
Auriez-vous à vous. plain- 


tant de fois dans ses nuits d’'in- 
sons jetie séduisanté et blan- 
che figure 
leur de À 
mince, 


ennerni qu'il s’a- 
Puisque 
présentait, elle 
lutte contre Hi 


conv ainçu. 
n'aurez 


que vous nous rendrez, : 


ne, la passion commandait plus 
häut en lui. [avait déjà revu 
avc ses veux .£ou- 
&iel, son nez régulier ét 
‘sa lèvre 


supé rieure un 


qui puisse effaroucher vos scru- 
pules de demi-blane honnète et" 
Non, jamais vous : 
à raugir des servicés : 


Il s’a- 


girait de fairé passer une let 


» à 
tempérament} peu courte" découvrant des|dre de nous en quoi que ce soit, hi A ne res El 
entendait bien dénts étincelantes dés , qu'elle! miss? Les rations... sta soft. d : 


|souriait, Mémie à peint! Et cela 


» Cé n'est pas céld. Assuré- 
F exaltait de-sentir cette femmes 


ment: Lout est fort inconforta- 


Les veux à terre, Jean réfié-… 


sommeiller: dans un. ecdin, : le j' * dé pemmican, quelquefois—de | cette décision. à son e lors- |Jà, à deux pas dé lui, dans cette | ble ici, mais lé plus affreux est | chissait ;, 
fermier et sa fille était ut se uls:. J'ai rét A APTE MSON. Of, la init Tombait,[que la’ porté s'ouvrit. Sur le|maison de blanches! sen || de vivre séparés de ceux que! 7 Miss, dit-il enfin, votré dé 
it Le jeune Anglaise s'avangn rés ave utures, ‘Elsie, et mainte- let J'homme ne pouvait thrder à |seuil parut le métis porteur de!Batoche par un caneours df|l'on aime, de me pouvoir leur! sir de rassurer votre frère. 
\ l'étroite fenêtre “d'où nant j'ineline! es >ensér que VOUS Se présenter. ra (la nourriture que ”réelamaient {circonstances qui lui semblaient! faife connaître ce que l'on est! des. plus: légitimes, et, certes, . 
ds WIRD: s'échappait au-delà :-de la possédez une fêelle | influence | En ‘attendant, le fermier| déjà instamment quelques affa: vraiment l'oeuvre d'une volon-| devenu, Elle gst terrible. cette | c'est là un de ces services qu 
“fence”?,-vérs ladisière d'un bois $4F-68 jeune homme. | poursuivait son idée ; k re du|té supérieure... . :[ehow! : Et, tene#"{lbais que chrétien aimerait .à pendre à 
de bouleäux. Dans le sbir tom-  .Camme elle rse-t: risait, il re:}.  Qui'sait, disait- il,.ee qu'a-| flot qu'il portait, le fermier ai Majntenant qu'il sg trouvait} vous êtes bon, généréux: plein .d'autrés" chrétiens, Mais, ne. 
lurit, élle aperçut une sithouct: prit: Se , «—- fvee-hn . peu --d’ babileté--nous!| sx fille recomiurert Jean La! devant elle, it demeurdit immo: d'hymanité.. "Vous: nous 1 avez imémdie) d pas fout : à 
te qui ‘se ghissail entre les; . C'est à cause : de vous, évi-| pourrons obtenir dece garçon ?| Ronde. bile. comme pétrifié.. Le falotEprouvé.. Eh bien! duand vous l'heure qu'é votre frère : était 
, trones: : Ph 7 | demnfent, qu il s'est montré de: Veau jour, 1: nous à cédé sbn Il-avait êté “facile au jupe, posé” à terre, entre eux, proje- saurez, que 1" un, : frère duns rat art £anadienne? > 
FEAt jath a pe { ; TS (éd r ñ as US 08 Fe “ - ’ #14 
| à LE * 4 : : dj L 4 LFP ». # ! ee A - nt 
ACTUS LIRE Us ? nca ras ct ie À a oise ANNE » : arab astonhe asganstahèane déni irc mio E CR Ca 4 
%. AT: 4 , x P x ' A N ñ +3 LÉRRgr ARE. PR . 


\ 4 


ÿrendre ‘et peut être obtenux 
"MEL AN TR né-sont guëres bons.|datifs dans de telles proportions ;oeillades d’ ‘amour, les coeursitent aüx vers d'e xister dispa- |sont affligés de cette infirmité, |7mperte ut pharmacien. je confandez pas 
6 > FTR.741. néanmoins, Al faut manger que nulle autre pilule ne sat: *sünt fort uisez à se laisser sai- raitroni et l'enfant n ‘aura plus Hélas! monsieur, ne diteslss: int, citrase, Age gt eee chlaurate nn 
2 x ” . £ dl , nr (goudre © vaut! ILZ 2} 
; en un Ex potirons? Mrs 2 garde trait les valoir : sir et émpoisonner: à souffrir, sois ce rapport. - re dE arte a Es 
i ! 


« =! 


pr ment iseséer ss. ns 


ARNO si 


F CHER TES Re 


—— E 0 


P4 


VOIS-1ILÉ IAE 


AR Es en a A 


_  EVANGILE. 


rs 


î 


le-dimanche apres la. 
ue " ‘Pentecôte .: ot à : 
; EE Love . »" lexpédition en Hacje 
ES Matt NÉE 9-46.) 
En ec letmpeta, les phafisiens loi if sérvit de pature aux bêtes 
Minrent trouver Jésus, ot 
d'eau cet décteur dé chie 
oi, Juidéimande pour. le tenter 
Maitre yuel,ést. des lus grand ifnour urept ous 
e Commadrent.dé 
sus Hi répondit: Vous aimerez 
le Seignçur votre Dieu, dettouikes captivité chez les Perses et 
VOTrE coeur ‘de toile votre ame! fat, dit-ons écorché vif. : Nous 
et de io voire esprit 
le plus grand,et le premier com: | 
mandenmentiet voict le sééombl ice persécution fut tué par 
qui ui est scmblable 
érez votre prochain 


A, Joi LE 


C'est Ja 


Voustat: 
comme 


deus. conft- 


Jé: | 


di l'Aquifée, su corps jeté” dans la). 


imer et sx tête portée à: Rome 
pour Y étre exposée, ARC ONE 
L'empereur Dèce {seplicme 
persécution) -fut teahi dans une 
Gbligé de 
lluir, lt tomba dons ui maufhis, 


ISAUVagex. 5 s . : 
Gatthos et Votisien continué: 
trent, la méme persécution. et 
dé S choux ussas- 

à: à : 


sines, 


% SR ru MRETAS 
L'empercur Valérie mourut 


dofhans flus' loin 'des-détails. 
L'empereur-Atréfifn (neu- 


il voulait astrein- 
iscipline trop 


ses soldats, 4 
jdre % mme « 
véré “ 


: 


se 


”. Cr es PE Sd À no rer Lu me ee ee 


e , an ‘à * 
A A me ee A em na ur 


ÉPOUSER COCAEEEEETSICES EEE NET 


QE AIR | un Li 
Lundi ns sd 


:" 


ricnnes. Il entend'les soldats 
qui le maudissent. | Ne 
Plus loin, un’ passant l'inter- 
pelle, “Qu'est -devénü Néron? 
On le cherche pour: Te ‘tuer, 
comme il le mérité” * : 
Et Néron, l'emporevr, s'en:va: 
tout tremblant. : arriv® enfin, 
à la Villa de son‘ affranthi, 
Mais, pour x, pénétrer, force lui 
est de se trainer dans: un, ma- 
rais, dans uhe fange inmmonde, 
à travers Îles épings elles ro- 
"4.5 Là, opera es 2 - 
Ses compagnons, pour s'en 
débarrasser, Le pressent d'en 
finir par le suicide. C'est le seul. 


qui l'attend. 


moven d'échapper au supplice 


Mais le courage lui manque. 


LA LI 


certe cos sr hs he 


CR 


ee PE Mr er E  - 2 NR e P r e er F8 2 


: Il traversé les gardes préto-| éternel de la‘ honte des Ro: 


mains. à 
:! Son fils, Fempereur Gallien 
bien loin d iller à rom- 
pre ses fers, en témoignn de la 
Joie, tandis.* que * Hart de 
prinees étrangers alliés de Sas 
r solHctiatent ue »: 
Que vaulez-vous, dit-il en. ap- 
prenañt.sa mort, mon pèrè était 
mortel comme les autres." 


d Y 2 ce 


# sin: TS “| 
-Collègue de Discléfien, il 
partages sa huiné contré , le 
chrétiéns et le poussa à les:per- 
sécuter. H était au comble de 
la prospérité lorsque Dieu le 
frappa d'une plaie incurable. 


4 


tôt les entrailles oùil sé formait 


\ 


La gapgrènedui rong’a bien- 


e 


ep: 


Va 


o 


SES RER 9 ee A+ 


vexations 
sept des scDies. SR Ad 
es églises . furent dépouil- 
lées. Il obligea lés chrétiens à 
rebâtir les temples paiens, et 
ceui qui refusaient furent sou- 
mis à la torture où à la prison 
dont ilsne pouvaient sortir qtre 
par l’apostasie: 11 y eut sous le 
régné ‘de Julien ‘nombre de 


«martyrs, * k 


L'empereur  apostat devait 
ourir Comme meurent les per- 
sécuteurs. Le fameux Libanius, 
confident de Julien, rencon- 
trant à Antioche un . ‘chrétien, 
lui posa.-cétte question ironi- 
que me mer RE 
“+ Que fait actuellement:îe. 


di L 
LAS ARR or CE OT S 
EP # manu 


Paverrcrsqée tés tin its costs ob i du se 


* 


PLAT AE ERP 8 67 DU RQ EC LODEL LES LI DH E RÉ ER OT ES BE ES À 
taie! Juin de 

‘pour chrétiens. 
Ceux-ci furent exclus des char- 


qu’Arius, niant comme ce misé-| Les premiers sont-moris dans ” 


rablé la divinité de J-Christ. 
. Les apostats  - 
‘Un apostat,  merhinb ss 
avait reçu. le aptÿme des 
mains des catholiques, fut pro- 
osé pour les faire -tournienter, 
-rsqu'on vint au dincre Murit- 
ta, qui avait été son parrain, et 
-qué-l'on commençait à le dé- 
Pouiller, celui-ci tira’: tout 
coup les vêtements blarics 
il aVait-couvert Elpidofore 
sortir des fonts. 

H les déploya aux veux d 


‘ 


e 
apostal, qui siégcait 


juge: : : 
Voilà 1 


comme 


‘aulen ruinés’ 1 
‘| disparu: 


tous les assistants ‘et dit à cet! ° R Prat 
tlse, où sont-ils? 


es linges qui l'accu- |Ja 


PLLSLIREASLSLSES OA 


d'affreuses tortures. A Rome, 
sur toùs les points de l'univers, 
on a élevé sûr leur tombe des : 


monuments spléndides. On in: +. 


voque aujourd'hui après vingt’ 
siècles leur:nom. Nul à Rome 
n'a oùblié, Cécile, Agnès, Jean 


se 


‘ 
4 


: 


ét Paul, Sébastien et tant d'au: > 


tres! . : : 
. Quañt aux persécuteurs, leur 


CERN 


à | nom est exécre, Les riches pa- 
‘dont lais qu'ils se sont construits sont 
-cur Splendeur a 


Après leur mort ignominieu: 
Dapñs l'autre: vie, quelle ‘est 
gloiré des martyrs? Dans 


“ 


11 


fils du charpentier ? : ; 
.C'étäit ainsi que Julien et ses 

familiers désignaient habituel- 

Jement notre divin Sauveur. 


des vérs. DRE 
+: Une odeùr ,insüpportable se 
répandit non seulement dans le 


mandements renferment out 
Ja ot et les Prophètes. Con 
les puise 
Jésus leur 


Fa : Néron saisit deux poignards. Il 

Dioctétien mourut apres ftre tremble. H les remet au four- 
descendu du trône, revenu à Jxlrea “L'heure fitale n'est-pas 

«culture de son jardin de Saone, f'éncore venue’, ditsil 


on quand” Le grand juge | l'autre Vie, quel est le sort. des 
viendra, et quite précipitérant | persécuteurs ?". . . ° 

dans l'abime de soufre, Ces Hh-! ; 
es dant tu étais enveloppé dhi | 


+ fre 
En réalité, les  persécuteurs | 
ns ebucnt réunis la 


cette 


sen Hour 


question 


ment don 


Dénnis dst ot 

pied? Si td 
son 
son. fils ? 
Jui répondr 

ë px DETCIELTEE 


get 


Q 


{ 
Christ? de‘qui est-il fils 2 
David, fépondirent-is 
ajouth-teit, 
qui chat inspiré, 
son, Scigncur, lorsqu'il.dit; Le | 
. Seigneur ù dit à mon Séigneur 
Assevez2vous à ma droits 
qu'a ce que: je réduisé vos en! 
servir de 


fit. à 


rt 


pe 


D: 


Soigweur, comment 
Aucun d'eux 
cet dé puis ci 


D'osa plus: 
#1} 


sn DA MORT DER 
Fu nus: PERSECUTEURS | 
Une énumération éloquente 


du 
De 

(. O1) 
David, 
F l'a pyu le. t-il 


HSsCOZ-VOLS 


jus 


niari he 


aid l'appelle | 


est-il 
née puit 
jour 
l'interro- 


"laiton Süéconipagnant SÜL. 


Len Dalmatie 

J. Eempereur Maxumienrollé: 
[gue dde Dioclétien eut le choix 
{du supplice, il choisit la corde 
| Galére’ iMmourut, /comme. M 
tioghus, ronge pur les vérs 


| ir rase N'éTON 


Néron.‘qui déchaina : contre 
les chrétiens Hapre HYICECTPEESC- 
Leubion générale, fat nm vrai 
Lmonstr net ‘ 

L Entre autres criminelles en- 
itreprises, il fit mettre ‘le feu: à 
(| de Rome, doi 


| Fa vil 


pPotrr.-s4 


JTCUE, QUE SA FÉLOV AR pote Em 


lvré ‘lai ruine-de Troie, ; 6 
“IF jefa l'adfeux' de, son crimé 


4: se lamente, et parfois se re- 


1: 
[ner le: plaisir dé la voir brie 
é ï Ë " : {Deboul.sué une tour, ,; Fempe 

ee ag ce 0 DE De 1— : 
k lat dhérreur les {émoins de -cette 


| proche sa licheté. $ 
“Quelle honte pour moi, di- 
sait-il. [Laine faut du courage! 
Allons, réveille-toi, Néron.” 
On éntend un galop de cava-, 
hers, envoyés à sa. poursuite. 
{ Néron voulait s'enfoncer te fer 
dans-la gorge, mais sa main 
tremblait./. Epaphrodite, son 
secrétaire, dut luideér dans ce 
lache suicidé. : 
\. 1 respirait encore quana- le 
{centurion qui venuit le saisir 
lpénétra dans l'appartement. 
Mais justice était faite. Néron' 
expira. Les veux lui sortaient 


tle-httete cette frites 4 


épouvantable scène. (Suétône.) 
-Néron a disparu,-ne Hissant 
däns Fhistoire que le souvenir 


palais,mæis dans toute la ville 
de: Sardique. Ses douleurs in- 
tolérables lui faisaient pousser 
des_cris horribles. | On appli- 
‘quait sur-$a Chair des viandes 
vüites pour attirer Les vers, ët, 
en cl en sortait une quan- 
tité prodigieuse: 

I fit mourir plusieurs méde- 
cins qui ne pouväient apporter 
de remède à son mal ni en sup- 
porter la mauvaise odeur. 

Un d'eux se voyant près -de 
subir.sa fureur eut 
de lui dire: : 

.“Vous vous. trompez; sei- 
gneur, si vous croyez que les 
honimes puissent vous ôter le 


te maladie n'est pas, hümainé 
ni sujetle à mes remèdes. Sou- 
venez-Vous de te que vous avez 


le courage 


mal que Dieu vous envoie, Cet 


Il fabrique en ce moment 


un cercueil pour ton maître, Fe. 


pondit le chrétien. 
- Sa parole allait se réaliser, 

Dans une expédition contre 
les’ Perses, Julien fut. surpris 
par l’ennerhi. 
chés l'assaillit lui ét sa garde. 
L'une d'elles, -effleurant Je bras 
droit de l’empereur, “vint--ui 
percer le foie. 

A ce moment, Julien porta la 
main à sa blessure, recueillit le 
sang qui s'éc 
le lançant vers le Ciel, 1 s'écria : 
“Tu as vaincu, Galiléén !” 


jours de ceux qui le 
tent et le proscrivent, . , 


+ 


Une grêle de flè-- 


happait à flots et, | 


Be tiéen-triomphe tous 


_persécu-1" 


redoubleront + ton *supplice 
flammies éternelles... 

A ces moîls, loue la ville fon- 
dit. en ‘larmes et en ri Elpi- 
dofôre resta muet de honte. 

Combien de persécuteurs au- 
jourd'hui rougiraient si on leur 

résentail le brassard de leur 

remière Communion, en_leur 
rappelant ,léurs "promesses 
d'autrefois! DAT 


Qui furent vaincus? 
Ce hé furent pas les martyrs. 
Ce furent les persécuteurs 


sortant des fonts du baprme |, 
-une } 


ont été vaincus. : Il y. a au cie] 
justice." 


quand tu.seras enseveli dans 16e amont manie mamemmentes 


Ï AVIS'est donné:par le présofit que 
la°Cie THE NORTH EMPIRE FIRE 
INSURANCE COMPANY _'s'adressera 


[au parlement du (‘anada à sa prochai. 


ne session afin, d'obténir un bill pour 
légaliser et: confirmer une ämissior 
d'une partie dés ‘parts et actions do 


son Cäpital déjà #mises et donriéts en : 


échange pour: d'aûtres parts de la Cie 
.FHE CANADA WEST, dIRE INSU: 
RANCE COMPANY LIMITED, et afin 
d'obtenir une proclamation que la.dite 
Cie THE NORTH EMPIRE FIRE IN- 
SURANCE COMPANY s'est conforniée 
aux dispositions dé la-section 10, Cha 
pitre, 136 des Statuts de 1908 ét pour 
obtenis-une extension des pouvoirs 
EMPIRE FIRE. INSURANCE COM: 
PANY par ‘lesquels la dite Cie''aura. 
le pouvoir de faire des contrats con- 
cernant l'Assurance contre les. Explo-. 


sur Jes chrétiens et les persé-f di fait contre les serviteurs defde Julien, raconte” Théodoret, | QUE ja Oniie ln Bis de Vitine “es 
4 ; leutaravec fureur! IE fit marty- d'un monstre. A DT {Dieu et contre la sainte religion ! saint Sahase solitaire eut une TRRRES FEDERALER, Îles Automobiles, le. Vol, le Vol avec. À 0 
NCTON, CINpErEUr FOI, SE riser saint Pierre et saint Paul. Ft AUS vingt siécles: dans et vous verrez où vous devez| vision. LE j‘ Auæmentltion du taux d'intérêt. Effraçtion, les Boullloires à Vapeur, : . : | 
“na PE 0 la premiere p On lesvit faire attacher dans TRE Ven hit D Pot avoir recours. Je puis mourir! “Le loup crüel-qui-dévastait |,.A% En dohtopolile 2te0 leur DD UIS Det OÙ Poe Die LiC DE a Los 
sécution, [se transperca Tui-fés allées de $es jardins fes mar: JEURAIU ICS MATIYrS, S CCVE conime les autres, mais les mé-[la vigne du Seigneur vient -de sions d'un acte pour. amender la loi privilèges accessoires ou, nécegsairés d 
méme di Son cpée-pérr chape tvrs dont le-corps' était chduit. ais de ble abrité la decins ne vous guériront pas.” [tomber sous la vengeance divi- CUVE SalRIN #1 Dpt du? HE pour les fins_sus-dites où: l'un" quel: HE 
per aux süldats qui le pétrstui- | qe pois et ide PÉaIne," De oc OMR GE, PAR PAÉPRES Galère, pressé par la douleur, ñe. IL est mort, la persécution taux de te interet eur se ir Ponablé;çle | conque d'icglies, Misious Le 
vient les faisait brûler, et lui, trai- [°° Etantour®de cetté tombe glo-| publia bientôt un édit d’amnis: est terminée.” transactions en rappori-fvéc l'Acte des * “ A PT. k 
* 7e ii à DS 4 à .i Le : Alros mic: 16 ° { FYY RE La: ; \« tn Terres Fédéfalés era de 6 pc. par DATE à Winnipeg ce 13e jour do , 
L'empereur Domition deux lé sur son char, se promenait à {rieuserou liten lettres gigantes-ltie en faveur des chrétiens, Mais an | Fee année; ainsi que au Lot septmbre, 1419°| septembre A. D. 1919 
; iéme persécution) Put asassiné {Ta lueur de cestorches Vivantes.d ques la prophétie de” Jésus- c'était trop tard. L'édit du nou-|' Fe Hunéric : : le taux sur tous paiements partiels] ‘ ptet EE à 
dans.son. palais. .. | Dieu se réservrit de punir-te| Christ: “Les portes de l'enfer! vel Antiothus respire encore 1e Hunérié, roi dés Vandales. tranisetibnn ne Rnaue et Rene SUR . :  ADAMSON et LINDSAY, : , Î è 
, Rpit L'emnper: ur Tran (trotisii- monstre -bes-Gaules:se révpk ne prévaudront pas: contre, l'E-| faste. et loypieil “On dirait, fut un des'plus férobes er pr augmenté à 7 p.c. par es ; 806 Bee Pa 2 ee Re au | nee 
ES = Pye perséeution) mourut sübi<! (érent, soulevées par _l'éscldve l'glise. k remarque rhacher, Satan teurs de le reli fon parc ar 10 *  #° PERFIRA, | ‘ oc rrus RATÉ | 
tement | Vindex. Li révolte gagna jus- ; Valérien . forcé par la douleur .de ployer de 8 A 0" fatintatare de d'inçémeur tre l'McOiverin, Heydon et Ebbs, | 
Adrien _{güatrième -perséen: qu'à tome, et Néron © se. vit PT TRUE RE 777.. [le genou au nom du Christ.” On vit longtemps à Carthage be L'ILE CAN RC RE RS MT 
tion) profanh les Lieux Sais abandonné de toûs, trêmme par: Valérien, auteur de la huitiè- Galère mourut peu après, les marques des cruautés CRE Be PAPER 2 k. 
\ ét-éhercha à faire disparaitre |jà garde prétorietine [ie persécution, fut fait prison- rongé par la corruption et les|CÉes par ses ordres. Parmi les 
Je Calvaire én ÿ':élévant un! Un matin: il. s'évoilla seut{nier dans une expédition. con- vers. 4 catholiques, les uns étaient sans - : 
Me temple paien. Imourtit d'hv- {ans son palais. Happela, per- {tre lés.Perses. . Julien l’Apostat mains et sans pieds, | d’autres AU Lib Nr de sad ; 
.. dropisie, dans d'ftrotes :souf-léonne me ni répond. Presque Sapor, son Vainqueur, Se plut Rs sans yeux, sans nez.°et, sans ‘L economie et ] efficacite 
frances tous ses serviteurs l'avaient “lonner ef dise Es e Pos AE io fut CE éfion CR a : Aa ren : ; , 
L'empercur:Marc-Aurèle (cin-fipbandornné À ÆPETPTe la déchéance de cet em-] mi acharné du nom chré ien, | V ete suspendus, avaient les és S : ] ill £ 
, “Aène bersécuthion): moutut Prog qu'on venait pouf ler ais avait fait trembler dons pus al qu'il cpaaies APR ANT ATtASnUS uppriment le gaspi age : 
empoisonné h s'emparer de lui et lui.infliger [te monde. avait été élevé dans les princi-[au des :malons, La ser: pa nr tra . ñ 
Maximin de Thrace (sixiéme les Dit cruëls supplices,. | Chargé de fers, Valérien fut pes chrétiens. 1 ieni ainsi de jouet aux barba- ; Soyez economes, ‘Obtenez plus . "sut et du 
: persécution) SéVit contre fes PET 2  l'trainé de vilie en, ville; Ouand Esprit eurieux el superticiel, res: Eten + meilleur pan en usant e la. ga 
Î évèques et les prêtres, ff :mar-!: On lui conseille: pour échapzlSapor voulait mofiter à chevalet d'une prodigieuse vanité, il! : La mort d Hunéric est la plus pa terex 
yriser le papésaint Pontien, Flper aux tortures, de’ se _jcter lon faménait l'empereur chargé !se prit d'un beau zèle pour le|épouvantable que l'on ait ja-l FARINE PURITY = 
f. fut müssuieré ave. s04 7 fs--tldans le Tibre: il.n'èn 4 pas ‘le! de fers, et l'infortuné courbait pape SA D FRERES: ne Le sur Re: - - 
pe ENE La: _ — tcourag : - . [les épaules et servait de, mar- {rétablir les autels des idoles. Saint Victor d'Utique dit que s 
à TRE ir 55 Le Phaom. un de ses affranchts, |chepied. * chercha surtout à tuer Je chris-|les vers le rongèrent Arret TYPE GOUVERNEMENTAL 
| URINE: Peur. bec Faute li ‘ofre Line retraité dans Sal Suivant quelques-uns, on Fé- tianisme par la'séduction el le sumérent tout vivant. : Empiovez.la dans toutes vos 
IN Granulées io lihson, pres dé la voie Salaria.{corcha vif. Aprés sa mort, sui-| ridicule. ‘ SL Ne D'après saint Grégoire , de mpioyez- 4 At 
FA ete Vent Marine ol etes | NéTON S'échappe-par upe porte !vant les autres, on..sala :son Ne pouvant -resaurir au ‘Tours, il entra: en : fureur et F pâtisseries "ee 
: ; LES YEUX oui ere re GT O GET u-picds, avant sur iés |COFPS,- 6 COFrOYa sa pealr pour | meurtre sous peine de dépêu- mangea ses, propres membres. Permic. pour farines: Nos 15, 16, 17,18 
= PS RESORT M épaules uirmantétru de couleur; garder, on lateignit, en roùs<| pler l'empire, tant €lait:grande D'après saint Isidore-de Sé- 4: ’ 
en vente chez les Dyvguutes en Cana sombre et un mouchoir sur-le fge et on la suspendit dans un|lamültitéde chrétienne it fit Ville, les entrailles ui sortirent | 
pl AB Éd var er à VIStg 3 Hemple comme un monsiment prendre un grand nombre de corps, et il eut da même fiñ 
gs = ds sa i£ Sn sspoisé : à = ail A - do qq tem it gsm tmmmeiiene + ss : à 
ïe 2 mm _————— as ——— a = *) 
es % j at à : He Er / ee ef ne sa ; rs : 
On. Beutenant af 90e but Un flot, de:sang lui: monta-äld'un si soudain déchainement -— Pourquoi? Est-ce que vous| moyen de plus pratique à em:1 gis, l'esprit enfiévré des projets dans la nuit tombante: la sil- ) 
 taillon de carabiniers,. un face: 7; | de passion: n'avez pas confiance en moi?|ployer pôur s'acquitter de salles plus divers, le jeune Bois- houette gracicuse de. Rosalie | 
à Mais lors... comment vou-| Et Si je le tentais Ps'éeria-! : Laissez-moi, gronda-t-elle | Rien ne me’ serait plus pénible. mission. 0 mr l'Brülé:ne prenait pas  gurde| Guérin, in d | 
dez-vous [El sur-ün ton de défi Fine voix couverte, mais, fer-|  — Oh! non, certes! Après çe| En mêine temps que.la ieitre,|qu'une femme ‘ou plutôt une] C'était bien Rosalie Guüérin, 1 
2 C'est vrai, fit miss : Elsici® La jeune Anglaise haussa les lime, Ne me touchéz: pas!. Nefque vous:avez déjà fait pour liniss Elsie, qui songeait à tout, jeune fille, attentive à ses moin- {en effet, qui le suivait;cette Ro- r| 
avec una feinlfionfusion, Par:epautes “voyez-vous dénc.pas ceux qui!nous... +: [lui avait glissé un billet conte- -dres mouvements, le suivait àfsalie pour qui l'ainé. des La |: 
donnez-mbi mou: élourderie.i Vous ñe le fertz pas! Vous/sont derrière nous”? Quesvont-|" {Elle parut brusquement  se{nant Je signalement précis du quelque distance. Elle portait Ronde éprduvuit un'vif sehti- | 
. dans mon. désire de assurer sentez trob bien votis-méême quclils penser d'une parcillescène *ldécider et njouta'très vite: jeunc officier. Malgré tout, ce | sur sa hanche un paquet de lin-{ ment si fortuitement découvert A 
mon frère, jéfn'avais pas réféleEcruil'une folié #1" Plus’encore que cette justel * => Eh bien! c'est entendu: ! n'était déjà pas chosé si facile | ge qu'elle"venait sans doute.de {par le guide Joseph Lacroix... | 
/ chi. calcule les agnséquegees: Pardounc/Zemo.miss, réslremarque., 16 ton: froid sûr le-Tvoué aurez la Jettre. Faites en! de découvrir dans une colonne aver à la rivière, car elle a ditlEt cette jeune fille de dix-sept 
es .Mais-merlhtenunt que vous ét «| pliqua-t-il d'un ton Sec. Mais!quel elle était faite calma le!sorte de revenir demain nous|de mille hommes un lieutenant | débouché du pétit bois une mi-[ans, qui était descendue une: 
devant ,moi,’j Suis presque CE lie me décid: Je partirai dés! métis. Il aperçut, en effet, au! apporter les provisions.’ | Elle | de carabiniers “grand, mince et nute à peine apres les démons-| heure auparavant à la rivière, 
frayee de Le que Tai ose vous demain. fond de lu salle, dans la pénéom-{sera prête. Maintenant, retirez- blond..." Mais bah! l'important {trations réciproques de Jean La }des chansons aux lèvres, rega- 
demander... Jesvois tellement Jé vous le défends! P'aitlbre, les captifs qui: intrigués,| vous... et surtout soyez calme etlétait de trouver ‘d'abord le gr- ndé et de miss Clamorgan. gnait .mäintenant son logis, 
que c'est-imipossibles. Tes dani:fleurs, vous n'aurez pus ma let-[les regardaient. Le farmer, les| prudent. ‘ pete [texte pour quitter Batochen 1] Ænr-mvait-elle été témoin, 4r-[mordue au coeur par -la jalau- . 
..., fers: Votre vie." | Ur ; Ru sourcils froncés, semblait inê-| *AVTIT [verrait bien après... —— rêlée et dissimulée sous le cou-fsie…. ., En SRE 
= Le Bois-Brülé se rodressx: | Je, n'aipas besoin de vatre me prêt à intervenir. ‘Une imprudence - Interrogés par Jui, les éclai-| vert? C'était probable, à ef Depuis longtemps, elle avait 
| Mu ni Non, miss Ge Féttré. 1 me.-dultlit de savoir! “Jean La Ronde, gêné, se re- Le lendemaip, Jean La Roôn-Îreurs cris et stonies lui appri- juger du moins par l'expression remarqué Jean La Roñde: Bien 
à West pas, pour ma Vie que. Jelve que j'ai dire, . dressh, et, laissant aller la mainlde fut sur pied dès ka première [rent que la colonne anglaise ve- à la fois dépitéé gt railleuse quil des fois elle l'avait rencontré 
crains sent À La jeunefille le regardirfixe- [della jeune fille avec un soupir:!heure. Le souvenir-de la‘scè-lnait d'arriver au gué de Clark’s couvrait ses traits; tandis qu’el-| dans.ces bals que les métis, 
Pourquoi donc alors ? ment Fe ee Pardonnez-moi, murmu-lne de la veille ait fort trou-| Crossing, à trente-trois milles Île considérait lé Bois-PBrûlé qui, | grands amateurs de musique et 
Pourquoi? Mais-ne sentez Non... c'est üne plétinsañto-|ra-t-il, j'étais fou. |blé son sommeil, ét il attendaitlau sud de Batoche: el que les!sans se douter de rien, mar-|de danse, organisent sous le 
vous pas comen une -pareille rie, n'est-ce pis? Vous n'irézl Ellele sentait si faible à pré-lavec fièvre lé môment de re-|dispositions prises - permet. |chait à dix pas devant elle. moindre prétexte, et, à ghacu- 
tentafhive rait :, dangereuseT pas. e sérait trop Tou! M tecnt si désarmé -devant elle, | voir miss Elsie. .. |taient de croise qu'elle allait}. C'était une belle fille de dix-|ne de ces fêtes, il s'était inontré 
pour moi en risquaht de; me Gritmiont Fadris GiE de re=j'qu'elle:le devinä entièrement à} * Ce moment vint enfin.-et, dès {s'arrêter là quelques jours. fl} sept ans tout au plus, grande.et pour elle un si galant, uñ° si 
compromefttfe aux VEUX de ME Emords.. de peine. S'il vous ar-[sa merci Ke qu'il fut.en possession des ra-|caléula qu'il lui faudrait cinq bien formée, un peu pâle com-fcharmant. cavalier! - Et voilà - 
5 compatriotes? riväit malheur à Pa Un moment.elle deméuta les! tions, il s’achemina, le -eoeurtheures au plus sur sa bonne ju-! mé beaucoup de: femmes mé-|qu'ilétait tomklié amoureux d'u- w 
Bab!vous êtes ‘adroit et le "C4 te fois. Jean La Ronde |véux baissés, réfléchissant... battant, vers la maison des pri-| ment pour - alleindre Clark's}tissés, mais d'une pâleur rele- ne Anglaise, d'une fille d’ “hé. 
VOUS (POUVEZ BIEN UN MEVCPT Sent joyl sôn sang lui reflucr |”. Tout de suite:elle-écarta li. l'sonniets: [l'y pénétrait à peine | Crossing, et sé décida à atten-| vée par l'édat de ses yeux noirs |rétiqueé”! -. - 
A d'éviter Tout énnut deco côte l'un coeur. Que signilnient: ces Ldée d'évasiqi .comme imprati-| que la jeune fille s'avança vers {dre la nuit: MAÉ Jet le brillant de sa chevelure! Rien qu'à penser à celà, elle 
si vous Youhez.. Maison, re Enaroles,-ces-paroles troublan:|cable- et dangeretise : à . tous|lui:; là veille:même, elle avait ‘ Vérs le crépuscule, ‘l sé ren-| sombre. soigneusement séparée len frissonnait d'indignation et : 
ET prit-ellé vivement, c'est. votr. Lies prononcées Sur un ton plus !'égards.  Assurément, le mieux, ! instruit : sés compagnoné ‘ de4 dit, comme la ‘veille, à la mai-|au milieu de la tête en” deux]de. dépit,  Etait-il possible 4, 
vié que Yous exposeriez, Qu 0 Etrogiblaänt encore? pour Finsfant, étaif de tenter de! captivité de son dessein, en sor-|son des prisonniers, et il sou. longues: : tresses: "tombantes. [qu'un Bois-Brülé s'oubliât à ce 
moins vgtre Dberté; car il voir T Et, subitement, : un: étrange commüiniquer avet-Hr-éolonne | te. que le. métis-put s'entretenir mit son plan à la jeune Antglai-| Comme elle marchait assez vi-| pot! : . 
SL faudrait. user ‘dé. stratagèéme vertige s'émpüra ‘de’ son être... Middleton.. Cela fait, on-ver-!ayéc'ellé sans que personne pa-|se, qui en parvt fort-satisfaite. | te, elle ne tarda pas à rattrager ‘ Comme elle allait À grands- te 
pour peneétrer dun$le camp va [Ses doigts nerveux encerelérent]rait bien quet parti Üirer de cet|rût y prendre garde; toutefois, | Du seuil, il l'entrevit à l'inté- | lé jeune homme, et celui-ci, S'a-[ pas dans le soir, dyec ce äpre 
\, ,Dadien.. (Et je n'ai pas fi droitfle mince poighéf de la _jeurie | avantage... …. |feignant d'user de précautions, | rieur qui li souriait-e#core, tt Lpercevant qu'une femme le sui-let tumultueüx boufllonnement 
"de: vor demander: de par TMMe.-ùt. d'une Voix Haletante : La voix presque contrite du! elle ne lui permit pas de troplil en éprouva la sensation d'une | vait, prit rapidement de l'avan-|de jalousie au fond d'elle, elle : ‘ 
| sacrifices ; * : Miss, voulez-vous fuir? Jef métis ta tira de:ses réflexions. |s'aftardèr et, la lettre une fois |caresse au coeur... a re ce; pour ne.pas déroger à l'usa-|entendit une voix qui lui disait :. L 
Hsémblait a dean-quethacue vous en dofnerai les mayens. ‘- Vous ne'ditéS-rien, miss! | remise, il dut, après une con- Après quelques signes rapi-|ge des métis : canadiens quil —. Bonsoir, RôsalieT 
.deces mots fit une flèche qu'el {no ÿNiirens “2.1 + AWous aurais-je blessée? Mal de:quelques minutes, | des d'intelligence, il s'éloigna!n’admet pas qu'un homme sel Pierre La:Ronde était devant : 
lé lui. plantait en plein coeur: EF Ts'était penché vers elles: Ki. — Non, répondit-elle, J'hési-lse retirer: ; se avec la résolution plus ferme!laisse dépasser par.une peëfon-|elle. SR Cr at * 
=. , ‘Qu'ést-ceque cela voulaif dire?! à" la lueur, dufalot! ses veux|te seulément à vous démander! - Lh joüfnée s'écoula pour le|que jamais de. risquer pour delne de l’autresexe. = Vous venez. d' “ai De: 
5 Est-ce qu'elle mettait son dé! braliient d'un éclat. singulier. {le service que: Vous savez. : jeune, métis dans/ la préoccu-{tels sourires sa liberté. et sa! Toutefois, ;au--mement--de! qu linge, ‘à ce-qué je vois 
$ .vouement et, bien: pis encore, Miss Elsie.-un-pêu-pûle:se-rejes | = Pour htettre? RLLCLE un prétexte plausible! vie... RELORT Tfranchir le seuil de son-logis, il — Oui, répondit-elle, .- à 
son rourage en doute? la en arrière, presque effrayéé Oui: ‘" ME pour quitter, Batoche, ‘et du] Tandis qu'il regagnait, le lertes détourna et crut reconnaître (A suivre), à K 
: $ ne Riu “ , : n ( LL ù h \ ÿ AA he j PT rentes rss 
w 4 2 # . Ales # . h ; (Re 
fau CT ENTER De AE ae Here Varamal j ie En dd ed ÿ Es * 
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——# _ » — nu pr pm u x és pes ETES VO LA EAUT OEL DT jt ï s. ps ri ermiteietinteneiens er RAI PE pm RS LG A RO CSP EN EANS 
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[nc'qu'on se déplace, pour uneyne. vienwent que pour la forme. 
he d'heures me seiai-| Cette’ formule contiendra aus- | 
si les clauses où règlements. 


‘ DRL-6. BENOIT ? 


AUREAU: 238 EDIFIcE CURRY. 
{En face Cu Bureau do Poste) 


1 . ; EE 


.. La es à clergé 


ou! 


de la rale, et celui ou celle ‘4 
ë 3 qui, detre nur d Lao nous et "ES WINNIPES. por . 
1% Pari: les ré Jéndérs toi ca: îtres wvent dans un Sénusdsiail Ville + n°. | qui veut fFravailler ncèrement pr s suth ve À 
—tholiqués qui sont indiquées ! que là guerre aiencore aggravé! série Le ! nine Den Rs ere Ê Fa à ; SE AE À 
— Mans 14 fettre collective de l'é. Fu -neeS: d'entre eux. r médé- à bien ce tra- Meliter: er répétit Eng pe ‘e pe ce + Sur Cri NES 
,  Piwopat frñbçais, it en est qui! . “{] y a quelques jours, dans, . . L 


régulièrement que possible à 


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vail. ‘car des trangers auront 
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5 7 se presenlent avec un c 


À une réunion épiscopal 
tout particulier d'exiréme ur EoLe: 


Péchenagd, éy éque ni 


Soissons, obéir au 4 enr vd et à ne pas 


. Garanti 


laisser la: Chorale sans. ‘avoir | : - 
æence: Les ajourner serait por- déclarait, les Jarines aux yeux donné un se 4 rai amable | hs 
he tér atteinte gravernent aux for- qu'il ne pou ait, pour l'année ‘Des formules stront mises ji : , sc e au | 4 
4 ces vilaies du catholicisme. En |:ourante, dans son diocèse. af- à la Jisposition des membres # |‘ recteur. | ‘ “]l est ie 4 tettorees : ami. 
Æ # les présentant devant APPINIOR freusefnent rayagé par l'erne- ; 1 on mg mn du 5 5 tm Pro à Les :me mbres de da Lordhe ‘Travail d’ expert dans la IL scvordongestir tes fonds placés 4 
..pub'ique aujourd'hui, ke A de “li. assurer à ses prêtres. que — he ner une for- | ant vu avec satisfaction Mme paration ‘et l’exa ID dans notre Soctété pour ung pé° 
ie : main devant.le Torps électoral. 350 francs an; méme pas 1 mt €: : Nous s savoir im! Dugat au, piano, diinanche des Ford ll: riode de trois À ‘cinq ans 
“ini s'agit pas seulémént de re. frane par jour. Dans la "# médiatement ayec qui nous dernier... Ses connaissances en . men des Fo L 1 
Le à LCR mjustices,. du passé Lee , l'évéque ne’ yeut ‘garantir pouvons compter, Nous préfé: musique la désignaient.. à ce, Garage: En Li Rerivel. tétéphonei où venag: 
| en était ainsis on pourrait | sux membres de son clergé rerons mitive -Savoir hu à Ina- | poste. |: 58 Av. PROVENCHER 1 nous voir. LR À 
EL" me objecter que si Finjusticé que 450 franesspar an. C'es nièce PORRve Ceux ou ce ze qui La Prochaine répétition gé- -ST-BONIFACE. || F4 . 
à charge en aa la. conscie née} à peine’s'il y a quinze Aigcèses - —— horale dimanche le 5 octobre. Satisfaction assurée. | ." jet AP Di 
+ quiconque l'a «commise, - sa! qui- peuxe nt assurèr à leurs pré- . ous présents sans, faute. ER ee qu | The. Trustee Co ik 
“victime peut la supporter ét at:|ires les 900 fräncs par: an qui ‘Dodds ‘Medicine se Ltd, }E- : Henri Bonrgeault: .Si vous avez du trouble avec : ee 
tendri avec résignation fheurC{leur étäient verdés. annuelle -| Toronto, Ont. SRE PAMRUNS,  RRRRISE APR | E : ne à | : 
des réparations. Celles: aux- megt soûis te “Conc ordat. 1 ou après:six hèures Main |] of Winnipeg 
ne ‘ . ‘ 4 
: quelles nous pensons ont une à : 2 : REP “LL Pr be: 7 
= tout afître  inporlance. Elles se sr te ne a l'extrême pauvreté Fe “cler- fr Pirotton SE. Contant ment à + rive ET | ee EDIFICE | NANTON. 
E ll € D » , { 
pren mt chaque jour devan-!fanes bar an’ gé due à la cherté de la vie, et | Nous faisons -aussi le trans: |! 
täge fa vie: matérielle ci mora- É De . dis chiffres tort. cl en faisant aux fidèles un devoir |[* € 188-141 pusuc port de‘malles et marchandises. JE. _“réi, Main ETS 
le de l'Eglise, rendent son mi. L pen eg ne ont € on [de conscience d'y remédier, il a |. Nofwood, Man. Essayez-nous. | : — 
nistérede-el Vus difficite, | PTE udre ces lignés douloure üses | jouté : | 
stere de plus enplus difficite. [is it. Mèr: Marbe Ré Lt + RS l = Tél. Rés Main 350: à 
et pésent d'un porfds Sintole rable IN ECrIV A 8 AE S “Tout le monde sait que éhez RAT { PSE RL : PIE si 70 
sur son avenir Ù que de Meaux, dans sa lettre les Hébréux le Seigneur pour. ss EE . dé do Fe 
k pastorale pour le Carème de ' 8 ] pe D “LE RE PAR EXCEL- se 
2 lLest des que stions qui sont 1919: ; . F " vut directement par sa Toi à, la : n 
vit li s: l, Le. gti k: ta satour : ; subsisténcé sp $ lévites:: ils de- LENCE”. : , Munutacturier de mo poretérecit 
à ne pie Cest s'e \POUPr à à une pue “Nous avons su à diverses! Gent ‘ävoir de & { uoi vivre ho-[| NECTAR—ViIn mousseux. ‘Le ane Papin | 
dence irrénrédfäble, c'est sc di père En use men norablement. de leur. ministère]: champagne apprécié”  *° autre pierre, ex voté 
d 2 » , s à à pierre d'autel, red 
laisser aller à un courant qu'i "Betrgenr PycË À ë 1 et n'être pas obligés à une au NECTAR—Vi#! Rouge. et_Blanc. Pr ee 
sera dé plus en plüs difficile et d. , Eh ar a ri enpaparT “lire sorte de travail, mais Con-[| NECTAR-viIn Gingembre. toyage dé monument 
peut-étie, un jour, impossibl nr rar ani Éd) hd sacrés eéremenl au peoie NECTAR=—Vim Tonique Porto. posés. Maison’ far 
& 7 re : ) K ot pin énéinnnere nca ce mnnmmattéaqehetiate d 
de r'inont dhvin.….Té est et telle doit NECTAR:—Vin Brûté. - dét, en. 1914. | :Seuk à 
"Tran ton victimes de la géné, des priva- | ni j SE ride Mon de Lin Fe : ; 
Vider n'en citomni que de ux, la td TE li être a situgtion du prêtre. ‘de NECTAR—Vin Blackberry. an 5 AA FE dr 
question de Ty Séparation, qui tions et des Maladies, la spolia-yésus-C ‘hrist, comme cela res / & se be : Voyez à ce que votré système de cheuftage soit en bon 
ques Ÿ pari tion de leur traitement ou la sért clairentent de l'Evangile et Ces vins/sont conformément . tat pour éntreprendfé le rigoureux. hi 
a. redus notre cle rué à la pius suppression de leur retraite ne I E I Ana aux lois provinciales. En vente ph mm cl Ù : rréns; Mniie" Re 
extréme misère matérielle, ‘:et}} tasit sde wi pitres' des po res. partout. | ; . Demandez-nous: _ ; ' 
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|_gui auderpent de la situation: ___. à mise re. pr Îsueréèsr et eneptes faudrait RER EE : Ll AR de. une t de “trac 
RTE terielle “qui est faite." leurs disgiesgis its ; dire que là condition pénible et | : SEE _ 4 Angenieur pour systeme dé chauffage 
Lt | pré w: e He est lanténtàble tin Le f console trop facile opus 5 as € nt EAUX MINERALES CRE “ ° ï l 
dar la pluipe Lan des diocèses del ment avec de vieux clichés. ‘écarte Jes Vocations et les tue Vichy “Célestins”, Poland Magi : rs 
: À SP PR Pr gr ae Dress AE nt 259 Provencher St- Boniface Tel Main 664 
France. Les | famaines  reli-| Les uns célébrent le désinté. [és leur-naissance: Or, -:sans |] Adénac, Ginger Ale, ef. W. J. BARKER | D à _ 
gr ie Le, aptel les | “ON Lressement et lhéroisme de no-|Y9* 2 de ulte TE rs à tue De : RS 
Léo à nn nous tvignnent-d'un tre clergé supportant stoique- à as € + ie. te Ï . ti de BIERE Entrepreneur és £ 
. &rimd nombre d'ecclésiastiques ! ent le dénuement'et les pri- che nt ne ra pc li k pe ‘ } ; pompes funèbres 
nous apports (LL des PrECISIONS | vations: et, pour mieux les ad- de ire ve ni € Le re An L Rest Faméèüse Bière et Porter Dawes etahbaumeur | 
qui devraient faire rougir ‘del hirer, ils se dispensent de  les[® plus en p a orihgghe de € de Montréal : tholi 
leute tout atholique et tout !secourir. Is-me rappellent ce. Ce que dit le Pape du cle raé : se pésend. ubr | Hd DS À 
| rune suis A U retté fe a L st grund personnragé dont me pat- italien -est encore | plus M à ( U}}  Cigares, Tabacs, Cigarettes, etc: Dans un district | B À N QU E. ‘P?” H oc a E LA G A 
€, lesttal dt Jois ANÇAISES Liait un jour, à Rome, le cardi- {clergé français; car, en Italie, ras résidentiel 
dont ls itholiques n'ont pas at Mathieu : l'Etat assure un:traitement aull Gros et détail | se RE Re (M ÉRAVE 
ect , € ilsk È ù Q £ ss » £ à » Ç £ La s l2 D] J n s 
AR one) voie el Éd Diane a ves HAS ur Dr cle cu parotanial et il r FES X Chapelle mortuai- ! TOTAL DE L'ACTIF 57.200.000 
cralgnguttrop de réclamer bau- de Cürie, il-célébrait ‘avec- en: sensib emepl cleve”penc ant la : e d', . us "à re privée ! J:W:-L. FORGET, Gérant — 433 RUE MAIN, INNIPEG, Man. 
tément Ja revision. ; thousinsmé ja Sé paration qui guerre. ù ; e IC ar - eall n ë D'acougil ls plus pb que os à Re poire AE et 
La Semaine religieusr del: ‘ ; A cè probléme qui se pose en : Coin ,Brerdway & Donald merciales possibles à- nos clients : | Ver 199 9FmaRIeRS pme: 
Mn Jte . |s'annonçalñt; ®t; commé son in-| "4 6€ pr -qui po: , oin, merciales possibles ww clien 
$ Meaux du 9 août de rnicr publie terlocutéur attirait son  atten-{Francé d'une maniere de, plus 330 RUE MAIN WINNIREG j Phones Main 3208 Winnipeg TEE MAN Nous ‘achet ns, et vendons traites, 
la lettre navrante d'un vénéra-ltion sur les embarras financiers [© plus angoissante, il faut ap- Ë : Poe ° or, argent ef billets de banque, des 
ble cure de soixant cause pus que ne manquerait pas de cré- porter un reméde RE ARE A SAINT-PIERRE, MAN. pt ie aid ü 
.. : . N . or ‘ . e, » ranon, ete Css ? rinpolls, vire-Dam 
pps: « th quarante-n rs nu Se er à l'Eglise uhe separation in- dical k pen le trouve a Fe ouiden, als en Slet-lete ehtiseée Snint-Norbert, 
nunistèere paroissiag"et chargé ljuste et Spoliatrice: "Eminen- [aller à la source mênx du mal. Snint-Jeau-Haptinte et Vitn. 
encore maintenant du. service, cé, répondit-il, nos prêtres se- Or, la source du mal, C'est la 
de, deux paroisse s, en est réduit ront heureux de manger du loi de Séparation, qui, en spo: 
a faire appel à la charité de, pain noir.” Et le. , cardinal) liant l'Eglise de ses biens, en 
son évéque Le malin, à dé-) jioutait: “Tandis qu'il faisait! lempéchant de les reconstituer ; 
Jeuner, Je ne prends qu'un bol sinsi de Fhéroisme sur le dos[et en supprimant Je pudge! des Là ee 
de soupe: SOIT, F. diner, un du clergé; mon :interloéüteur/ceultes, æ voulu réduire cler- Pour obtenir le maximum de satisfaction, consignez. voire gr 
bol se soupes midi, des légu- avait au bout dé ses doigts une|gé à la misére et à la me ice | à la Vieille Maison de Confiance des Courtiers 
mes,.irés peu de viande. - Je ne fodréhette, et au bout de cette, 11 faut donc réclamer avec la | He LE ts +) 
É de Herve vin, rien que de fouréhelte. se-trouvail.un mor- dernière énergie la. _revisjon | 118 N Li + 4 
KE eau eaétéran du sacerdo- Gi de pain noir qu s'appelle} d'une loi qui:a produit, sur ce : NE JAN. AU, mit : 
- ces si ve k A me pi plus pauvre ne truffe!” point, tous les mauvais effets 6 vain ; a : 
Le ! mus pauvre es )a- : ‘a n à al à ectaris \ 4 Las i 
Run “+ et DS are TOnoT) ne D'autres se  bercent d'un [4 _ ail nait ler: sectärismt | nn id 1 4 
"he à, doux optimisme ‘en. célébrant le ses auteùrs. re { ! 
ais gi PE hptett dE générosité inépuisable ‘des Jean Guiraud. Vérification .atte njéverde 8 orurull généreuses 
‘ali : i bad # : ; ; A 4 a Croix _Pori k 
Ji Spañien | es antérieurs à cathotiques”* et teone toten) dba-Groie-Paris.— avances, promptes remises 
"H lwatires, ceux qi. n'ont! N° qu'elle finit par se-Hasser, re HA : 
: 3 k tin Depuis la guerre, elle a été sol. s | : . BUREAUX DANS L'OUEST: 
4 U dut pension eUqui ne reço0l-  Jicitée ‘de toute manières: les à $ L : 


vebt que leur allocation du.dr: 
rer du clergé, 6ù 
Libre Parole 
article 
“ôtrt S 


en soôtil-ils? 


nous l'a dit 
excellent imi- 
comment ils! 


dans 
tulé “Nos 
vivent” ; 

“Depuis doviri 


18, nos pré 


r ets F 

Noé Rodrigue. 
Viandes et épis eries de choix, 

Roeut. ve 1ù lard anlé 
umes veufs : 
SAINTE MARIE 
ET CINQUIEME AV ENLE 

Téléphone -Main 1494 


BAINT-VITAL 


COIN CHEMIN 


Liniment Minard 
USEZ DU 


LINIMENT, 


” MINARD 
CONTRE 
 L'IRFLUENZA 
ESPAGNOLE 


a Rhumes 
Les Enide 


Les max à 


GORGE 
“Aa Diph terie 


etc 


“impots-desienrent-de pirs-on 
plus écrasants; les revenus dé 
beaucoup de: eatholiqies, pro- 
priétaires te tele ns, ont: baisse 
[pat suite du non-pavement des 
1lovers et des fermages. DE 
-lbe dücoup de cotés, on nous lit 
que le denier du clerge est en 
déficit sur les annéés precéden 
|tes et qu'on:a de laspeine à l 
revers. est nn-fait qu'on 
lautbait tort de se dissimuler. 4 
D'autres, enfin, déclarent qui 
cette p£nr ‘aura pour eflef 
Ld'amenci NS Erés à embrasser 


LATE et Se. félicitent 
d'une nécessité qui nous rameé- 


Ines ., dise nt-ils, aux tem 
|roique s de 


hé- 
la primitive, Eglise 

Plusieurs curés, en eiret, 
nt été réduits à demander au 
lcommércé les ressources indis- 
pensables à leur. vie; on me 
[comunIque du: Tarn la lettre 
de Ton d'eux qui va monter 
[une mercerié. Qui songe rait à 

‘en blämer ? Et cepe udant, 
est-ce un bien? Eh quoi! les 
{cadres du pee --eté-tee- 


on 


ment réduits, au cours de 14 
guerre,-par-la. mort, qu'un 
grand. nombre ‘de paroisses 


sont säns pasteur et qu'un seul 
curé, dans certains diocèses, ên 
réunit cinq uu six sous son gou- 
vernement. Lès prêtres né suf: 

fisent plus aux nécessités de 
leur miñistère; beaucoup meu-/ 
rent à la péine ou s'usent avant 
l'âge; ,etræn: voudrait encore! 
que, pour’ se. procurer les res: 
sources les plus indispe ns: ibles, 
ils choisissent un métier! 


Fi que penseront de ‘cela de: 
.baroissiens auxquels ils ferout 
cpncurrence ? » F 

Dans -une:lettré- adressée Je 
2% juin derniér aux évêques d'f: 

taie, : Benoët XV uabordé ct 
‘graves: problèmes. LL a consta 


0 hits 


“SAINT. BONIF ACE 


Apres dimance he. 
prochain, 
L're 
Ur 
saint 


5 octobre 
aucun E3 au mem 
adinis à faire partie 
la Chorale Sainte-Cécile 4e 
Bübiface, sauf exception 
pour les personnes qui connai- 
traient déja Pouvrage que nous 
ctudions où celles qui par Vé- 
tendue de léñr connaissanée:en 


ne Sera 


wiusique. pourraient June 
sans retarder Ta-marche de là 
Chorale. etnotrt ee serà 


exigeant pour ces Cas PAF 
[tie uliers. 

Le *s. membrés qüi chantent 
avèasnous l'hiver dernier èt qui 
er ‘ore fait acte de pré- 
sence cet Aomne, auront leurs 
noms ravés dèda liste officielle 
des membres actifs à moins 
qu'ils avisent M. Henri Bour- 
goaudt, Casier postal 113,-Saint- 
Boniface, par lettre, donfant 
les raisous qui peuvent justifier 
leur absténtion jusqu'à date 

Les messieurs “nors et bas- 
ses” brigient par leur absence, 
dimianché dernier, ef je ne crois 
vas me. fromperien-disant que 
CCuxX . qui étaient présents 
étaient de ceux qui ont e moins 
Hesoin-de fépétilions, ‘La répé- 
tidn age lée pour mardi der- 
mer à l'Ecole” Normale était 
IR guülement- désastreuse SOUS le 
|rapport de l'assistance, Croyez- 
|vous que c'est bien. encoura- 
| a ant pour un. directeur, de 
cénstater un se inblable état de 
choses, &t qu'après, un”. abo- 


{ricux exercice dè deux heures 


lil se. voit dans l'obligation de 
Frecommenuer ‘de noûveéau pour 
es absents”? "Non, messieurs. 
| cela ne De ut durer, et si nps 


Lu: nie hs He jugent pas parle 


but de l'Association vaut'la pei- 


mure gomme 


re l'incomparable inêtrument de musique" ; Y 
Î 


nous ferons un plaisir de vous faire. cette dénioann 


PS EE EE 


ENTENDRE 
“CEST CROIRE 


PRE has 
‘.C'est la grande: preuve, 


porte quel Instrument musical 


FONOLA COLUMBIA - démontre son droit incontestable au tire de 


i 
la preuvè 


FaiteS ao ur eh ui subir la grande épret ve au 


lernière des qualités de n'im- 


lugé d' après ce le GRA. 


principe 


COLUMBIA, -Nous 


À 


\, n 
à : | n 


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Exchange, Winnipeg, Man, 
Grain Exchange, Calgary, Alberta 


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Vous êtes invités à venir Yoir notre sai: 


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— Je terennm tes Pértiss SE 
truments agrieol s, bé xl TN" ETES 


cn cm 


Abintavile lire son Sun du 
.- du maitre de. ‘poste, M. 


ture mixte, 


ss€ pour le ne ttdé poys. 

A Coulce des poissuis ést 
agen ntcélôt 
et les xict du. pays. Ce 
ruse regorge ‘ce spé ndidié s 
poissons au printemps, et l'en 
_Pwiént jusque du Montana pour 


C# faire la. -péche.i Ce. poisson 


nous vient du lac F ife. Oui, 


‘faut le toir, ée beau ac nux 
aux douces, bordé de riches 


terrains en culture... 


‘Un peu éloigné du ébenumr de{oqu'i ya"eu d'habiles organisa» 1 Be une béurrerie 
fer pour lé-morment, c Qui EX 
Phique | pourquoi celle. _coptréc 

est inconnue et n' cs Das nissil 


dvanc ée dans son ‘dtéxi loppe- 
.mént que d'autres à proxinnil 
dé lu voie ferrée, Küntenvill 


‘est : appelé. à devenir tn centre. 
: Comme riche ssi du sol, nous 
pouvons dire que c'est un des 
.Mmeilleurs voisiniages di Willow 


Bunch, 
*  Kci, perme tez-meot ur petite 


digre ssion. Le !#)- jus tje‘li- 


sais dus li Patriote un art Li 


son sn. +-Qrekqu on qui st! 


certainement pas--de Va région | 


de Willow: Buncli disaits (Sins. 


° mauvaise inténlion, Särs dl Dre 
te): “Lacrécolté duns Er région 


‘4 | 
de Willow Burich este ornpl te] 


Li M le’ not te Liondé ‘ou. à 


ment ni: anquie."  Je-crors que 


Notre amiferait bien dé venir 


gr les licux Susrenseigner, au: 


jourd'hui que Jes-batluges sont | 


commences, eb.les vi ndements 


Sarre pet de 15-06 piaéits à laure 


et méme pour: “quelques-uns nu 
+ débsus; cela le Convuinquérait 


qu'il a écrit d'Âprés de fausses 
henl. Committee. Tremescing 


informaliqns. 
Ï y & trop de régions malheu- 


Éeuses dans Le pays, éette an- 


ée, mais ce n'est pas tout le 
(pays. EE nous pouvons dir 
que lirégion de Willow Bonecl 
:Contribuera au relévement de 
IA moyenne du rendement à 
 l'acredans la. Saskatchowi in, 
Reveñoôns à Kantenviltez d qui 
offre de sérieux avant: ges: aux 
éojons désireux de s'établii 
dans un centre canadivn, Déji 
. Une quarantaine de fovers ça 
badiens-françcuis son #roupés 1 
autour de notre jolie pelite y 
sé avec. ur. pasteur nn 
On nous: assure. que 5 chémin 
: der fer, noûs AFRO Fan . 
chain Se S ar pi pla ir ÿ Jon 
. Poe uvre, cel des détrre arches’ ac 
dives SE Contipuehl auprés. di 
“gouvernement dont nous at 
tendons 1 RISIONS de 
à l'autre.” 
Le voisin: td du Canadien la- 
pieux et économe à toujours: 
un sujet tle catchemar pour 
ET is quia le droit de, Vivre 
4. nos côtés US qui ne peu 


: ar résigner.s Or, à Ki inténvitle 


comme, ailleurs, où des Cana 
gns Sont en majorité: ils son 
‘vendre, à des prix et à des 


S pditfüwns qué vôus trouver 
Ifficilement milléurs. Les prix| 


varient selon Louvrage fait Sur 


ÎTSCITS= 


chevalñx qui peuvent s'acheter 
avec le terrain. Le prix du ler 
rain varie de $2:000 à & 1000 du | 
qggart dé section, cwst-ï-dire 
par 109acres. 

Je votdrais ‘bien qué ‘ces 
quelques ignes ricont 4 tou 


os bonus Canadi: Déalritounis, | 
pérdus à drone Fe à géuche | 


dans les centres : lit is Fe à 

copapatriotes, VOIS SOU Et s. di 
Eiges vers POuest suins orient 
tion, et vous avez fait un tou 
© NAS Choix, le-Sol est D ut-ctre 


Don, ais Nous roles pas chez! 


vpus, et vous le sentez bierr Et 
“ous vous dites: “Oued fi= 


dront nos enfants 'uvec les 6 r- | 


és pübliques ? Pas:de français, | 
à Hs dé religion”: Mais. sovez! 
; Lu 
"4 "Que conseéquehts.. N'hésitez! 


us, vendi Z, Meme SIT Vous! 


aut faire des su rilices, ct ve 


nez noustrouvetavee voseheprs 
| 


* enfants, à qui ‘nous donneon: 


Jépain national en méme {temps 
sue lecpuin Spirit Vous Ed 


gérez dihsi-une. fortune, ais 
en, remplissant Les devoirs su 


èrés de parent canudiens-fri in 


SAIS eL ci itholiqu POP er 

ët vous; jeunes amis, solduts 
“'én: id ns-français qui: voulez 
ppotiur des généreuses avanées 


ji these n{ Pour 2 Vous 


étavh sûr une TOPIC, :vene: 


donc GE notye .fegion tout il 
RS ant lés autres. ci Cp dant |f 
“Somme  Saint:Fivtor.""\W illow | 


.. Bunth, où il v d'aussi d'extul. 
lénts terrains à vendre. 

2 cn eg SETNNC CURE pa- 
raisse à ses dfbuls, 


pe ns- nous, mès amis, et l'Ave- 


mir est à nous, Allots, les bons 
aiuis de Québec qui désirez vez: 


nt » dans. l'Oüest assurer. Tes 


familles vouker-vous | réneon: | 13 ÿ CATARRHALE. ‘+ 


anten, et st situé à 20 milles 
sud-ouest dé Willow: Punch 
à 12 tilles de Saint-Victor. | 
aspect valonnepix en fait 
. incilleurs: aol in la 


“parent les iné; 


| 
À 
1: 


et ül rious |] 
: fera plaisir d'y voir arrivef nozf 
“fre courageuse jeunessé-Grou-[| 


trer dés amis, des contaisssn* 


cut. ia. voir, venez 
j voir: ig pays d'avenir, xenez 


vO Rs y choisir un petit éuin. 


Les chemins de ter nous ar- 


rivent., L'un passera à AVillow 
Bunch, l'autre à. Kkmtenville: 


chemins de fer de puis si long- 
temps altendus, et qui en, peu: 
de te nips transformeropt notre 


région -quasi oubliée jüsqu'à te 


jour, je: diFai mé hé par les |2" 17-008 


‘agents nigrs tion. -On peut 


dire qüe fa force desc irconsta- 


cés ct Ja valeur du té rain. ft 
vte Je ss 


nadiennes-françaæises à Mi il 
low Büuñch où il v a un couvent. 


une ‘église, un epiraie et: uné 
Magnifique salle dé Saint-Jeun: 
Haptiste, La raison. de'ce dé- 


viloppement merveilleux. c'est 


LATTES CEE la région dé Willow 


léich, las récoltée na jamais 
Mende. compléfOment, ct 


tes, At 2 Fe modeste st Lu 


Fr 


ut. 
\ ‘io PT ch @s{rmt finte n< ant 
ee Haine qui a x s enfants. 


Let Ranten ville est une de ses fil) 


les, encore jeune ik est: vrai, 
miais..digne .d'ine sérieuse: at: 


tention. ‘C'est fe petite pa 


roisse qui 4.1 brillant'ave 
devant elle. HN faut cep nilant 
se presser avant Ja hsussé, fné- 
:|vitablé des:terrains ä l'arrivée 
du che is the fer. 
VOLS T1  POUM z venir voir 
monter CE HOH VER CETTE 
HF CXA mple, ii Wit Tow Büne h 


‘abé Lémieux! à Kantenvil- 
i M C; Préfontaine on à M 
Abbé Gendrons 4 Saint-Viétor, 


M, l'abb Ron der: 


Le 0 4h 8 —— 


| ad LMAKINAK Fe 


om 
4 


Lels cour antsat: ut ne ul as- 
ornblée du Makinak Improsez 
E LG 
personnes _ctafcnl Vrése nantes 
Pour f'élection:;des offigiers, 9 


candidats fur h mé en fotni- 


lt tic 1, vec.le résultatSuüivant:. 

JET D'Aoust,. président _et 
inspecteur pou 0 ne A. Dou- 
! fra 2 ans: H.-C:Pr addyll. .se2 


Grétair irédribes 1: an. | 
be lendemain de S SOUMISSONS | 


furet demindées pour la céns- 
{vuc tion de {ra {Lo rs en cime nt | 


pi Foi géant  Ceux— que nous | 
d'enviton-300 pieds. 
uvue principale Fut-de sui:} 
ti et Ovee, ainsi que les rues 
lilorales, ot toul-.sera. nmivelé 
l rs uine. de S169 fut aélostss 
ss at de'6: stinctet 4 chi- 


tr qu és pour la prétection tlu| 


ais Us ‘ Rate 


1 N ail id INT lion, Le "nouveau | 


comité semble déterminé à&c 
“que pr sir ik he soit pas en .ar- 

uns ce grand/mouvement| 
D de struetion.: » 


mis 
D. 


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-Remeéde puissant 
prictt 


Les pro- 
4 ie rissantys des six Hui 
liolles C13l itonucs dans 


: 7 
ITS €S 


aBHuil DR triqüe ‘du déétéut 


Fhoimas constitue at Fan ‘des 

mieulours lniments que -Fon 
otir à. lhonune: : Des 
à 


peuvent-{émoighér di 


sonnts peuvent témoigner qu'el- 
és lui doivent li santér On ne 


Loft pas juger de sa valeur par 
san SR : 
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autre métal. 
à faire réparer ; 


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SAINT. BONIFACE 


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tablir en affaires où sur dester-"f ê Kun5 5'millions dé couronnes 61] Fourrage. Eitra 7 “881 l Cine Le 14 
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tion suit dvec lé puit M TN <Daüphin et du lac Maditobu, res! <argeht a été confisque.ct ht 2 dy ri EN boire. 
1 : * rie ere Pi ar 8133 lÉrémerte. 
Campbell, ou k préside a "Ne #insi qu'une grande Fri Clin, le stock le cigares. funic: pes ue ORGR, = th tertie : 
cotnité.. N° uyC£ pas peur. dé dés “Montagnes de. Quant à son camarade Sr Ne 0 CR NS NS nn ; a 
vrire en, frupçais. re Er tding Mountuirrs, it. de gros gi: muely, isale ment . té et RENE E- We r loscrrss TS: Dre 
Nous. avons-ict-dans'le vif bier fai les dôficeé du chasse ur | de RES TS ec ti No es Are 4. 
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eut outillée _ n'atte nd que! nn pu = Ines, La poire, pour. Ja soif, : : - LIN # Frgp ot 
No:1 C. W. déchargé .,..:,..9#35 ANRT 
—— - No 30; W. Érriaiieieceic MS 3 RÉRRTRER EE LORS 
g à ose ; = Hejeis , PANNES: #7 VS LOS ManHoôba, 1 À St u 
É Vis L PER 6 04 Le i ut si + 
LT fi +. +, SEIGLE. éd Dimeñts. Le püniot-: RCE 
LE 2 C. W. s ; CR 1.384 Choux-fietr, La. douzaine É 82.0 
“Déchargé” veut dire decharge à l'e. , jus =: 
tévateur term imus. à Fort William et Eariness : ù ps CR : 
F Port.Arthur, : Conformément À l's arrê 16 gvuvérneinen: 
La cote pour le. grain ? “tough", ‘re: tal. Comptant aux.m auds ï f 
jeté” * “smutty" est Lg LR ce gnai n dé: ‘de [VIT ? 
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| Les qualités qu’il oit ax avoir: pour que son élevage 


soit profitable 


Lu — 


En fait de viande de mouton, 
le marché demande sürtout'des 
agneqyix. x. amjeurd'} hui, ‘ou du 
moins-des animaux jeurres ét 


‘relativement légers, de même 


veut des quarlièrs pais, 


a 


cherchés par personne. 


_ 


—'übtenir. des rendements,rapi 


que pour: le boe uf at : lé-pore, 
et mémé-encore plus qué pour 
cés deu derniers. Le cuisinier 
bien! 
de mais plutôt 


garnis viande, 


légers, pour la tuble de la mai- 


son ou por celle du. restau- 
rant. Le-consommateur.a ap- 
pris à apprécier l'agneau tendrè 
et savoureux, si bien. que la 


“proportion de moutons envoyés 


au marché avant l'âge d'un an 
#staujourd'hui de 70 à 80 pour, 
100 du total. Le régne du mou- 
ton lourd, fortement: dévelop- 
pé, sémble avoir disparu, cir- 
constance dés plus favorwbles à 
-l'éleveur auquel. eHe. permet 


* desde, son troupeau. Sans:dou- 
te, il se vendra toujours.  dgs 
mottons d'un âge. mür,. car 
dans le cours: erdinaire des.c ho 
ses, les sujets, reproducteurs 
doifent un jour ou l’autre pas- 
ser à la boucherie. Cette  de- 


manäde croissante d'agneaux est] 
d'un bon augure pour l'avenir 


de l'industrie, mais il faudra 
preñdre-les précautions néces- 
saires pour maintgnir et amé- 
hiorer la qualité dû produit. Ce 


” est pas tout que d'obtenir des 
neaux à dév ‘eloppeme nt ra: 


fde; il faut encore qu'ils pos- 
ie nt les qualités requises par 
le commerce de choix. Les su- 
jets de choix, obtiendront Tou- 


jours un prix élevé, tandis-.que| 


les agneaux maigres, déchar- 
nés, à dos mal garni ne sont re- 
Le mar- 
ché veut de la viande, et cette 
viande est d'autant plus estimée 
quand elle se trouve sur lé dos, 
les reins ou les cuisses, 

Celui qui veut produire : des 
agneaux pour-le marché doit 
fout d’abord se moñter un trou- 
peau uniforme de brebis vi- 
goureuses, toutes bonnes four- 
rageuses, actives, bonnes mères, 
reproductivés fécondes et régu- 
lières et bonnes Taitières. La, 
production de laine ne doit pn$ 
non plus être négligée. 


{mé du resté chez les femelles 
de toutes les autres catégories 
de bestiaux. 
buste met au monde des petits 
fqui pre nent courageuse mént à 
la vie, l'faut aussi qu'elle soit 
bonne mère, c'est-à-dire qu'elle 
s'occupe promptement des jeu- 
nes agneaux, € és, leur nitissan- 
ve, et-qu'elle leur. fournisse 
Ibeaucoup de Tait, Les brebis 
[de ce genre ont wne … poitrine 
Harge et profonde; elles sont a:- 


sez compactes, tout en ayant 
imetofgne ur suffisante” pour 
des côtés de bonne 


dimension, La tête doit être lar- 
{sont larges, doux, bien ‘ouverts, 
et les narines bien dilatées. El- 
les ne doivent pas présenter de 
signes d'empätement, pas plus 
du resfe que. de raffinemeñt, in- 
dice-l'une constitution délicate. 
Le. sont-dà-des-caractères-qu 
l'éleveur doit rechercher F'il 
véufôbtenir des agneaux sains 
et vigoureux. Nous+en venons 
maintenant à l’autre aspect de 
la question: les exige neés du 
marché. Ù 


Le mouton de Lo barte consi- 
tdéré au point de vue 
du boucher 


> 


Le corps de l'animal, consi- 
déré au point de vue du bou- 
cher, nous servira de base pour 
évaluer les bonnes et les mau- 
vaises qualités du mouton. Au 
sons de vue de la boucherie, 
la valeur de la viande--varie 
beaucoup suivant les différen- 

ites parties de l'animal. La 
viande la plus précieuse est cel: 
le du dos, des reins et des quar- 
tiers: de derrière. C'est pour- 


quoi lé boucher veut ‘un . dos 
large, des réins larges et bien 
garnis, ét une ouisse bien.re- 


couverte de chair; l'épaule ne 
vaut pas autant que les coupes 
postérieures. Le eou est une 
parte bon marché, il vaut d’au- 
tant plus qu'il est plus épais, 
mais commé il se vemd nel 
cher, on ne doit pas chercher 
à le développer ‘outre mesure. 
I faut cepéudant éviter un-cou 
mince, qui indiqhe une consti- 
bi faible et qui du reste 

‘associe gét nérale me 11 un 


a 


A Viduieur 6st ne condil tion 
esse ntielle chez labre bis, cont- | 


RU frêle. 
rêtre court et épais ef ce carac: 


freres + versés 26644 


COMPATRIOTES, LISEZ CECI ET MEDÎTEZ: 


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+++++ 044440 eee vs 


: Adanac. Grain Coy Limite | 


J.-M. BESSETTE, Gérant du Département français 


a 


Une femelle ro-| 


tère se édite e és galement dans 


RSONPRNEMEr. 


La culture mixte tire uñe certaine parti 


marchandes" , Corme cérlaines céréalés, les 
pomines de terre, les fèves, éte., qui vendént 
bien pour l'alimentation |de Ehomm , et ung 
autre partie — fui devrail être la ‘pluk forte — 
de la vente des animaux et de leurs! produits, 
boeuf, mouton, pore, lait, volailles, ue 
Les profits de celte dérnière valëgorie v nent 
de la consommation sufplacé’'dès récoltes qui 
ont une faible valeur marchande, et, jusqu'à 
un certain point, de la consommation d'ali-: 
ments concentrés, achétés spécialement" pour. 
fournir ces éléments qui font défaut dans les 


gros fourrages. La consommation de:ces four- ‘mourrilure très riche en protéine. 


rages par les animaux, fournit un moyen de . 
transformer des récoltes volüimineuses et à bas. 
prix en produits concentrés de haute valeur, et 
c'est là qu'est le, profit princigal de la culture 
mixte; lorsque. l'exploitatiüi est conduite habi=-- 
lement et d'une façon rationnelle. 

Laissons de côté les récoltes vendues en 
nature, parce qu'elles coûtent trop cher pour 
pouvoir ‘être. utilisées aväntageusement dans 
l'élientation du bétail; il est clair.que plus le . 
cultivateur peut obtenir de bons fourrages sur 
sa ferme, moins il est obligé d'acheter: d'ali-. 
ments, ét plus $es profits sont élevés En effet 
L ilisation sur krfernre même-des-fourragés 
qui en proviennent, permet d'abord d'obtenir 
de3 produits ayant une-plus grande valeur; elle 
permet ensuite de retenir sur la-ferme la plus 
grande partie des éléments de-fertilité que con- 
tiennent les récoltes, et c'est ce:fait qui nous 
explique pourquoi ‘l'engraissenient du bétdil 
est le facteur le plus économique et le plus pré- 
cieux de tous ceux qui tendent à augmenter la 
richesse du sol. Mais il y a autre chose: on se 
passe de payer un tribut au fabri.ant et'aii ven- 
sa de moulées. 

-_ Le-cultivateur. devrait ‘donc. s'altacher à 
utttiser autant que possible ses récoltes sur la 
ferme même, afin d'être indépendant des meu-: 
niers, pourbn, bien entendu, :qu il n'emploie 
pas pour cela des récoltes qûi lui rapporte- 
raïent: plus si elles étaient vendues en nature 
pour l'alimentätion. d': l'homme. Il doit tout 
d'abord s'arranger pour obteniF le: gros four- 
rages, c'est-à-dire l'herbe, le foin, l'ensilage, les 
racines et les plantes fourragères." Ce sont là 
strictement et exclusivement des aliments à 
bétail: bien employés ils peuvent être vendus 
plus avantageusement sous forme d'animaux 
ou de leurs produits queéde foute autre façon: 


t£e-cullivateur prévoyant veillera donc à avoir 


une quantité suffisante dé ces foürrages pour 
satisfaireVous les besoins de ses animaux. 

Ilest à noter sous ce rapport que la qüalité 
des fourrages obtenus détei nüne ans une lar- 
ge. mesure la quantité €t la qualité le la ration- 
‘dé grain, les aliments concentrés, dont le culti- 
vatetir doit acheter ane partie dans les circons- 
lances -ordinaires.-—Par exempte, st te cültiva: 
teur a du:foin de trèfle ou du foin de luzerne 
qui sont tous deux riches en proléire, àl n'a 
pas besoin de donner autant de_grain nt du 


de ses profits des récoltes appelées, “récoltes |. téîhe, 


ele. je sommes pas loù 


*centage maximum de cellulose (fibres). 


‘établir la valeur comparative des 


‘grain aussi riche en protéine que si son foin 
-186 composait principalement. de’mil. ({léole) 
et d'autres graminées qui sont .Pauvres en pro- 
PL Le 
‘ Autre éremble : le foin de ligérne de bon- 
ne qualité peut remplacer en partie le son ou 
un aliment du’ même genre. daris la ration des 
vaches laitières = 1% livre à 2 livres de foin 
de luzerne jtbalst à 1 livre de son: Nous 
e la vérité en disant que 
“l'emploi de foin de rane au lieu de foin de 
‘mil ou de graminées permettrait de réduire la 
ration de grain au ntoins d'un tiers. 

. En ce qûi concerne la ration de grain elle- 
même, il y aurait quelque chose à faire dans 
la méme voie. Par exemple: les pois sont une 
S'ils vien- 
nent bien sur la ferme, on péüt les donner 
avantageusement à plusieurs calégories d'ani- 
maux lorsqu'ils sont moulus et mélangés. à l'a. 
voine, au son, elc. Une bonne provision de 


“pois' contribuera, beaucoup à réduire là quan-| 


tité des aliments que l'on serait AU d'a- 
chetèr. : 
Dans l'achat des moulées ét des'sous-pro- 
duits de meunerie, “généralement appelés ali- 
ments concentrés, il ne faut jamais oublier que 
le cultivateur recherche d'abord la protéiie, et 
en deurièmie lieu la matière grassé. Il a be- 
soin de neurriturés contenant ün yros pour- 
crentage de” ces éléments pour éç uitibrés Ter TA 
lion, qui se compose principalement de-fourra- 
ges cultivés sur la ferme et päuvres en: protéine 
etsen matière grasse. Les prix du marché ne 
sont pas toujours proportionnels à la richesse 
en proléine*el en malière grasse et, pour cette 
raison, le cultivateur fait bien d'étudier les 
prix en même lemps que la composition. IUse 
vend beaucoup de pauvres aliments à des prix 
qui ne correspondent nullement à leur valeur 

en Rappelons au cultivateur, sous 
‘ce rapport, que la loi des aliments à bétail sti- 
pule qu'un grand nombre d'aliments, (à l'ex- 
ceplion du son, du pelit:son et’des farines de 
grain entier) doivent être vendus sous tine una- 
lyse garantie, indiquant les pourcentages mini- 
ma.de protéine et de matière grasse et le p&ur- 
Le 
cultivateur qui defnande les prix doit insister 
pour avoir cel garantie et l'étudier._ Il doit 
la compar aux prix et aux garanties donnés 
_par les rt marchands avant d'acheter. 11 
doit la comparer aux prix et aux garanties 
donnés par les autres.marchands avant d'ache- 
ter. S'il désire avoir de l'aide pour arriver à 
aliments, 
nous nôus ferons un plaisir de la lui donner, 
pourvu qu'il nous fournisse tous'les renseigne- 
- ments au sujet des prix et de la composition. 

On trouvera également beaucoup: de ren- 
seignements utiles sûr les fourrages et les ali- 
.ments dans le‘rapport-annuel-dti-service-de la 
chimie des fermes expérimentalés, Tous les 
cultivateurs qui élèvent des bestiaux feront 
“bien de se procurer un crempiaire de ce rap 
port pour le lire.’ 


e 


FRANK T. SHUTT, 
Chimiste du Dominion. 


tout lé corps de Doinul. 
Ee boucher divise nasiupies 


élevé est plus) importance. 


reins, Un rein Pour être d’un 
généralement nu bien four-|bqn rapport le mouton doit 
| ni de viande. Quelquefois, aus-|avoir une constitution vigou- 


‘ n C2 
{ dins les beautés et les charmes. 


compter sur le climat et sur une | 


Onel est le er er qui a fait affaire {avec nous et n'a pas été 
satisfait? 


Nous faisons apvel aux ('anadiens-franc Le Don pas parce aug. nous ; 
avons un département française n'est qu'aécôrder leurs droits "à 
nos confpatriotes dé langue française, —Mais: bien par l'excellent ser- 
vice que noëx pouvons leur donne 

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d'uu commerce; c'est tfop abaisser unè religidn et une nationalité, 
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let bien recouverte 


ment l'animal entre la deuxiè- 
me et troisième côte. La )ar- | 
tie de devant vaut environ.deux 
centins de moins par livre que 
la partie de derrière. Au point 
de vue du marché, il faut donc 
rechercher surtout le dévelop: 
cer éh du dos, des reins et 
’arrière-train. Une pétarme. | 
tion lisse de toutes les parties 


est également importante, L'a- | 


simel dont la conformation est 
anguleuse, ou grossière a géné- 
ralement le sommét de l'épau- 
le ‘accusant. une’. dépression 
marqué e entre les ’ omüplates. 
Cette région. -doit être plate:sur 
une étendue de 6 à:7 pouces, 
de. chair, 
dans le mouton gres… Les côtes | 
doivent être hbién arquées ‘et! 
bien garnies’ de chair ferme. 
L'épine dorsale ne doit jamais | 
être saillante sur aucun point | 
de sa longueur, même dans les | 
moutons peu charnus. 

On rencontre souûvent,, dans 


les animaux bien recouverts de! 


‘chair, une dépression Je long de | 


l épine dorsale; cette 
sion n'est pas un.mauvais signe, ! 


mais un dos plat et -bién lisse 


doit ètre’ préféré. Les reins 
(lombes) dôivent ètre bien gar- | 
nis et bien eharnus, mais il faut ! 
éviter-un. rein élevé.et-veûté, 
L'égalité, la symétrié, -recom- 
mändées pour l'épaule, K dos 
et le dessus des côtes, doivent. 
également se trouver dans les! 


dépres- | 


| si, les reins peéuve al paraître |reuse, pouvoir consommer une 
élevéS à vôté d'un dos bas et grande quantité de nourriture 
creux, que l'on doit toujours-re-|et la- transformer en viande 
jeter comme une mauvaise con- d’un: bon prix au coût le plus 
formation. Pour produirè une | bas possible. Ces qualités vont 
| bonne qualité de chair, les réins invariablement avec utie pui 
l'doivent êtré larges et épais, trine large; un Corps profond et 

On voit souvent, parmi. Fr des côtes bièn ärquées, donnant 
|{troupéaux communs du pays, beaucoup de .je u aux poumons 
|des croupes tombantes. C’est |et aux. organes digestifs. L'éle- 
là un très grave défaut, soit que | eur judicieux recherchera aus- 
l'inclinaison soit dans la diree-|si une bonne taillé, parce qu'il 
lion, de la queue où vers : la faut un animal qui atteigne un 
Le train d’arrière doit | bon pôids de bonne hèure. Une 
\se prolonger droit et bien rem-|tête courte, large, des : yeux 
pli, aussi bien sur le dessus que 1 pleins et-brillants, des narines 
sur les côtés. Un mouton, en |dilatées, des lèvres épaisses, un 
|bon état de chair, doit être sur- | Cou épais et fort,-un corps Eu 
‘tout fort du farret aux hanches fond et des jambescourtes; tous 
Le gigot-de mouton doit nôn|ces traits indiquent un animal 
seulement être- bien garni de vigoureux, prospère, qui donne- 
| viande à l'extérieur, mais aus-|ra un bon rendement pour, la 
si à l’intérieur, entre les cuisses: ‘nourriture consommée et four- 
et la chair doit bien descendre nira à l'abattage une 
jusqu'au jarret, en forçänt les charpente, bien-garnie de chair. 
liambes de derrière ä se ténir Outre ces harques d'excelien- 
bien écartées l'une de, l'autre. |ce-exigées.-également-pour :le 
En tâtant le gigot, à l'intérieur, boucher et l'éleveur, ce der- 
lon doit constater, dans un bon! nier, s’il veut former un. trou: 
mouton de boucherie, une borÿ | peau de race. pure, doit aussi 
ne épaisseur de. viande. donner une grande attention à 
| Au point de vué de l'éleveur. |la qualité de la toison,à la cou 

Tant qu'on ne juge l'animal |leur et à la qualité de la laine 
| qu’au point de yué A marché. | recouvrant la tête ét les jam- 
le tour de poitrine, le poitrail | bes, et:à la couleur dela peau. 
ou la ligne des flancs ne rèçoi-| IL doit également ‘étudier : Ja 
vent, que peu d'attention, mais | <onformation générale et 5'as- 
dès qu'on le considère au point |surer sj elle eorrespond. bien. au 
de vue de l'éleveur, ces mêmes typé de la race à laquelle l'ani- 
Lars promet une grande mal Rparien À 


2 


Î AY ‘ “ i LE 


bonne | 


\ Wie jee | 
i 


Les habitan Fu _. 


——— , 


Le Bulleti 


Were 


HT PA ont de nos 
jours la chante de pouvoir 
écouler. les produits de. leurs | 
sueurs à des prix. noir La il! 
n'en faut pas conclure qu'ils se 
classent par le fait méênte dans | 
la catégorie de ceux que l'on 
désigne sous le ‘nom de Die 
teurs de Guerre”. 


Ce n'est pds potre. Re 


de faire un plaidoyer pou 
défense … de hante 
erpes cependant nous vou= 
drioïis attirer l'attention de ngs 


pa 


lecteurs sut quelquës conside- 


rations, qui leur émontreront, 
du. moins jusqu'à .un certain 
point, que nos braves habitants | 
ont raison d'exiger des sommies | 
assez delettes” pour leurs |® 
produits. D'ailleurs, qui fait les ! 
te élevés des proëlüits de: la | 
erme? ‘C'est la concurrence, 
c'est l'état du marché mondial | 
et surtout américain. Car en | 
{cette matière surtout, nous su- | 
bissons l'influence de nos puis- 
sants voisins. 

Mais la cause” prinelp: ile et! 
légitime du ‘haut coût des pro- 
duits du sol repose, croyons- | 
nous, sur ün'autre fait, c'est-à- 
dire sur ja difficultés et la 
cherté de la production agr ico- | 
le en général. + 

Certains érateurs en rédin- 
gote clament. le retour à la ter- 
re. Des poètes à la vision em- 
bellissante chantent-gux : cita- 


” 


de la vie rurale, c'est très bien. 


-Ges'hommes au verbe éloquent 


et ces artistes à l'âme enthou-! 
siaste, font: oeuvre patriotique | 


et nationale en incitant nos con- 


-àe-Sultére-de-notret- 
patrimoine si riche en: ressours | 
ces agricoles.” | 

Mais, en définitive, se rend-on | 
compte dans certains milieux 
dés sacrifices sans nombre que 
doit faire le cultivateur qui! 
veut réussir et progresser? 


jeu plus grange. ph dr à 
RAC ce RE nécessaire cette an 
| prenne, pour devise le fameux 


‘ Où anthracite, 


ï LS HA k vrai “ ® à YU DÉS ACTUS 7 RCE È ? ile 
| fn M : À 4 ‘ Hé de 
) * ÿ K, DER | . 
quiet Hd “a À: 
EE é *ù AT pret * 
TA L 1%) 
Ho MU è ga" \ 0 É 
er Li } ' | 
û v, £ PA ° » 


pee mur 9 


TUE CALUT NE PASSER 
me CERN 7 


er est certain qu que nous aurons 
Jde l'influenza cet: autormné et 
t hiver. : Il a causé tant dé - 


ei l'an dernier vus "il est Ra. 
| tairi qüé le monde 
pe est. 


mot de guerre: Hs ne passeront ‘ 
pas. Les IR 4 a la salubrité 
publi “h dans loutés-les gran- 
des villes sonpent l'alarme ‘et... 
réparent:la lutté : contre ce: 
éau: Vous pouvèz sans crain- 


te faire face à ce mal si vous te.” 


nez vos intestins en bon état et” 
aidez à votre digestion. L'Elixir : 
Américain-de VinAmer de Tri- . 
nerest le meilleur remède dans 

cé cas. 


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Brev, nov::1917 


Cette étonnan- 
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ser.le combus- 
tible vous di- 
j- minuera de "25. 
Pr 05 ER TE TOM dé Voiré | 
chauffage £2t vous donnert double 
de chaïeur donnée par les clefs or- 
dinaires, , Vous aurez ,un égal ré-: 
suhat avec bois, charbon, bitume 
Vous pouvez vous 
servr de cet appareil pour poële de 
buisiné, pour “Tortue”, pour: four- 
naise À air chaud ‘ou à vapeur, Il 
vous protégera aussi contre le feu 


Ceux qui ont été élevés sur des +%228-les-tuyeuxs 


terres en savent quelque cho-! 
se. Nous, gens. de ville, huit | 
heures dans-un bureau ou dans | 
une boutique, cela nous-paraît 
long: Le fermier, lui, est de- 
bout’souvent'iñême avant l’au- | 
ore, puis quand il s’est acquit. | 
té de’ toute sa’ besogne du jour, | 
il s'aperçoit qu … a peiné pen- | 
dant 12 et même 15 heures. Par | 
contre, l'homme “des champs | 
jouit du grand air et ins vastes | 
horizons. Mais aussi n'a:t-il, 
pas plus que les autres à souf: | 
frir des intempéries des saisons | 
à cause de son éloignement des |- 
centres et des diffic ultés de| 
communications ? S 


Pourvu que la. santé ne Elnbe) 
pas défaut, l'homme des villes | 
est sûr'de “toucher” sôn salai- | 
re au bout de la semaine ou du 
mois. Le cultivateur, lui, doit | 


foule d’autres choses incertai- ! 

nes.| Si l’année n'est pas bon- | 
ne, $i la sééhérésse re fait trop | 
vivement sentir, voilà notre 

homme avedes revenus beau- 
coup moindres que: ceùx qt&il 

escomptait d'avance, Voici Lun 

animal qui se-blesse-et mebrt: - 
c'est #100 ou $150 de perdues. 
Et ainsi de suite... 


Voilà pour les’ difficultés de! 


là production des ‘vivres. Et 
maintenant la -cherté. de la 
main d'oeuvre agricole kt de 


l'outillage doit être .é gale men! 
prise en considération. .Noug ne 


sommes plus au temps où un: 
homme se’ donnait pour. sa 
nourriture. Les habitants. doi 


vent le payer et le bien 
Les machines modernisées . et 
améliorées sç vendent nécessai- 
remént lus cher, Ainsi. nous 
ne sommes pas juslifiés de blà- 
mer le cultivateur qui demande 
un fort paiement eu retour des 
efforts-et des. dépenses qu'il 
s'impose pour faire produire 
aux éntrailles du sol noürgicier 
le pain que nous mangeons. 
L'expérience nous convainerait 
que nous avons tort de récrimi- | 
ner. Il y a des terres à Yéndre | 
et les gouverhements fachite nt) 
Pétablissement-sur des fermes. 
Essayôns du métier. d'habitant 
et nous verrons si nous pouvons 
vendre nos produits bien bon 
marché. ; 


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AGRICULTEURS | 


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ET 


ha 


s 


£ n 
La 


“Québec, 
jours d’ actives recherches, les 
agents de la sûreté publique 
_opé ré quatre arrestations d 
© Ju ville de Québec dans la jour- 

‘hi On croit que Îles 
hommes arrêtés sont réellement 
us qui ont commis le vol de 

#75,00) sur l'Oceau Limitée, en: 
tre Lé vis et'Montmagny. Ceux 

que l’on a incarc érés hier sont 

RES T'opping, 
sur le National.Ca 
närdin-T. Protea 

* »vasseur, beau-frère de To ping, 
et Näpoléon Bélangef de Lévis. 
Les deux pfemiers seraient les 
les autres 


née 


t-que- 
-cént des Guvriéral 2 
de 96,006 employés 
les usines ne sont pas: ren- 


deuxième" journée’ de la 

e de l'acier dans le district 

isburg a vu les patrons et 

les grévistes essayant de faire}, 

*triompher leurs idées." Les re- 

: présentants des compagnies. an- 

noncent qu'ils sont en meilleure 

lure au jourd'hui que 

es usines furent fermées lund 

De leur côté les chefs des gré- 

-Wistes déclarent que La grève.se 

k ” répand d'ûne manitre générale: 

et que l'industrie: de l'acier se- 

ra dans quelques jours para- 

‘Apodes | 

re GE 

Les bandits qui ont volé 

$73:.000 sont arrêtés 


———— 


auteurs du. volet 
kurs: complices! 


qu'est 


possession bientôt. 


-core 


bec. 


Washington, 
Peurose, de 
; hier, au 

lé 


-hateur 
niv, à 
Aérien, que 
Wilson avait TRREoRe de la 

la Paix des ca- 

valeur 


Conférence 
deaux 


Aucun déti ail préc is-n'est cn- 
* la. façon dont 
es vois urs sourt revenus à Qué- 


PR EP 


23 


% i 


moins un ques 


consistent pour 
joyaux de touté:sortes, iüi vien- 
nent en grande partie: des fa 


Los ar ge LR 
ouvrage; et les 
D Ness 


Re 


Le ARE travail. 


ce 


a en 


‘Après 


conducte ur 


au, Georges Le - 


Georges Le- 
vasseur fut le prenrier arrêté 
avec Napoléon Bélanger 

sur la rue St-Joseph, et l'autre 
au Bureau de Posté: 
fut trouvé à sa maison... 

.. Où ne suñ rien enopes:Ëe ve 

l'argent 

mais on espé re en recouvrer ] 


PenhisYlva- 


CES cadeaux 
la plupart en 


rapports 


pas 
+ 


tantan 
uand 


des 


cinq 


côté, 
minée à 


os 


‘l'un sur 


nent 
Topping 


volé; 


M. de Sé- 
Sénat 


Président dent, et 


d' au 


milles, royäles dr urope. 


Une lof passée aux, Etats-Unis 
en. 1910: défend aux 1 résidents 
de la république voisin: 

" Cep sortes 
en 


tions. 


FR Ê eur 
ment annoncent 
centre-de Alberta les battages 
sont envoie de complétion. Lefee, 
rendement agricole, en fait:de[Le: 
blé, atte indra dans certairs dis- [Ten 
tricts juSqu'à 45161 59 boisse “AUX fut ‘perdu ‘dans le brouillagd 

Les Fécottés d'avoi-|4ui couvrait Ia mer. 
né ‘et d'orge sont bonnes, 


par aucre, 


“dt 
que 


Régina, Sask. 23.-- 


tages sont. maintenant à 
près terminés dans toutes. les 
parties de la provinee el , le 
mouvement du blé s'opère avec 
EFlevator Company 
majorité du 
grain est du No 1'ou durKo 2 


rapidité, 
rapporté que {la 


de cadeaux 
ant des chefs des autres na- 
Où comprend -que es 

adversaires du Président Wil- 
son tireronf parti dé cette déso- 
béissance à Ja loi dans leur lut- 
te contre sa politique. 


re de 
ré recois es «ans l'Ouest 


d'ac- 


} 


dans le 


Les bat: 
peu 


v 


Te P.-N 


s sérieusement b 


donsent qu'il y a deux 
mes de- 

atteints ‘par : 
As nombre d'autres 


mie nt te 


lués, deux soldats|! SG nt le |piscopat. : + 
ir dalle, ét un! Eat hier, a! L'épiscopat ‘américain a Tin: 
n- démontré A la com ie|tention de former une organi- 

Coca-Cola a nee sation-sous la ‘présidence du 


né I 


À eut lieu près des usines de 
la “American Steel and Wire”. 
La foule et les. grévistes .au- 
‘[raient provo 


lançant des 


+= 


A deux reprises, on fit venir 
groupes de 


policiers 
Lackwanna. 


Il y eut, dit-on, 
prèésdume centaine de gendar- 
mes d'engagés ‘dans la, mêlée. 
Trois hommes: ont été 
dont deux qu'on.accuse d'avoir 
inc ité la bagarre. 
me D 


Du bisbille à Hamilton 


Hamilton, Ont., 
en croit les dé olaratious de éer- 
ONtlfains des délégués au Congrès 
ADS des Métiers ét du Travaik qui se 
tiept actuelleinent à Hamilton, 
les plus radicaux s’efforceraient : 
de. renverser la présente admi-|f ÿ 
nistration du Congrès. 
que l'administration 
qui est animée de sentiments! : 
assez conservateurs, ne préténd 
as *'Lrosid par tous les vouloiss 

, 
une forte, ré 
n liter 


abandonnerait 


tance. # De 
ätionale est déter- 
s'opposer  énergique- 
ment à toute résolution qui irait 
à l'encontre des principes prô- 
nés par elle. 
Les radicaux en *évudraient 
tout au secrétariat: perma- 
ui a actuellement tenu 
. Draper, d'Ottawa. 
Ecür tactique coñsisterait à 
exiger que M. Draper, qui est 
‘en mêine temps ermployé 
4 [Service Civil, ne s'occupe cx- 
Tclusivement que du secrétariat. 
L'on croit qu'ainsi M; Draper 
le secrétariat 
plutôt que de résignér* son-em- 
ploi au Service Civil. 
Lu cause du mécontentement |du pavé, couverts d’honneurs.. jtions, Espation que le gouver-| 
| Dishoa caxléaux à M. Wilson dés radicaux serait la position 
! hu que le Congrès a 
l'affaire de Winnipeg, position 
qu'ils disent avoir élé inspirée 
par le président M. Tom 
IS protestent contre le 


rise 


Les souverains de Belgique}ra peut-être les 
- surla mer- 3 


PRES 


Ostende, 23. — 
la reine E lisabeth et le-prince 
héritier‘ de Belgique, Léo opold, 
se sont embarqués hier 
l'Amérique. 


- Le roi Albe rl, 


+ — 
A. Toronto comme à Ottawa turiers de moteurs a demandé 


—— 


Toronto, 23. 
vés de Fécole 


Tous les élè- 
de Williamson 
Road se sont mis en grève trois que les taux de fret et 
fois hie +r, parce que le ‘ur prin- ranc& étaie nt assez éle vés pour 
cipal, M. T.-I. Davis, a été con- protéger la 
gédié et” rémplacé par un autre glaise contre l mporte non amé- 


‘affaire en 
riques et autres 
projectiles aux policiers et au- 
tres officiers à qui a été donnée 
garde de ces usines. Un £er- 
m4 7 Paul Prouse a été tué in$- 
nt d'un cou 


de pis- 
tolet, dès les débuts 
Ée. 


la ne 
arrêtés, 
23, Si l'on 


On sai 
actuelle, 


son 


dans |© 
à 


oore, 
prési- 
t-demandent que le sé- 
nafeuf Robertson soit rempla- 
cé" par un membre élu par la 
Chambre des Communes, 


pour 
Hs sont à l'heure 
actueHe en haute mer: Les roy- 
aux visiteurs font le trajet dans 
le ansatlantique 
Ge ce Washington. 
s furent l’objet d'une ova- 
tion enthousiaste à leur départ. 
Des-milliers d'enfants rassèm- 
Map es rapports blés”sur les quais pour. la cir- 


gouverne-fcohstance, chantaient 
nalional belge. 


américain 


l'hymne 
La reine Elisa- 
beth, en signe de reconnaissan- 
salua les. petits chanteurs. 
acclamations se. prolonge- 
jusqu'à ce que.le bateau 


Cardinal . Gibbons. 
partie du comité: 


000 livres dé sucre en. Go ag Ve 
doon, de Roékford; 


|pendant que les m 
tailleurs ne peuvent avoir : + 
provision nécessairé à la’côn- 
sommation. Harry Whitla, a 
déclaré qu'il télégraphiera im-fV 
RER TT à Ottawa 4 ce su- 

M te a répondu à 
KA qui lui démandait si J'au-| 
torité saisira upe partie de cés 
240,000 livres de sucre, que le 
juge Robson décidera ce mn ‘il 
faut faire. 

Clarénce Ranard, gérant de 
la compa Coca-Cola, . a dé- 
cläré que la compagnie avait en 
effet 240,000 livres de sucre, eÿ 
entrepôt et qu'elle ‘a: énvoyé 
prés de sept chars de sucre 
dans les dernières six semaines 
aux marchands détaillèeurs. A. 
MäcDonald, de la MacDonald, 
Cha pman, Ltd, épiciers en gros, 
a afñrmé que durant. les trois 
jours précédents il a reçù trois 
chars de sucre qui-a été immé- 
diatement-distribué aux détail- 
leurs. George McLéan-Co. a be- 
sohi ®® 250,000 livres de sucre 
pour remplir. les ordres voue, 


Mgr J. 


a de Salt Lake Ci 

W.-T. Russell soumettrar le. nc 
jet de; l'organisation, qui com- 
prendra un comité de arr gr 
pour l'intérieur du pays et 
‘comité de: contrôle des mise 
sions américaines. 

Un autre comité serait chargé 
de continuer le travail social 
comniencé par l'Eglise aù cours 
de Ta guerre. Il y aura aussi 
un comité d'éducation, un .cà- 
mité chargé Je contrôler les 
différentes sociétés catholiques, 
un comité de publicité et de 
presse catholique. 

‘Le Cardioat Gibbons Ÿ reçu 


.de 


quelle Sa Saintété approuve 1 
recommande hautement ce pro- 
jet d'organisation. « ; 


Les plans dé d’Annunzio 
étaient connus 


w ashington, 4. 
| vernement italien a été informé 
en jure dernier- des plans du 
Li-Col. Gabtrieh d'Annunzio au 
sujet de. Fiume, dit le Jourael 
socialiste. * ‘Aventi”. 


—_— 


rer 
Il faut ut que les profiteurs 
“soient pans , 


Montréal. 231--L “ésêque.F 
thing, ‘dimanche, à l'église de 
St- Mathias, -Westimount, décla- 
rait que si les  profiteurs de 
guerre n'étaient pas poursuivis 
et punis, une révolution pour- 
rail bien éclater dans le pays. 

Tous les grands idéals ont été 

exaltés pendant la guerre ‘au 
profit du recrutement, et les 
soldats qui reviennent ne re- 
trouvent au Canada aucune ma- 
nifestation de ces -idéals pour 
au lesquelles ils ont combattu et 

souffert. ‘ Que voient-ils, dit l'é- 
vêque Farthing?Un égoïisme 
implacable régner ‘partout. Les 
soulagements promis aux sol- respons: té, l'expédition au 
dats ont été en partie qubliés sujet de: 1 aque lle le gouverne- 
et Les profiteurs tiennent le haut [ment a déjà reçu des informa- 


que 
alliés furent avertis, de J'action 
projetéè par d'Annearfzio long- 
temps avant son exécütion. Voi- 
ci ce qu'écrit “l'Avonti”: 

“Au commencement de juil- 
let, immédiatement après la 
grande démonstration et-les at- 
taques de la presse contre Nitli 
Gabriel d'Annunzio envoya uif 
de ses meilleurs aris rencon- 
trer le premier Ministre pour 
l’informer qu'il (d'Annunzio) 
était prêt à Tonclure une enten- 
te avec lui, mais qu'auparavant 


il SE De ruse rt dé lui permet- 
tre d’ac lir, sur sa prapre 


Le peuple est affolé, ne sa- 
chant plus sur quels hommes 
politiques il doit compter pour 
obtenir une amélioration de son 
sort et l’incurie de nos admi- 
nistrateurs le rend pessimiste. 
Si des mesures promptes et ri- 
goureuses ne sont pas prises 
contre les profileurs, une révo- 
lution aura lieu, et il est à sou- 
haiter que cette révolution soit 
constitutionnelle ;. elle renverse-l et. £conomiques d’ une telle ac- 
maîtres  du|tion seraient très sérieuses. 11 

\. [ajouta que touf en appréciant 
les sentiments d'Annunzio, il 
ordonneruit son arrestation s’il 
exécutait son projet. 

“Le gouvernement savait que 
d’Annunazio. avait comme com- 
plices un ainiral et-deux géné- 


raux qui giaient stationnés à 
Fiume et 
a changé 


nement a voulu empêcher en 
avertissant les principaux mem 
bres actifs de la pe ma a 
leur action. - 

“D'Annunzio fit voir 
Nitti fous les côtés favorables 
de son projet et ajouta-que les 
alliés accepteraïent le “fait-ac- 
compli”. 

“ÉNitti répondit que les con- 
séquences politiques, militaires 


jour. 


La Éc aux profiteurs en 
_-Angleterre 


Lonüres, : 2 Près de 900 
tribunaux locaux ont été établis 
d’après la loi des profiteurs.” 
Ces tribunaux feront à chaque 
mois un rapport sur des détails | : “En dépit de tout cela, d'An- 
des plaintes enrégistrées et sur nuuzio à ccompli son projet, 
le nombre, des procédures pri-[ce qui est Arficile à comprendre 

s: étant donné que.tout a été pré- 

L'eMet moral de .cette loi sisors ti est sous le contrôle di- 
déjà fait baisser les prix non: rect des quartiers généraux. 
seulement des vivres, maïs en-|: “Les alliés:ont élé informés 
côre des vêtements. Ainsi les! des activilés de l'amiral et-des 


e le gouvernement 
e positions. 


habits qui se vendaient aulge-| deux généraux. Tout ceci a un 

fois 12 guinées se vendent &gui-|résultat défavorable à l'Italie 
ées. dans l'enquête ait e, au sujet 
Le “Daily Chronicle” attiré! de Fiume, AU D ae 


‘faussi l'attention sur une autre | 2} Arnan: io; recoit-des secours 
soite de profits. Rome, 14, — En dépit du blo- 
a dépütation .de manufac- cùs-de Fiume par les "autorités 
italiennes, d'Annunzio reçoit 
continuellement des vivres en! 
assez grande abondance. 
Dans un communiqué publié 
hier, dans lequel il dit que Je 
peuple appuie sa cause, d'An- 


7 


tar if sur 
autos el trac- 
Sir À. Geddes a Ÿs »ondu 
'assu- 


à Sir À. Geddes un 
l'importation des 
teurs. 


marchandise 


an-| nunzio eite, à l'appui de sa thé- 

1 M se les secours en hommes et'en 

nord. Tà plupart des: districts principal par la commissiqn{ricainé. matériel, qu'il reçoit “chague 

annoncent un-rendement de 15 scOtüiré. | *"Cetté requête nous semble ET Ainsi trois-— compagnies 

à 20 boisseaux par, aere;, Îles Enr SRE -[assez  effrontée,- déclare de! de. Florence qui avaient étéen- 

avoines PriMtAHNTErES” _'soni ; TT “Chronicle”. Tout: le monde royées pour aider à la repres-|. 

Presque toutes Lanpess Sommes énormes volées à [sait que les manufaeturiers sion de cette révolte, sont pas- 

Nelson, - La récol-[ Chicago. d'autos peuvent vendre añtantisées du côté ‘de Fiume. 

te des fr uits est de bonné appu-[ 


rence, et des. districts fermiers 


Chicago, 23. 


. du Lac Kootenay l’on s'attend!mes, l'un d'eux 


de pomnies, celte arinée. 


Stettler, Alberta. 23. 


sus de la moyenne. 


gès sont hien avancés 


-ment de. blé-est d'environ 2)! dernier. 


bois$caux pür acre'T 
fion laitière et . 


l'élevage 


tions : florissunes. 


‘La ve 
déveldppe à vue d'oeil 

très dote” immobilière y est! mohltant, d'après les 
s 


se | diana. 


0 


de “| Réserve et 


la | a retrouvé 893,620, 


“Er 1 


“du no hi de John 
à sexpédier- vingt mille boîtes EWejda, commis de malle dans 
le bureai de posté de Chicago, 
Les fet qui passe pgur avoir complo- 
© récoltes seront, dans cette par-[té le vol, ont été arrètés de bon- 
tié de la brovince, bien au-de $-fné heure cé matin sous l'ageu- 
Les baitx-{sation d'avoir dérobé $240,000 
:le-réndc-{sur un-envoi de $115,000 jeudi nion. des évêques et archevé- 
Cette ! somme apparte- 
a prüduc-!nait à la PaAque Fédérale de|ouverte ce matin a+ Université 
était envoyée à lale athotique de Wushi 
animaux sônt-dans des condi-|eompagnie Standard Oil, à .An-|la présidence du Cardinal Gib-|, 
Des sommes volées on|bons, on discutera le: projét de 
Le reste du|cnorciñation des: activités 
déclara-!tholiques dans toutes les affai- 
tions de us des rs rates rés" hhportantes, . fé NA 


d'autos qu'ils lé voudront à un! 
piesi raisonnäble sans une po- 
itique de protection.” 


- Le commandant :Rizzo, qui 
s'est signalé aw cours. de -. la 
guerre par son audace, est ar- 


mem rivé à.Fiwine. Le fils de d’ it 

; MIRE  ‘nunzio est venu aussi rejoindre 

Importante reunion de l'é- son PR qui nd SouTrant d'in- 
-Piscopat at américain somni 


Un jeune ‘officier de inarine 
qui vient.-d'arriver de Fiume, 
dit que d’'Anmunzio est fatigué 
: rôle dé gouverneur militaire. 


Washington, 24. A une réu- 


ques des Etats-Unis. qui s'est 


02002 -— 
Là 1 Ligue des Nations peu 
populaire en en France 


Paris, 2. »- Le premier mi- 
nistre. Clémenceau A fait d'im- 
porthntés déclarations hier au 


gion, sous 


Cca- |: 


rères dans l'é- [in Ligue 


Feraient 


Schimbré, de Toledo : 4 de S; 


e, en 
he Érattne, les Etats-Unis fini- 


une lettre de Benoît XV /dans/Âa- 


: Le débat reprendra demain 
Le gou-[matin, celui-ci n'ayant-été qu a- 


article intitulé: “Ceé-que cachent 


blit que le gouvernement Hearst 


à Sighor | 


lie ‘ur Société Centrale, toutes les 
S] associations de charité, et d'é-. 


fe ARemane, ét 


T pes 
+ +" 
| Bis. Union” ,le 
isation, 


de son ji 
méthodes 
ne our son exécution 
les fervents propaga- 
| ses du’mouvement, devant le 


TA 


vail organisé et est ün 
re uveler ce qui c'e 
aitily. a trente-ans aux Etats- 


e: M. ua et 
ë. fist “précisément 
vil ait à l'inel 
assurer la.k 
son pays, qu'il a exi 
meux {iraité-de protection qui a 
été conclu entre la France, : la 
LE amine ét les _— 

nis. 


Cette quéstion de la ossibt: 
mé de la non-rallfication de la 
par. le  gouvernément| 

gr américain a été amenée devant. 
les greg *à dans la journée 
d'hier. par M. Louis Barthou. 
Le débat, qui s'en suivit a duré 
1|toute l'après-midi. 
.On croit grhiarent ën 
dépit de leurs 


Unis. 

.Ces dleours, ont fait sens 
ion äu cn ro étant. donné 
‘que nômbre de délégués, sont 
en faveur.de cette organisation: 
On les a interrompus. fréquem: 
ment ‘et pur souvent les memi- 
bres les pis. modérés du. Con- 


s 
© Laurier poète 


Lare% ns sn 
: OttaWa, 24. — Le DrJ.K. Fo- 


anglais des poésies françaises 
ue feu le Très Honorable Sir 
Wilfrid Laurier -a composées 
entre les années 1863 et. 1867. 
Ces morceaux de litérture ca- 
nadienne ‘seront publiés, en 
fran 6 et en anglais, dans: In 
% vie de Laurier, qt pride rrefes- 
A l'objection faite par run seur Skelton, de 1 Livenet de 
des membres de la Chambre, à Ouen, detil en ce moment 
RE que les besoins. de La Voici uné nouvelle phase de ta 
rance”consistaient moins : en|° le l'illustre À d'Etat 
garunties légalés qu'en garan- vie-de l'ilustre hommé: d'Eta 
u peu, connue par le publie du 
lies politiques, M. Clemenceau rés} 
a répondu que, lacc éptation ou. bn se ; À 
lc rejet de la Ligue n'affecte: FU due 
raient en rien les traïtés con-| Inertie du cabinet italien 
clus, que ceux-ci gardaient tous © "17 ARS NT RE UPS 
té leur forte et obligeaient- les 
nations qui les ont signés. 


ront par açcepter la Ligue. 
C'est ce qui ressoit de la Plu- 
art des discours: rondncés 
ier, en-particulier de M. Tar- 
dieu et de M. Pichon, : : . 


Rome, 25. -— Les. arinistrés 
du cabinet italien ne se “mble ‘nt 
pas, à ce qu'il a appert, se re ndre 
compte de la gravité de fa.si-| 
tuation à Fiumeé, ét surtout de 
la sérieuse difficulté de. régler 


Les élections et la défaite du|le problème d'une façon satis- 
faisante.. Iks ne veule it.pas 


ouverne ent t_ontarien”:|fa 
UV Fservir dé la Force: pour réduire [8 


— Le “World”|le poète rebelle, espérant tou- 
ublic te matin un|jours l’amener à la récipiscen- 
ce sans effusion de sang. 

On croit d'autre part que la 
persuasion në saurait avoir rai- 
son de d’Annunzio. Sa popula- 
rité s'étend et son audace n'a 
plus de bornes. Ses hommes 
s’avancent actuellement vers 
les villes de Trau, Sebenico el 
Spalato,  -+ 

Le “Messagèro” s'indigne dé 
l'inertie du gouvernement et lui 
reproche de ‘provoquer par son 
aftitude une nouvelle guerre: 


journé. g JS 
a ee 


Toronto, . 24. 
de-TForonto 
les élections”. Le “World” éta- 
ést en danger d’être défait aux 
prochaines élections: :Il dit en- 
tre autres choses que le minis- 
tére ontarien a été aussi aveu- 
gle que les Allemands dans le 
diagnostic de la situation poli- 
tique actuelle de l'Ontario: Cet- 
te situation, ajoute-t-il, est bien 
plus grave que le gouvernement 
ne. l'imagine, et on ne tardera 

pas à s'en apercevoir dès les 


j 


débuts de la campagne électo- rar tissé k 
rale." Gas F On: accuse les profiteurs &: 
DE — - Montréal. Re 
Une lettre du Pape . |. LA ET rer ; 
ain à \ à Montréal, 25. Dés accusa- 
Chicago, 25. — Dans'un mes-| {ions ont été faites devänt Ja 


sage adressé à Mgr Mundelein, 
archevêque de Chicago, Sa 
Sainteté Benoît XV rend hom- 
mage à la loyauté des catholi- 
que: s’allemands-américains en- 
ver$"les Etats-Unis, comme au 
travail qu'ils ont accompli par 


Commission du Commerce, ce 
matin, à l'effet que des restau- 
rants chargeaient seize sous le 
morceau de larte aux pommes 
et que les fausses-denits qui se 
fabriquaient à $5 se vendaient 
à°200 pour 100 de profit dans 
plusieurs cas; qué le sucre sel 
vendait {reize sous la livre et 
que Fon ne pouvait s'en procu- 
rer à moins d'acheter d'autres 
aliments, qüele spa hetti et le |: 
pain se vendaient à « es pr ix x: 
cessifs. 


ducation répandues par tout le’ 
pays. 

de par le caractère même de 
la lettre, ke Saint-Père s'adresse 
pratiquement. à toûs les catho- 
liques des-Etats-Unis, et leur fe 
signale les devoirs de l'heure tn ES ar: 3 A SEE à 
présente. * Tous doivent aider: à| Lenine aurait été assassiné |’ 

aes |. de me À TT 


a ti D — — — 


ramener Ja réconcilation 
peuples, à cette époque de re- $ ie À 
construction intense et à ban: Paris, 25. — Une-rumeur cir- 
nir à tout jamais le règne de la|Culait à la bourse aujourd'hui 
haine et du mensonge. à l'effet que Nicolai Lenine, le 
‘ En outre, Sa Sainteté recom- | chef: bole réviste russé*avait été 
mande aux catholiques : -alle-| assassiné. : 
mands de venir en aide mAin- Londres, 25, — Dés combats 
ténant à leurs compatriotes viclénts'se sont engagés durant 
‘de: .n'écouter loute la journée d'hier dans la 
que la voix dela charité, afin région de. Pakov, . sud-ouest 
de raffermir F ocuvre de la paix de Petrograd où les Esthoriens 
entre toutes les nations, et c’est ont anéanti deux régiments bol- 
ainsi qu'ils déviendront de réels |chévistes, mandenit les dépèches 
biénfaitéurs de Fhumanité. | de Roumanie reçues ici aujour- 
Mgr Mundelein, en. faisant d'hui. = p 
part _ Fi du Pape, aux CREER SERRE 
membres'de là Central-Socie- 
ty, réupis en congrès dans sa Lenoir et Caillaux rat: mis 
ville métrdpolitaine, a exprimé en présence 
toute sa satisfaction du grand ET 
honneur que le. vicaire du! FRERES eur es 
Christ leur a fait en les choisis-|. Paris, 25. Pierre. Lenoir, 
it pour travaillér de conecert | dont l'exécution a été suspen- 
âvec Lui, dans l'oeuvre de-ré-|due vendrediimatin de rnicr par 
conciliation. : les autorités françaises, ‘ sera 


+ en probableïent confronté avec 
0 =  [oseph -LaïHaux;—ex-prémier 
pposéé au “One big union” ministre, vendredi ou. samedi. 


D'après “L'Echo de Paris”,.Le- 


. Hamilton, Ont. 21. — MM. noir est dans un élat de faibles- 
L-W.Hayes ‘et Mathers Wall.!se extrême et il est inc: ipable de 


me mbres. du Comité: ‘Pxéeutif se tenir: debolt.…. L est 'obsédé 

de l'idée qu'il a été exécuté. 

Rixe sa “etitre Fran 
cais et scans cl 


——— 


L'üsthme. ehontque!: — Bedu- 

coup souffrent de façon chr oni- 

que dé terre et ont fait l’es- 

sai de tant de remèdes qu'ils |: 
sont GConvaincus qu'il: n'existe 
pas de réméède efficace côntre| Be lin, %. -— Dans üné ren- 
ce mal - Is devraient ‘lire des contre à Sarrbruck entre, des 
letires que les fabricants du re“! bourgeois allemands et ‘des s6l- 
mes du docteur Kellogg con- daits françäis, plusieurs - per- 

tre l'asthme ont reçu dé centai-|sonnes ont été'blessées des : 
nes. de personnes dont le eus |côtésh, d’ après le-journal Lokal | 
leur semblait désespéré. Même | Anzeiger. Une ‘centaine de 
dans les cas d'asthme qui du-|Français ont participé: dans'cét- 
rent depuis longtemps, ce fa-|te émeute. Plutieurs Allemands 
meux remède ose prompte-|ont été arrêtés pour avoir atta- 
ment. ; "que les Français Û 


pire 
ran traduit actuellement en vers je. le s pl 


de -dos, 
vais. rhume. 
reih de si vilaine façon que je 
ne, pouvais ni dormir, ni tra- 


vailler: 


“Quand je me pene hais, céla 
Lime faisait si mal que pour me 
relever je devais m'aider dés 
coudes sur les genoux. 
ne parvenais-je 
ment à: me redresser, Ê 

“Après avoir pris deux ‘boi- 
tes: 4: Pilules de Dodd pour le “ 
là douleur deYint moins 
violente et mon dos est mainte- 
nant suffisämment bic pouir« 
vu que je ne me surmène pas. 
“Un de Mmes jeunes fils souf- 
frait aussi du réin au 
qu'il devait, la nuit, se lever à | 
toutes les demi: “heures... 
hiles de Dodd pour le rein. l'ont _ 

peut mainténant dor-” | 
a nuil: + , À EC 


rein, 


rein: 


nées 


Vins, 


Si oui, 


_ Fini, sù vébtembre iso” 


mere et-Je fils sont 


ons. 


gone à du Travail et ue l'In- Du bien ’ dé to à rioai 
nintion- en opposée aù ue Pe de rein ee fait 


mer ont rrbri.de gt à de dos de 
Mme Larson:et ont mis fin 


: aux longues nuits d'insomnia 
dé son fils. re | 
Bergland, Ont. 29 septembre 


(Spécial) -— “Je suis beureuse - 
de pouvoir _— témoignage 
aux Pilules de Dodd pour | Le : 
rein du bien 
grès ofit qi sed avec for- se | 
ce. cris, ces dé ations. connue et. fort - ‘estimée | 
ous les employons comme re- à. 
mède de fami 
raux de dos." 
uand je oDmandsl des 
de Dédd pour le reins” 
us- par fantaisie it 
par conviction dans leur * 
leur. : 
“J'étais tout brisé par ut, 
Jè contractai un mau- 


onn 


mrir toute 


“Je suis 


aux Pilules dé Dodd pour le 
réin. ; 

Les Pilules de Dod pour le 
rein guérissent 
cinq ans des affections du reïn. 
jInformez-vous auprès de 
voisins. 


Les Pilules..de.. Dodd | pour le 
-5Ù sous. la boîte ou six 
boites : pour 


les marchänds ou 
Medicine Co. Ltd, 
D ———— 


Grève 


Londres, 25. -- 
de Dundalk; Irlande, se 
mis en grève, hier, 
obtenir un salaire minimüm de 
$35 par semaine ou de sept/gui- 
Leur salaire actuel ne dé- 
passe pas 275 guinées. Plusieurs 
malades qui se sont préséntés 
aux. dispensaires ont été refu- 
sés. ; 

—— mr — 

FAITES VOsT liqueurs ‘chez 

"Hop, Ale, 


etc. 11 n'est 
pareil 


$1.00, 


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n'est pas tel qve dit, 


envoyez ce coupon . 
‘Pour. renseignements: | 


de veux acheter. : " 


SE: ti) 


deux recon- L 


u'ellés m'ont Fait 
dit: Mme 


# 


ici, Er 


çontre. -.les 


asia 


Cela se jeta sur le 


Erivore 


que. difficile- 


- 
point 


Les Pi: 


irès reconnaissante 


depuis -vingt- 


vos 


$2.50, Chez tous 
The :Dodds. 


Toronto, Ont. 


de médecins en 
Irlande | 


— Les médecins 
soné . 
Îls veulént 


vous, 
bière a gingembre, 
réquis ni alämbic, nt ap- 
- Simple <t bon: 


Argent. remboursé # co. 
Gustav Detber- 


L.M. CC 


Dissm: Tito 


Portage, Winnipeg 


an 5694 


+4 


WINNIPEG, MAN. 


FRS 


fre aan mue 


* 


Li] 


_ LA SCIENCE A LA POR. 


ange 


. TEE DE TOUS . 
.… Qu'est-ce Yui garde le soleil. 
rs En feu? * : 
Vous pensez peut-être: que le 
éclaire parce qu'il brûle 
. tomme un immeñse foyer. Mais 
lorsque quelque chose brûle, la 
subrtgnée dont elle est faite se 
mé où '# combine avec 
l'oxygene de l'ätr dans lequel 
elle brûle. . 

Et pourtant le séleil est  àj 
chaud, que rien en lui ne peut 
sc cofnbiner avec autre chose 

en ne pourait brûler dans Île 

soleil. H y existe beaucoup de 
choses qué peuvent -brûler, et 
même. beaucoup .: d'oxygène 
pour les brûler, mais es choses 
“sont séparées l'une de J'autre 
“par là chaleur. En'outre, mé- 
me si ces choses, ouvaient brû. 
ler dans le soleil, cela ne suffi: 
rail pas. pour lé maintenir en 
feu, car tout cela aurait déjà 
“brûlé slepuis des éternités ‘et 
nous ne pourrions même: pas 
CXISTCr. - Le e Were 

AU cours du siécle defnier. 
on a découvert l'origine dé. ln 
chaleur +t de le me sp 
lil Elles sont simplement pro: 
‘Juites par le réirécissementtou 

la contraction perpétuelle ldu 
soleil. : Le soleil se rétrécit, où 
se contracte par l'effet de lu pe- | 
santeur, cetté force qui oblig 
toute parcelle de matière exis- 
tant dans l'univers à, attirer 
vers elle toute autre parcelle! 
de matière dans l'univers. | 

. Le solteil.se contracte di puis | 

d'innombrables siècles, de mé-| 
me que, la Lerre.s'est contractée | 
aussi. Au fur et à mesnre qu'il! 
se. contracte, les-parçelles de! 
matière dont 'solefl est com- 


La 


‘ 


“ % | 
ase se hcürtent les unes contre | 


E autres, et leur mouvement| 
st 


trouve arrété. C'est _ainsit 
lo chaleur. e& la “lumiérc. 
; l.__ produites. _absolüimeut! 
come lorsqu'un silex ést frap- 
pe par un autre, 

C'est donc la: pesanteur qui 
nous donne la’ chaleur et la lu- 
miere gräce auxquelles nous 
sonumes en vie, Il ést probable 
aussi que la chaleur du soleil 
esCentreltenue comme l'est celle 
de la terre, #insi que nous le sn- 
vons maintenant, par le fait 
qu'il contient cette substance 


extraordinaire appelée radiunr, 


mrsminssrassseg 


qui produit de 
elle-même: à : 
"Pourquoi le eiel est-il bleu? 
Ceci a été découvert àu siècle 
dernier par un savant anglais. | 
John Tyndall.: Vous n'en de-| 
Nineriëz jamais. la raison. Lc! 


PROPAGANDE! 


À AR L 7 

Liste des brochures, tracts et voiu 
mes que l'on peut se. procurer au Co 
mité de Propagande ‘LaVérendrye, St 
Bonitorce f : 


la, chaleur par 


cette 


[vaincre « 


Re 


ciel reçoit sa lumière du 
Lorsque: le soleil n'est 
le ciel est obscur. Douce le À 
du ciel doit être réfléchi à nos! 
yeux par quelque chose qui se | 
trouve dans le ciel et qui garde | 
toutes Jes:autres couléurs dont 
est composée la lumiere blan-! 
che du. solcit, inais qui téfléc 
le bleu; et c'est bien. cè qui 
passe en Féalité. Le ciel. ést 
rempli. d innombrables pakcel- | 
‘es de ce que l'on pourrait ap- | 
peler de la poussière, des ‘par- 
celles de matière” suspenthre 
lans. l'air. Gelles-éi ont justé | 
‘a dimension. nécessaire Dour! 
sdisir les ondes de lumière 
bus longues, qui produisent les! 
autres coûleurs, 
flécHissent les ‘ondes Les plus: 


Si l'on pouvail enlever loute Ja! 
matière solidé. conteñue dans! 
l'air, te ciel serait obseur.‘ ct! 
oute ka iumière dy jour proi 
ieñidrait directement du sotci 
La lumière du ciel est don 
Sien. dela lymitee sbtaire té. 
féchie, mais settloment Ha par- 
‘ie de vette lunrar 
le bleu 
Comment le P'ano lail-il de :! 
le musique? 


qui forme: 


9 La tnhanicre Ja phers sinrple de 
“en rênde: compile est de pren 


re un bout de ficelle ét:de. 
epdre fortement par ses’ deux 
xtrémiite Ce bôut de fiééil 
7 ssernhle.e ictement Hu cof- 
les” dé- Pintérieur - du piane 
pion frappe: lorsqu'on touch 
es noles, ct les cordes du pra 


16 sont tendues lou juste conm- 
né l'est Le bout de ‘fice He. Lors- 
qué l'accordeur vient chez4ous 
f, les 
piano pouf Voir si! 
nl: + ce 


il véritie 
térieur du 
elles sont t 
tendires 


totuitus ont (ROIS 1 
rrrectemént! 
Si l'on prend mainte 
nant ce bout de-ficelle ot qu'on: 
le vivement entire Test 
doigts, on le soit:- boys d'a. 
vant'en arriére el. l'on entend! 


pla 


Hr-sent-Hfe-esertt Eesti rt 0l ; 
’ ‘deivves ne savent pas parler, 


objet -quéleondie Se imeut de 
manière on lit qu'il xt! 
bre, cé qui $ignilie simplement 
*: £ s F 
qu'il tremble. À chaque mor-! 
vement effeelué :f,S87 produit | 
une petite onde dañs l'ir * Sil 


l'on: raccourcit he ficelle où si 
on la tend: davantage, elle vi-! 
és VA 

bre plus rapidement, ‘la note! 
musicale produite est plus ais! 
guéë et ressemble das an fage aux 
notes hautes Au piano. Lors-| 


qu'on parle où qu'on chante ‘on | 
fait trembler, ou vibrer, deux! 
PEN ET SR RS RER RENE IIS 


Employé. selon Ja--direction. 
le Coïdial eüntre  Dysenteri 
du docteur D. Kellogg soula 


gerä même däns les plus vio- 
lentes maladies de la saisOn | 


chaud Dès qu'apparait lat- 
laque du mal on:ne devrait.pas 
tarder à recourir: à l'aide de 
Cordial. I} agira immédiat 
ment sur l'éstomuc et les intes-| 
1 .. : | 
ins et allégera toujours lirrita-l 
tion-et la douteur. Un essai con-!| 
1 . 
vitc 


LAS 


1 


ce 


lavé de CCS !s- 


soleilicordes situées dans la 
là, appelées cordes ivotales, de la|de les faire éduquér. Si 
leu | méme manière que la ficelle ou} mier se réalise d'habitude, eñ 
‘on peut|est-il de méme du second? 
Tr dans 


ès è 


| voir-vixrez 


démocratiques. 


Les À 


la corde de piano qu 
facilement voir bte 
l'instrument. Ë 

: Ce sont ces’ vibrations 


se 


'sives où simulianées des cordes | peut l'estis 
hit! fortement tenues du piano, que} dre; c'est qu'on a soi-même re- 
‘5c'} nous produisons par le-.choc!çu une bien piètre éducation. 

d'une sorte de petit marteau 


ieutré, qui produisent les | 
‘qui forment:la musique’ 
vous avez uéjàa entendu € 
iouer dela harpé, vous 
rendrez très aisément de que 
maniere le piano ‘rend. 
sons harmonieux. Dans 
les vibrations de 


re 
Ù 


joue ainsi le même 
loigts, du harpiste. 


- La rentréè des classes 


L'élite de demain, la foi, l’a- 
venir de la race, pour-employer 
chères 
aux péroreurs des salles de pro- 
motion, va,-dans quelques se- ANÇAaLs: DRrIE 

forger | temps, été négligé. : Ce pendant 


autant. d'expressions 


naines, commencer à 


-|re à son im 


linstruire mais atrssi avec 


u'on necrie pas à lo puérilité. 


Ce détail du programme scolai-. 
portance. Si on ne 


5 


ou la pren- 


Ce 
s|primatres. peut, sans présomp- 
i]tion, s'appliquer églement, à 


L VU} nos institutions d'enseignement 
COB-!sécondairte Dans les unés et 


les autres, il ÿ'a de la bonne be- 


ses! sogne ‘à tailler: IL.est indénia- 
Fune, ble que notre par 
s-cordes sont |est encore loin de 
nrais elles ré- produites én°les ponçant. avec! comme 
les doigts, dans l'autre, c'est le 
ourtes, qui prodlisent le bleu !pétit marteau qui les frappe e1 


la perfection 
‘il'est indéniable qu'il 
doit tendre-dejlus en plus à la 
perfection. Pour atteindre cet- 


rôle que les|te fin, il faut tout lé concours, 


toute l’aide de nos iuaisons d'é- 
ducation, Il faut que les écoles 


primaires, q'ie les collèges clas-! 


siques fassent plus large la part 
du bon langage. Il faut que les 
professeurs s'appliquent à la 
correction et par lt métmeg-y ap- 
pliquerit leurs. élèves.* 

Le français, parlé a, de tout 


es armes. C'est, la rentrée: lesique l'on enseigne l'art d'écrire 
écoliers et les écolières n'igont {l'on semble se soucier moins de 
us au, bois, ‘Tes collégiénstdi- | celui de parler. Ce qui est à la 
ont adieu au.cinéma, et les étu-| fois une erreur, ur illogisme et 


diants reprendront les 


qu'ils ont, jusqu'ici,.en si grand 


cours |une bourde. Ecrit bien qui par- 


le bien. En enseignant à-par- 


ombre, suivis avec bien peulltr, on se-trouve parle fait mê- 


dé profil pour eux-mêmes 
£hcore Moins DOuE lé peuple 


et!me à enseigner à écrire. 


L'in- 


[verse peut quelquefois être 


dont ils sont suppôsés être, l'ir-| vrai, mais il ne Fest bas. tou: 


réductible 


et: vaillänte 
garde. "* PA 


Ÿ 
++ 


Le progrämme de nos écoles 
primaires x été en ces derniers 
temps avantageusement rema- 
inié 


Puisque d'autres correc: 


ons doivent être faites, que n° 


grefTest-on: un. paragraphe, un 
simple: paragraphe, concernant 

liygage des élèves et les ma- 
res des {lèvres Beaucoup 


di 


beaucoup plusme savent pas vi- 
vre, Et H appartient autant 
uix professeurs qu'aux parents 
de leur enscigner les notions du 
langage ét de la civilité. Afin 
ue rendré ce paragraphe aussi 


srelique que possible, il impor: 
terait cependant que ‘les mai- 


!res"apprennent eux-mêmes .à 
Mien parler, soignent davantage 


“eurs conversations. leur: dic- 
tion, Icur vocabulaire. 


De'quelle utilité peuvent être 


lés dictionnaires de bon langa- 
|ge si les enfants n’entendent ja: 
mais dans la bouche de leurs 
| Supériéurs les-mots. que_ ‘ces 
{lexiques leur donnent \lcomme 
| étant les mots:justes et 


vrai- 
218? Quant au sa- 
Gii:_enseigrement 
ne me,parail pas”'aussi facile. 
Phys démocratique, mofurs 
hélas! Cela 
A Lee" 

toutefois pe dégage pas les ins- 
tituteurs de leur responsabilité. 
Les parents envoient leurs en- 
fants à lécole non pas seule- 


nent franc: 


DE “L'ACTION FRANCAISE"” . [sertions ‘ment avec Fobjet de lésfaire 
“Almanach de là Langue. Frañ- is naar En 
Çaise'”: 1916 $ .15 . ‘ = D T'en . 
“Almanach de la Langue Frañ Nouveau Directeur du Pacifique Canadien 
Gaise'”': 1917 SEE $ .15 F 7 - : ï : è ep 
“Almanach de :la Langue Fran: « | ” k 
. Çaise' 1918 : $ 15 > Nu HS TA À 
“Almanach_ de la: Langue Frän à ; 
çaise 1919 $ .20 
“La Fierté R, P. Louis Lalan. « €” 
de,. SJ Art $ ,10 : 
“Pour l'Action Francaise" Abbé 
Hisnel Groulx ; St 
"La Veille des Bsrceaux”: Edou: 
ard Montpetit $ .10! 
“Refrains dé Chez Nous’ $ .10 
“La Langue Cardienne de la Foi: 
Henri Bourassa $ 25 
‘La Races Supérieure R:P::L 
Lalande, SJ Û $ 10 
‘& Dellard Hevenait''> Abbé Lio { 
nel Genis + 10! 
La Vateur A - ncmique du Fran F1 
cais Léon Lorrain; ,$ 10 
Paur: la D'fense de nos Lois : | 
Française A. Perreault' $ .25 
“La Dépôrtation des Acadiens | 
Hehr! d'Arles $ | 
La l'aissance d'ne R ca" Abbé | 
… Lianel -Groulx | 4.7 | R 
«“*Les Räpaliages : Abbé -iconel | 
"Groulx: Edition de’ luxe $ .60! - 
Edition Poputaire $ 25 
DE LA.L'R'F. A; ETATS:UNIS. | 
Le Français dans nos Ecoles" $ © | 
La Langue Française ette-Chris | 
tianiame”: Mgr Guertin $ os | 
La Feconetruction Sociale" ’ ù œ | 
DIVERS | 
Les Récits Laurentiensi: Frère | , 
Marie Victorin, des E. C.: Edi | L” 
tion reliée et cartonnée $ 76|,° 
Edition : brochée $ 60 | 
Lé”Canada Apostolique": Henri | 
Rouräésh: Edition-d: luxe $ 60! 
Edition poputmiré $ 251! 
TOTRES MISTOFTQUEST EN TNAGES  $ 15] û 
“L'instruction Obligatoire" $ 05} : 
L'Eccie "Obligaoire”., Mgr L.-A . PS à 
Paquet $ :05 et . 7 
—te-Premier Patron du Canada’ pee ' + 
R, P. Levompte, S.J $ 05 Le capitaine W. J. Shaughnessy (à géfiche es servant pour faire ls ventilation 
“Le Bon Journal"! R. P. Marion | de son abri Souterrain ‘au front, @ un apparel spécial capturé aux Allemands 
P, .» . $ 05 \ di gt h à 
° > Docteur Painchaud' C. 1 On 4 annoncé brièvement et 'cofatdné qui fut me d'organiser ls 
Magnan ÿ 1 5 .05! la nomunation de l'hon eapitei . J. femense ‘tournée que l'on fit faire en 
Syndiétats Nationaux. où interna Staugbhpessy au poste de’directeur dii Irlande ‘à ce bataillon. . Lorsque le 
tléna dv ?”: Henri Bouaosa $, 10): Pacifique Canadien, ‘pour : remplacer : 9ème fut divisé pour sérvir de renforts 
L'Ecueil Démocratique" Mgr?! Yhon Ja Dunsmur dé Victoria. Kà d'autres Grités, le capitaine Shaugh- 
LA. Paquet 1..,8 10! CA. qu s offert sa démission y 4 nessy nases eu France et rVit -cotmime.: 
Ua Faillite de l'Autorité dans la | quelque temps pour eausede santé aide-de-camp dù brigadier-génére]l 
Socièté et La Famitle” s. 10}: le capitaine Shaughnesey:est l'unique, Smme: le, représentant du-C à A 
L'Eglise Catholique auganada” $ 10: : fils de L6rd Shaughnessy. quu fut } quertiers-généraux de -l'armée ‘ britsn- 
“Les Choses qui s'en N, NÈ Fr: ix-nepf'snk le président petit "-mque Il.fut ensuite fransféré aux 
Gilles, O.F.M $ 25! fique Canadien et qis £st ma Srquarters-généraux canadiens, où pendant 
Notre Jeunesse": Guy Vanier..p 10] chef du Bureau. de Derpetios ©: plusieurs mois il fut aide-de-camp . du 
1 N “edmpagnie de. chemins : die ; mA | : pt-général S Arihur Otirrie, ; le 
Ces brochures seront ekpèdiées | nouveau directéitr ‘est avantageusement Jtuapt-#gén pe ur Arÿau PRE | 
franc de port sur réception du mon connu au Barteau de. Moñtréa à fur  Ommandant u corps ca L* 
tant requis L ses études, À "l'université Laval dé: France * . 
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Mi o : P AND Angleterre ‘ " À Euraÿe il v a quelques semaines et i 
FPATTE 08 VOOPARANEE, E s'enrols "41 romibencemieut dé: ‘a occupera, désormais des devoirs de sa 
[l 39 Avenug Provencher, *rpuerre, cÔmINE Capitaine dans-le téième" proiéssion el de l'accorm plissement. de 
"+ Saikf-Boniface, Man.’ ‘Éstaillon iriandaus, récruté à Montréal &' : ses nouvelles fonctions: 
4 ñ Là Ft à 7 
; e 


arriére-|JOUrs. 


Nombre de profegsion- 
nels s'expriment dans le Janga- 
ge écrit comme ls s'expriment 
dans le kaingage parlé. Je dis 
nombre lorsqu'il serait plus 
justé de dire la plupart puis- 
que avocats, médecins, dentis- 
tes-et.autres semblent avoir à 
coeur la réputation d'être les 


FT Personne ne devrait marcher 
avet peine'à cause de cor$ aux 
pieds quand: il-a à-sa portée 
un reméde aussi prompt que le 
Holloway's Corn Cure. 


s 


= Ê 4. 
faire plus que 2 ou 
214 milles à l'heure dew# 
font parce 'qu'is ne 
sont pas en état de: 
vous donner tin trac- 
teur capable de faire 


effort disproportionné: 

Pour arriver à ce v 
dela vitesse. C'est li 

Notre tracteur, pou 
les résultats les plus sat 
dans Je champ. 
l'action daus Ja 
# 


| 
| 


« 


} 


Conessionriuires vec 


celui 
le pre- 


qui s'applique aux écoles 


ler à nous tous 


La charrue 


Vovez notre machine au t 


\ 


ennefnis de lu-} 


an 


mal, 
ignorance peut-être, mais, <en 
tout cas, hous le parlons mal 
La lutte que l'on mène par les 
Fou! 

scra nulle si elle n'est continuée 
à l'école, au collège ‘par le pro- 


| 


jourd'hul séra plus ‘française, i 
littéralement parlant, que. celle | 
qui encombre maintenant les! 
professions libérales. “ras | 
HR : Turc. 
: La Presse £ 


a 
‘ Le son peut-il être vu | 
et touché? | 
Fa Se, a | 
Celu, direz-vods, est dificile à | 
croire, parce qu'où n'a: jamais! 
vu lés ondes sonores. Mais ces 
ondes ne sont pas destinées à 
être vues, mais à être 
dues,-et tout le-monde les a:sû- 
rement entendues. Ces ondes 
de-lair, que l'on ‘entend, bien 
qu'on ne lés voie pas, ressem- 
blent de la maniére:la plus cu- 
rieuse aux ondes de l'eau; que 
l'on peut: voir, bien qü'on ne 
puisse, pas les’ entendre! \ Æn 
fsomime, l'air n'est pas trés dif- 
férent d'un vaste océan: d'eau. 
Si deux poissons vivent dans la 
mer ou dans. un Haic, on eom- 
prend aisément que si l’un 
d'eux vient à remuer la queue; | 
il-produit ane onde d'eau que 
Pautre poisson pourra  perce-! 


voir. - 

Lorsqu'on ‘ parle et: qu'on” 
chante, ou qu'on tape. des 
inaäains,:on produit une onde 


d'air très semblable à une on- 
de d’eau, ef les personnes voisi- | 
nes la ‘rèssentént. d'une manié- 
re particulière “qu'on appelle! 
{entendre. Æn"Sômime; -enten: | 
dre,-n'est-ce pas señtir avec les! 
oreillés? ‘Les ondes d'air se! 
déplacent très rapidement et 
À dar AE 


ü Quelques faits sur la rapidit 
d’un tracteur de ferme 


u’un grai 


l'est vrai q 
à FUN 


plus sans qu'il y ait déperdition de forces pour le traéteur. er . 

Certaines ‘conditions peuvent faire.qu'il ne soit pasepossible de labourer: à 
seront relativement peu nombreux comparés à ceux ‘où l’on pourra faire 
montrer qu'il estitrès fatile de faire du 1 


‘sulfat il faut-que. dans la von 
un À 
ri 


wfaisants dans le labour. 


traction: 


ag 


+ SASKATÇHEW AS GRAIN GROWERS' 4SSOCLATION 
Sr ’ Regina, Sask.. ! 


Saskalche 


siccursale pour la! 
À F4 


ut 


ulte du bon.langagé, ! 5mme 
entend cette onde: n'y 
fesseur: .C’ést à lüi qu'il appar- | *UCun: plaisir, &t c'est ce ‘type 
tient de dire si la jeunesse d'au-| de son qui constitur-te bruit 
si 
chante, où-si l'on touche’un 
note’ de‘ piano, les ‘ondes: pro- 
| duites sont régulières et égales, 
! l'oreille en est flattée.et l'on ap-{ 
‘pelle cela un son musical. 


tion de rapidité dans le 1 


Au conträire, 


LE CONCERT 


LETELLIER 


= ——— 


citer l'enthoustast 


enten-; diloire nombreux qui était ve- 


uuel'entendre, di 


‘Le fait est que notre ténor'était 


er VOIX. 


faite, à leF point qu'on ne pér- 
dait. pas une syllabe, ! Ees Se- 
mailles, Viens: ave 
‘En passañt par.la Lorraine, Les || 


Heures, ont été 


ment applaudies, et lui ont valu 


pvusieurs rappels. 


Lterminé par © Carillon et O0 Ca- 


nada, mon paus, 


* Résidence: Garry 


= 
| Le ta 


+ 


DU MOULIN 
278 RUE MAIN 


Les constructeurs duträcteur Stinson ont fait dans de nonibreux pays un 
wrand nombre d'expériences des plus concluantes quant à la rapidité de labour 
‘du tracteur avec le-résuktat: que ‘notre machine a conquis une gré 
ur et autres travaux analogues. 
dl\nombre de manufa 


abour à trois milles l'heure et ce 


Lg 


ception et 


n 


CORÇCSStONNEON 


‘ 


72 


À 
Hi 


Au dire d'un citoyen, de Le- 
Ftelliér: M Hélie-a réussi à sus 


£ mages, nous: vous donnerions one sta 

manche soir. de tt : 

{Il Voila trie excellente. méthode pr 
. pe » + | Vager vette ÿ» laire : Aévetié 
La diclion était par- attetvdrer ainsi toutes les fonulies d'irne 
péroinse et vi de 5 4 
images par fan plus v'ést time 
rare Kastot le vous procurer: cette 
“26 belle statue qui vus seta mme | ec 
ce nous, pelit,| tion car nous sommes. dsourés que 
Sainte Rita vous 


É Téléphone Main8468 


illeur qui donne la qualite 


SPECHAUX-DE— 


é: au labour 


+4 , 
“exécütion , du:traeteur on tienné'ce 
acteur très important. que lon n'a pas oûblié daas le. trAacteur Stinson.. 4 
d'un moteur Stinson-Beaver à quatre cylindres, usant de la kérosene, donnera 
La.valeur d'un tracteur se mesure. à-ce-q41}-pent faire 
ravail dans le.champ'et vous admettrez que Le Stinson 4 1nis'de 


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4 \ ML PEN & 
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mn PE ét \ 9 
ais elle ont MM. Dorval et Langlois furent 


üutement appréciès. 7 
Comme la musique est la bri- 
sequi passe sur la misère hu, 
maine, nos concitoyens de Le- 
tellier set de Saint-Joseph : se 
| promettent bien d'assister de, 
nouvedü au concert Hélie, à $t- 
Jean-Baptiste, dimanche le : 5 
octobre prochain. ra 


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rables et des désespéres!, rious avoss 
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messe, 2h par ds, tuance Lieu noir, 
hord ‘nr rebel, portrait de sainte Rite 
sur un cote el au ie MIE prrere. Le 
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sous pièce. 6 25 sous, 12 pour 56. 

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ous vous denterons une belle stétue 
de Sainte Rita, À pouces de haut: noir 
de jais. Sainte Rita imédite, tenant mn 
cructhix: EN 

Î St vous vendez 300 le des limoges, 
donnerons une statue de 12 


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(6 pas: labourer à plus que 
2 où 214 nilles à l'heure, 
mais on peut facilement 
comprendre le pourquoi 
dé cet Hvis. | Si vous faites 
un examen de la question 
vous constaterez que ceux 
qui conseillent de ne pas 


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trois milles, maïs ces das 
lus. Nous sommes préts à dé 


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soir de” 4 octobre; ia 4 


M. ct Mme Jobé ph 36 ant u,|eéux qui ont répondu à l'appel 
ce Momeu, Québec, sont les]de son pays dès le début de la 


Fenev, Urterburne, Man, Maison Saiut- | hô(és de I. Poiron, inspec- guerre, 
teur de he è Je + * 
y *.» M. P.- Beauchamp, Mme 
“SAINT- BONIFACE. M. . Jutras est démén: agé Be pa et Mile Beauchamp 
.| de er ruc 1 RIDE à 83 rue Vic-|nous quitleront ces jours-ci 
tôria, Il a fait l'acquisition ‘de | pour aller: Mont- 


——— FD à 


M. le, docteur Colin est parti 


: pour un voyage d'une quinzui- 


ne dans Fe : 


MUR {Finfanterie de l'armée  améri-|revenus résider au Manitoba, 
M. läbbé Brodeur est parti|caine, était en visite, ces jours rs : 
pour un:-voyage de quelques se- reed chez Sa soeur, Mme! ‘M. et Mme Antoine Gauvin 
thaines dans l'Est. 1. Labruère Pacat yd, de Ja rue !sont en promenade dan$ Ta pro- 
er MEET Berry.” M; Charpentier } élait| vince de Québec. 


l'abbé 


. . , . De Je. 
M Jubinville, cure de rie ains-débarqués sur “IG sol ‘M-É hartes: Cusson et sa fa- 
la c athédrale, est de retour d'u- français, Ù 3 mälleinous ont quittés pour al- 
ne-vacance-dans là provinee def tome ler fe meurer en Californie. 
Québec et les Etats-Unis, Mme Arthur Vermandie el NEA une assemblée générale. L'as-, Un train arrivé à l’heure 
son die prune. sont ci} ce, ef Mme! :-0, Ducharme a fait}semblée votæun don de #35 à! nee 
k 5 ment à Sedttle, en promenade |l'jcquisition de la maison de l'école, et ensuite on procéda | > x 
chez, des parents. Ml J.-N. Jutras, rue Ritchot aux FR M. Héliodore. | Sgmedi matos es 
vers pH RER 5 4 EL , ne? Lauzon fut élu président; M.'en gare de Morlaix, ce qui ne 
M. Charles Billard, autrefois! M. J.-E.. Béhir, de la Far-Ncan St-Pierre ar à s'était pas vu dépuis une éter- 
L Saint-Boniface, après quel-[riers Packing Co. ésl main{e- [M F. St-Germain, secrétaire Letlaité. Les Morläisiens, au lieu 
REA s  Hiuues jours passés au milieu de | nant résidant à ,Suint- Boniface, M. “Desrosiers trésorier; M. P. [d' être satisfaits, étaient fu- 
Maison Collin ses amis du Manitoba, nous FE. LaFrance.et-_M. Desrosiers, rleux. 
fn 


En nes de l'Hôtel-de-Vilie 


cette dernière maison. 


pentier, de] 


avéc les premiers soklats amé- 


quittait samedi dernier pour la 
: France. 
. g voyage d'affaires; 


demeurer : à 
réal. js : 
di 
Le Liéuténant Adrisn C 
la 3me Division sa 


* * x * + 


* Il nous fait plaisir d'annoncer 
que Met Mme J. Gingras sont 


(ua 


Douleurs d'intestins. “Je soyf: 
| frais souvent de violentes dou- 
leurs d’intestins, écrit Mme Ju- 
{liana Kitiliz, de Bruede rhei in, 
| Alta, et je pensais qu'ils étaient 


co 


M. Pi 


Billard fait un! 


est un de 


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“Canada in Flanders”. 2 volumes. Jeudi de ab de à 0 # | “Club bugs” à ‘cuir gr anuilé: Jeudi... , 23% 
‘: Doncaster : Butterscotch. Jeudi, le livre ,.:.....:.,.. 39 |  Bulbes de lilas chinois Jeudi, 4 pour 
Bonbons au cocon. Jeudi, la livre .....::.:..... PROSART ii de 
Tousties aû Cocoa, pee CR: 7 ARTE RER En 49: ! QUATRIÈME ETAGE. 
Cassant aux pistaches. Jeudi, Ja livre ,..:....... 12.1! files vivisnnen Fdut le: verge .: CARE 
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D OR ln een ed Rr 1:40 
Rôti dahs l'épaule. Jeudi, la MR Pre mnt ste 15 
RO dans 18 flanc: Jendi 1402.04, 13 
Boeuf pour bovillir. Ebaulg. À PTIT LÉ RAAENETRANE L 
Diedk HAMDUPE JAN Sale pu die, ‘11 
Bacon fumé, née Entier ou par moitié, Jeudi .,.:.:::200 
Poisson blanc. Jeudi. .....:..:.:.:.. Re “A4 
ne A PT IE ES LE US D EN RS 10 
ARR 16 


mmissaires ordonfhateurs; M. 
errp Poulain, pork-drapeau.| 


|" un d'eux. SRE 
La raison de leur 


NECROLOGIE 


FN SR SRE 


“Quand on veut faire de cés 
:blagues-là, on prévient”,“disait 


mauvaise, 


, 


Berceuses. Jeudi ,:...:, HN ED dE CU : 3.0) 
Berceuses. Jeudi ..:.... Net Me a ER MO SES CT LUE 2.00 
Bercellses botr enfants! Jétdi 1:21. 1.50 
Berceuses pour enfants, Jeudi :..;..... et ANS LES COURS 
Fautenlls. Jeudis 46 5" PT ET An Ses 24.00 
Fauteuils-berceuses. Jeudi ......,:,... LE REPOS Ps 8 
Chaisés,  Jeuol on mit ANS EN CT RS 
Fauteuils pour enfants, Jeudi.:%.,.,::.:.:,:,....: »,. 1,59 
Couches pour enfants. Jeudi :......: AS SE FC 2.25 
Siège-balançoire. Jeudi ..,..........{..4 RUN -,00 
Chaise pliante et inclinante, Jeudi ...4,,....,,...: 1,10 
Chaise bliante et inclinante. Fauteuil. Jeudi ONE 1.25 
Fauteuil “hammock” pliant et inlinañtJeudi. 1.60: 
Chaises pliantes pour caïip. Jeudi ...:4....:,:.,,. 37: 
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